| François Guizot - 1825 - 538 páginas
...d'ailleurs à augmenter ses revenus, et lui accordant une considération particulière), ayant donc interrompu mon travail pendant quelques heures de...j'assurai que non. Mais elle, écartant, bon gré mal gré , ce vêtement qu'on appelle chemise, elle vit mes petits bras tout noircis, et la peau de... | |
| Guizot (M., François) - 1825 - 604 páginas
...interrompu mon travail pendant quelques heures de la soirée, je vins m'asseoir aux genoux de mamère , rudement meurtri, et certainement plus que je n'avais...j'assurai que non. Mais elle, écartant, bon gré mal gré, ce vêtement qu'on appelle chemise , elle vit mes petits bras tout noircis , et la peau de... | |
| Guibert (De Nogent) - 1825 - 532 páginas
...la soirée, je vins m'asseoir aux genoux de manière , rudement meurtri, et certainement plus xjue je n'avais mérité. Ma mère m'ayant, comme elle...j'assurai que non. Mais elle, écartant, bon gré mal gré , ce vêtement qu'on appelle chemise , elle vit mes petits bras tout noircis , et la peau... | |
| Abel Hugo - 1839 - 690 páginas
...d'ailleurs à augmenter ses revenus , et lui accordant une considération particulière) ; ayant donc interrompu mon travail pendant quelques heures de...j'assurai que non. Mais elle , écartant , bon gré mal gré, ce vêtement qu'on appelle chemise , elle vit mes petits bras tout noircis , et la peau de... | |
| Ludovic Lalanne - 1845 - 496 páginas
...je ne l'avais mérité. Ma mère m'ayant, comme de coutume, demandé si j'avais encore été hattu ce jour-là, moi, pour ne point paraître dénoncer...j'assurai que non. Mais elle, écartant, bon gré, mal gré, ce vêtement qu'on appelle chemise , vit mes petits bras tout noircis, et la peau de mes... | |
| François-Pierre-Guillaume Guizot - 1846 - 410 páginas
...mère, rudement meurtri, et certainement plus que je n'avais mérité. Ma mère m'ayant , selon sa coutume, demandé si j'avais encore été battu ce...j'assurai que non. Mais elle, écartant, bon gré mal gré, ce vêtement qu'on appelle chemise, elle vit mes petits bras tout noircis , et la peau de... | |
| François Guizot - 1846 - 406 páginas
...que je n'avais mérité. Ma mère m'ayant, selon sa coutume, demandé si j'avais encore été batlu ce jour-là, moi , pour ne point paraître dénoncer...j'assurai que non. Mais elle, écartant, bon gré mal gré, ce vêtement qu'on appelle chemise, elle vit mes petits bras tout noircis , et la peau de... | |
| François Guizot - 1851 - 396 páginas
...ma mère, rndement meurtri, et certainement plus que je n'avais mérité. Ma mère m'ayant, selon sa coutume, demandé si j'avais encore été battu ce...maître, j'assurai que non. Mais elle, écartant, bon gri?, mal gré, ce vêtement qu'on appelle chemise, elle vit mes petits bras tout noircis, et la peau... | |
| Augustin François Théry - 1858 - 448 páginas
...je vins m'asseoir aux genoux de ma mère , rudement meurtri, et certainement plus que je ne l'avais mérité. Ma mère m'ayant, comme elle avait coutume,...gré malgré , ce vêtement qu'on appelle chemise , elle vit mes petits bras tout noircis, et la peau de mes épaules toute soulevée et bouffie des... | |
| Henri Léonard Bordier, Edouard Charton - 1859 - 614 páginas
...d'ailleurs à augmenter ses revenus et lui accordant une considération particulière'. Ayant donc interrompu mon travail pendant quelques heures de...j'assurai que non. Mais elle, écartant, bon gré mal gré, le vêtement appelé chemise, elle vit mes petits bras tout noircis et la peau de mes épaules... | |
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