Revue historique, Volumen34

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Gabriel Monod, Charles Bémont, Sébastien Charléty, Pierre Renouvin
Librairie G. Bailleère, 1887

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Página 415 - Rechercher à quelle époque, selon les lieux, les idiomes vulgaires se sont substitués au latin dans la rédaction des documents administratifs. Distinguer entre l'emploi de l'idiome local et celui du français. 16° Étudier les cadastres ou compoids antérieurs au XVI* siècle, leur composition et leur utilité pour la répartition de l'impôt.
Página 66 - Je le pratique depuis seize ans , j'ai même eu de la faveur pour lui; mais c'est sûrement le plus grand ennemi de notre maison, à présent que la for tune l'a abandonnée depuis quelque temps.
Página 415 - Section d'Histoire et de Philologie. — 1. Mode d'élection et étendue des pouvoirs des députés aux États provinciaux. 2.
Página 68 - ... d'où mon intention est de l'envoyer à Lyon prendre le commandement de la ville, du département et de l'armée; si toutefois il veut me promettre d'être toujours aux avant-postes, de n'avoir aucun train royal, de n'avoir aucun luxe, pas plus de...
Página 65 - Je vous ai répondu sur l'événement de Paris pour que vous ne mettiez plus en question la fin qui touche à plus de gens qu'à moi. Quand cela arrivera, je ne serai plus ; par conséquent, ce n'est pas pour moi que je parle. Je vous ai dit, pour l'Impératrice...
Página 65 - Je vous recevrai, vous serez mon sujet ; en cette qualité, vous y jouirez de mon amitié et ferez ce que vous pourrez pour le bien des affaires. Il faut alors que vous ayez pour moi, pour le roi de Rome, pour l'impératrice, ce que vous devez avoir. Si, au contraire, vous persistez dans vos idées de roi et de Hollandais, éloignez-vous de quarante lieues de Paris... Je ne veux pas de position mixte, de rôle tiers. Si vous acceptez, écrivez-moi une lettre que je puisse faire imprimer.
Página 64 - Mon frère, j'ai reçu vos deux lettres et j'ai appris avec peine que vous soyez arrivé à Paris sans ma permission. Vous n'êtes plus roi de Hollande depuis que vous avez renoncé et que j'ai réuni ce pays à la France. Vous ne devez plus y songer. Le territoire de l'empire est envahi et j'ai toute l'Europe armée contre moi. Voulez-vous venir comme prince français, comme connétable de l'empire, vous ranger auprès du trône ? Je vous recevrai, vous serez mon sujet ; en cette...
Página 66 - S'il arrivait bataille perdue et nouvelle de ma mort, vous en seriez instruit avant mes ministres. Faites partir l'impératrice et le roi de Rome pour Rambouillet, ordonnez au Sénat, au Conseil d'État et à toutes les troupes de se réunir sur la Loire, laissez à Paris ou le préfet, ou un commissaire impérial, ou un maire.
Página 69 - S'il entrait dans mes vues de mettre le duc de Conégliano ailleurs, le bavardage de Paris n'y ferait rien. La garde nationale de Paris fait partie du peuple de France, et tant que je vivrai, je serai le maître partout en France. Votre caractère et le mien sont opposés. Vous aimez à cajoler les gens et à obéir à leurs idées; moi j'aime qu'on me plaise et qu'on obéisse aux miennes. Aujourd'hui, comme à Austerlitz, je suis le maître.
Página 68 - Et cela fait, le roi se rendra à mon quartier général, d'où mon intention est de l'envoyer à Lyon prendre le commandement de la ville, du. département et de l'armée, si toutefois il veut me promettre d'être toujours aux...

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