Théâtre complet de J. Racine: présédé d'une noticeF. Didot Frères, 1846 - 664 páginas |
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... s'il avait produit quelque chose de parfait , c'était PHÈDRE . Pour moi , il me semble que cette perfection qu'il cherchait , et dont personne n'a plus ap proché que lui , se trouve d'une manière plus sensible et plus frappante dans ...
... s'il avait produit quelque chose de parfait , c'était PHÈDRE . Pour moi , il me semble que cette perfection qu'il cherchait , et dont personne n'a plus ap proché que lui , se trouve d'une manière plus sensible et plus frappante dans ...
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... s'il en faut croire son fils , ait toujours négligé de don- ner une édition correcte de ses œuvres . Toutes celles qui ont paru de son vivant et depuis sa mort sont si fautives , et le texte en est si corrompu , que je ne connais aucun ...
... s'il en faut croire son fils , ait toujours négligé de don- ner une édition correcte de ses œuvres . Toutes celles qui ont paru de son vivant et depuis sa mort sont si fautives , et le texte en est si corrompu , que je ne connais aucun ...
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... s'il se peut , leurs parricides bras . Allons leur faire voir ce qu'ils ont de plus tendre ; Voyons si contre nous ils pourront se défendre , Ou s'ils oseront bien , dans leur noire fureur , 12 LES FRERES ENNEMIS . LA THÉBAIDE ou les ...
... s'il se peut , leurs parricides bras . Allons leur faire voir ce qu'ils ont de plus tendre ; Voyons si contre nous ils pourront se défendre , Ou s'ils oseront bien , dans leur noire fureur , 12 LES FRERES ENNEMIS . LA THÉBAIDE ou les ...
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... toujours pour prince un roi si magnanime ; Et cet illustre effort , loin d'affaiblir vos droits , Vous rendra le plus juste et le plus grand des rois . Ou , s'il faut que mes vœux vous trouvent inflexible ACTE I , SCÈNE III . 15.
... toujours pour prince un roi si magnanime ; Et cet illustre effort , loin d'affaiblir vos droits , Vous rendra le plus juste et le plus grand des rois . Ou , s'il faut que mes vœux vous trouvent inflexible ACTE I , SCÈNE III . 15.
Página 26
... s'il est vrai , mon fils , que ce peuple vous craigne , Et que tous les Thébains redoutent votre règne , Pourquoi par tant de sang cherchez - vous à régner Sur ce peuple endurci que rien ne peut gagner ? POLYNICE . Est - ce au peuple ...
... s'il est vrai , mon fils , que ce peuple vous craigne , Et que tous les Thébains redoutent votre règne , Pourquoi par tant de sang cherchez - vous à régner Sur ce peuple endurci que rien ne peut gagner ? POLYNICE . Est - ce au peuple ...
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Términos y frases comunes
ABNER ACHILLE ACOMAT AGAMEMNON AGRIPPINE Alexandre Allez amant âme amour ANDROMAQUE ANTIGONE ANTIOCHUS ARBATE ARCAS ARSACE ASSUÉRUS ATALIDE ATHALIE ATTALE AXIANE Bajazet BÉRÉNICE bras BRITANNICUS BURRHUS Calchas charmes cher chercher CHICANEAU CHOEUR CLÉOFILE CLYTEMNESTRE cœur COMTESSE courroux crainte CRÉON crime cruel DANDIN dessein Dieu dieux douleur enfin ennemis ÉRIPHILE ESTHER ÉTÉOCLE fille fils frère funeste fureur gloire Grecs haine Hélas Hémon HERMIONE HIPPOLYTE HYDASPE hymen IPHIGÉNIE j'ai JOAD JOAS JOCASTE JOSABET jour JUNIE l'amour L'INTIMÉ laisse larmes LÉANDRE lieux m'en madame main malheureux MATHAN MITHRIDATE moi-même MONIME monsieur mort NARCISSE Néron OENONE Oh ciel OLYMPE ORESTE OSMIN parler père perfide PETIT JEAN peuple peut-être Pharnace PHÈDRE pleurs Polynice Porus prince princesse Pyrrhus régner reine rois Rome ROXANE sais sang SCÈNE secret seigneur seul sœur soins sort soupirs TAXILE Titus tragédie trépas triste trône trouble vainqueur vais venger veut veux victoire vœux vois vous-même XIPHARÈS yeux
Pasajes populares
Página 626 - C'est lui-même; il m'échauffe, il parle : mes yeux s'ouvrent, Et les siècles obscurs devant moi se découvrent. Lévites, de vos sons prêtez-moi les accords, Et de ses mouvements secondez les transports. LE CHOEUR chante au son de toute la symphonie des instruments. Que du Seigneur la voix se fasse entendre, Et qu'à nos cœurs son oracle divin Soit ce qu'à l'herbe tendre Est, au printemps, la fraîcheur du matin.
