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Términos y frases comunes
administrateurs ancien archéologique avaient avocat bastion bâtir Bois l'Abbé caisson chanoine chapelle Charité Charles III Charles IV Claude Claudin clinique Commission comte Congrégation Conseil côté couvent curé Dame Vve délibération dépenses devait Didier église établissements faubourg fondations François hoirs Hôpital hospices hospitalières Idem immeubles jardin Jean Jean Lamour Julien l'abbé l'Académie de Stanislas l'asile des orphelins l'hôpital civil l'hôpital Saint-Charles l'hôpital Saint-Julien l'hospice Léopold Lionnois Lorraine maison malades ment Metz Meuse Moulins Saint-Jean municipal Nancy née Nicolas nom de rue pensionnaires Pierre pierrier place Primatiale propriétaires Ravinelle remparts réserve Révolution rue de Grève rue de l'Église rue des Artisans rue des Moulins rue des Ponts rue des Tiercelins rue Notre-Dame rue Saint rue Saint-Dizier rue Saint-Jean rue Saint-Nicolas Ruelle Ruines à Saint-Dizier Saint-Charles Saint-Georges Saint-Julien Saint-Sébastien Saint-Stanislas Saint-Thiébaut salles Saurupt sera service Sieur Société Sœurs terrain tion tumulus Verdun Meuse Veuve Ville-Neuve Ville-Vieille Villers-lès-Nancy Vosges XVIIIe siècle
Pasajes populares
Página ii - Sens. — Société archéologique. Soissons. — Société archéologique, historique et scientifique. Toulon. — Académie du Var. Toulouse. — Société archéologique du midi de la France. Tours. — Société archéologique de Touraine. Troyes. — Société académique d'Agriculture, des Sciences, Arts et Belles-Lettres de l'Aube. Valence. — Société d'Archéologie et de Statistique de la Drôme.
Página 398 - Société historique et archéologique du Maine, Le Mans. — Société d'agriculture, sciences et arts de la Sarthe, Le Mans. SAVOIE. — Académie des sciences, belles-lettres et arts de Savoie, Chambéry. — Société savoisienne d'histoire et d'archéologie, Chambéry. — Académie de Val-d'Isère, Moûtiers.
Página 3 - Mémoires de la Société d'archéologie lorraine et du musée historique lorrain, tome IV (4 e série, 15° volume), 1905. Bulletin de la Société philomatique vosgienne, ;{1
Página iv - L'au 1898, le dimanche 24 juillet, à une heure de l'après-midi, les soussignés, membres ou délégués de la Société des antiquaires de l'Ouest, de la Société archéologique de Nantes, de la Société d'agriculture, sciences et arts d'Angers, de la Société historique et archéologique du Maine, de la Commission historique et archéologique de la Mayenne et de la Société française d'archéologie...
Página 222 - Les commissions administratives des hospices et hôpitaux et celles des bureaux de bienfaisance sont composées du maire et de six membres renouvelables. Deux des membres de chaque commission sont élus par le conseil municipal. Les quatre autres membres sont nommés par le préfet.
Página 10 - Les lettres qu'il escrivit ce jour mesme à sa cour portoient une remarque singuliere , qui estoit que moins de deux cents chevaux avoient empesché, et sans aucun ruisseau entre deux, une armée de dix mille hommes de pied et deux mille chevaux d'entrer en ce royaume. De quoi il en...
Página 8 - En l'année 1587, la France était dans une grande agitation. Le roi Henri III, poussé par la Ligue, s'était déclaré contre les protestants et avait interdit tout exercice de leur religion. Ceux-ci avaient pris les armes, et Henri de Navarre — le Béarnais — qui s'était mis à leur tête, ravageait la Guyenne et le Poitou. Les protestants allemands levaient une armée pour venir à leur secours. Cette armée ne tarda pas à devenir redoutable ; elle comprit 25,000 hommes, reîtres, lansquenets,...
Página 22 - Metz — de les abattre immédiatement ; on leur assignerait une place dans la Ville-Neuve où. avec les matériaux de démolition, ils construiraient une maison nouvelle, à moins toutefois qu'ils ne préférassent s'établir ailleurs. Si dans les six semaines les maisons n'étaient pas abattues — aussi bien on annonçait une invasion de reîtres — le gouverneur de Nancy, comte de Salm, les démolirait d'office, à leurs dépens (1).
Página 29 - Il ne fallait pas seulement prendre des précautions contre les propriétaires qui refusaient de bâtir ou de vendre leurs terrains et contre les spéculateurs qui faisaient hausser le prix de ces terrains. Les matériaux de construction, pierres, bois, fer, chaux, etc., étaient devenus fort chers, à cause de la demande exagérée. Les ouvriers, tailleurs de pierre, maçons, charpentiers, etc., sûrs de toujours trouver de l'emploi, réclamaient des salaires très élevés, désirant profiter de...
Página 25 - Charles ordonna, à tous ceux qui avaient reçu des places, d'assembler des matériaux dès l'hiver, pour commencer leurs constructions au printemps suivant. Faute de quoi, on leur reprendrait leur place et on la donnerait à d'autres. Si ceux qui n'avaient souffert aucune perte à la ruine du faubourg Saint-Dizier ne se mettaient en devoir de bâtir sur leur lot, le propriétaire du terrain le pourrait reprendre sans leur payer aucune indemnité, à condition de bâtir immédiatement ou de vendre...