Boletim de bibliographia portugueza e revista dos archivos nacionaes

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Pasajes populares

Página 63 - ... que con el mucho descuido de los impresores, o con el demasiado cui"dado de los herejes se los han impuesto, o por no convenir que anden "en lengua vulgar, o por contener cosas que aunque los tales autores píos "y doctos las dijeron sencillamente y en el sano y católico sentido que "reciben, la malicia de estos tiempos las hace ocasionadas para que los "enemigos de la fe las puedan torcer al propósito de su dañada intención.
Página 159 - ... en raportans la cause au teinct premier qui estoit blond, comme s'il estoit plus aisé de blond devenir blancq ou chenu, que de noir ; autres à la multitude des afaires, n'ayant peu maintenir tant de provinces en paix, apaisé tant de guerres et les continuer si longuement en autres endroicts, sans grand soin, bien que l'on die n'estre sa coustume de se contrister excessivement pour perte qui advienne, ni s'esjouir que raisonnablement pour victoire, signalée qu'elle soit, prenant avec actions...
Página 221 - Edicáo consagrada a commemorar o terceiro centenario do poeta da nacionalidade portugueza pelo Gabinete Portuguez de Leitura, no Rio de Janeiro.
Página 63 - Romana, ni de lo que nos ha enseñado siempre, y enseña, que antes la han reconocido por su verdadera Madre, y Maestra, y como...
Página 160 - ... de Portugal, a sa sépulture en ce lieu, et en fut le fondateur; il n'y espargna chose, pour le rendre plus sainctement beau et magnifique, que les Roys anciens ne faisoient leurs pyramides, qui fait de présent admirer, entre autres choses, l'église, le cloistre et le dortoir. L'église est grande et eslevée à la façon des nostres, quant à la nef et la croisée. Le chœur est fort petit, si mesme la chappelle, mise en teste et milieu de la croisée, peult estre réputée pour le chœur....
Página 158 - Le XIIIe, Sa Majesté retourna en Lisbonne, accompagnée de l'impératrice sa sœur, à laquelle les gens de guerre, qui estoient en grand nombre sur mer et sur terre, firent telle salve, que, pour une infinité de harquebusades et canonnades, l'on voyoit de tous costes feus, flammes et fumées, avec un retentissement et son confus, qui remplissoit l'ouye d'un estrange tintamere.
Página 159 - Ht et travaille beaucoup aux afaires, mesme de nuict, depuis qu'il a ordonné que quasi toutes choses passent par ses mains, après avoir expérimenté qu'aucuns s'y estoient...
Página 166 - L'on conte, pour monstrer que les Portugais son très grands amateurs de leurs guiteres, qu'il a esté trouvé es despouilles du camp du roy Sébastien, de Portugal, après la route, en laquelle il fut deffait par le roy de Fez et de Maroc, environ dix mille guiteres, chose incroiable, mais à laquelle aucuns donnent couleur, parce que les Portugais s'embarquans jouoient ordinairement ce refrain : Los casteillanos mactan los toros, los Portugaios mactan los Moros, t * Terminamos aqui os excerptos...
Página 253 - Camóes pelo Duque de Palmella D. Pedro de Sousa Holstein, com o texto original. Antecedida d'um preámbulo do professor Pereira Caldas, do Lyceu Nacional de Braga, conterráneo Vimaranense. Porto, typ. central (Avelino Antonio Mendes Cerdeira) 3i3, R. do Bomjardim, 317. MDCCCLXXX. 4.
Página 158 - ... larges, la face assez longue et pasle, le nez tirant plus sur le camus que sur l'aquilin, la bouche vermeille, les lèvres aucunement proéminentes, signamment celle d'en bas, marque de l'origine d'Austrice, les yeux aucunement rouges comme l'homme

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