Página 106 - Oui, puisque je retrouve un ami si fidèle, Ma fortune va prendre une face nouvelle; Et déjà son courroux semble s'être adouci Depuis qu'elle a pris soin de nous rejoindre ici.
Página 466 - Fille d'Agamemnon, c'est moi qui, la première, Seigneur, vous appelai de ce doux nom de père; C'est moi qui, si longtemps le plaisir de vos yeux, Vous ai fait de ce nom remercier les dieux, Et pour qui, tant de fois prodiguant vos caresses, Vous n'avez point du sang dédaigné les faiblesses.
Página 593 - O mont de Sinaï, conserve la mémoire De ce jour à jamais auguste et renommé, Quand, sur ton sommet enflammé, Dans un nuage épais le Seigneur enfermé fit luire aux yeux mortels un rayon de sa gloire. Dis-nous, pourquoi ces feux et ces éclairs, Ces torrents de fumée, et ce bruit dans les airs, Ces trompettes et ce tonnerre ? Venait-il renverser l'ordre des éléments ? Sur ses antiques fondements Venait-il ébranler la terre ? UNE AUTRE.
Página 271 - Je les conjure d'avoir assez bonne opinion d'eux-mêmes pour ne pas croire qu'une pièce qui les touche et qui leur donne du plaisir puisse être absolument contre les règles. La principale règle est de plaire et de toucher : toutes les autres ne sont faites que pour parvenir à cette première.
Página 535 - De rage et de douleur le monstre bondissant Vient aux pieds des chevaux tomber en mugissant, Se roule, et leur présente une gueule enflammée Qui les couvre de feu, de sang, et de fumée. La frayeur les emporte; et, sourds à cette fois, Ils ne connaissent plus ni le frein ni la voix; En efforts impuissants leur maître se consume; Ils rougissent le mors d'une sanglante écume.
Página 648 - M'as vingt fois en un jour à moi-même opposée ; Tantôt pour un enfant excitant mes remords, Tantôt m'éblouissant de tes riches trésors, Que j'ai craint de livrer aux flammes , au pillage. Qu'il règne donc ce fils, ton soin et ton ouvrage! Et que, pour signaler son empire nouveau, On lui fasse en mon sein enfoncer le couteau...
Página 398 - Non, princes, ce n'est point au bout de l'univers Que Rome fait sentir tout le poids de ses fers : Et de près inspirant les haines les plus fortes , Tes plus grands ennemis, Rome, sont à tes portes. Ah! s'ils ont pu choisir pour leur libérateur Spartacus , un esclave , un vil gladiateur ; S'ils suivent au combat des brigands qui les vengent, De quelle noble ardeur pensez-vous qu'ils se rangent Sous les drapeaux d'un roi longtemps victorieux , Qui voit jusqu'à Cyrus remonter ses aïeux ? Que dis-je?...
Página 156 - Grâce aux dieux, mon malheur passe mon espérance ! Oui, je te loue, ô ciel, de ta persévérance ! Appliqué sans relâche au soin de me punir, Au comble des douleurs tu m'as fait parvenir...
Página 508 - C'est peu de t'avoir fui, cruel, je t'ai chassé; J'ai voulu te paraître odieuse, inhumaine; Pour mieux te résister, j'ai recherché ta haine. De quoi m'ont profité mes inutiles soins? Tu me haïssais plus, je ne t'aimais pas moins.