Oeuvres completes, Volumen1L. Hachette, 1867 |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 74
Página xvi
... tristes ; et quelque temps après , il fut attaqué par une fièvre assez violente , que les médecins firent passer à force de quinquina . Il se croyait guéri , lorsqu'il lui perça , à la région du foie , un abcès qui jetait de temps en ...
... tristes ; et quelque temps après , il fut attaqué par une fièvre assez violente , que les médecins firent passer à force de quinquina . Il se croyait guéri , lorsqu'il lui perça , à la région du foie , un abcès qui jetait de temps en ...
Página 6
... triste destinée , Ordonna que chacun régneroit son année ; Et , n'ayant qu'un État à mettre sous vos lois , Voulut que tour à tour vous fussiez tous deux rois . A ces conditions vous daignâtes souscrire . Le sort vous appela le premier ...
... triste destinée , Ordonna que chacun régneroit son année ; Et , n'ayant qu'un État à mettre sous vos lois , Voulut que tour à tour vous fussiez tous deux rois . A ces conditions vous daignâtes souscrire . Le sort vous appela le premier ...
Página 13
... triste cours d'une absence cruelle , Avez - vous souhaité que je fusse fidèle ? Songiez - vous que la mort menaçoit , loin de vous Un amant qui ne doit mourir qu'à vos genoux ? Ah ! d'un si bel objet quand une âme est blessée , Quand un ...
... triste cours d'une absence cruelle , Avez - vous souhaité que je fusse fidèle ? Songiez - vous que la mort menaçoit , loin de vous Un amant qui ne doit mourir qu'à vos genoux ? Ah ! d'un si bel objet quand une âme est blessée , Quand un ...
Página 19
... tristes soupirs , Et m'exposer encore à tant de déplaisirs ? POLYNICE . Mais vous - même , ma sœur , est - ce aimer votre frère Que de lui faire ici cette injuste prière , Et me vouloir ravir le sceptre de la main ? Dieux ! qu'est - ce ...
... tristes soupirs , Et m'exposer encore à tant de déplaisirs ? POLYNICE . Mais vous - même , ma sœur , est - ce aimer votre frère Que de lui faire ici cette injuste prière , Et me vouloir ravir le sceptre de la main ? Dieux ! qu'est - ce ...
Página 20
... brilloit sur son visage ; Mais vous devez , madame , espérer jusqu'au bout . JOCASTE . Va tout voir , chère Olympe , et me viens dire tout Éclaircis promptement ma triste inquiétude . OLYMPE . Mais vous 20 LA THÉBAÏDE .
... brilloit sur son visage ; Mais vous devez , madame , espérer jusqu'au bout . JOCASTE . Va tout voir , chère Olympe , et me viens dire tout Éclaircis promptement ma triste inquiétude . OLYMPE . Mais vous 20 LA THÉBAÏDE .
Contenido
232 | |
242 | |
249 | |
251 | |
252 | |
265 | |
283 | |
300 | |
95 | |
100 | |
110 | |
119 | |
146 | |
147 | |
149 | |
191 | |
192 | |
200 | |
303 | |
314 | |
334 | |
354 | |
357 | |
404 | |
408 | |
419 | |
439 | |
Otras ediciones - Ver todas
Términos y frases comunes
ACHILLE ACOMAT AGAMEMNON AGRIPPINE aime Alexandre Allez amant âme amour ANDROMAQUE ANTIGONE ANTIOCHUS ARBATE ARCAS ARSACE ATALIDE avoit AXIANE Bajazet BÉRÉNICE bontés bras BRITANNICUS BURRHUS Calchas CÉPHISE cher chercher CHICANEAU ciel CLÉOFILE CLYTEMNESTRE cœur COMTESSE courroux CRÉON crime cruel DANDIN dessein dieux discours dois-je douleur enfin ennemi époux ÉRIPHILE ÉTÉOCLE étoit fille fils frère funeste fureur gloire Grecs haine Hélas Hémon HERMIONE hymen IPHIGÉNIE ISABELLE j'ai JOCASTE jour JUNIE l'amour l'ingrat L'INTIMÉ laisse larmes LÉANDRE lieux m'en madame main malheur MITHRIDATE moi-même MONIME monsieur mort NARCISSE Néron ORESTE OSMIN parler PAULIN père PETIT-JEAN peuple peut-être Pharnace PHÉNICE PHŒDIME PHOENIX pleurs Polynice Porus prince princesse puis-je PYLADE Pyrrhus Racine reine rien rival rois Romains Rome ROXANE s'il sais sang SCENE secret seigneur seul soins sort soupirs sultan TAXILE Titus tragédie trépas triste Troie trône vainqueur vais venger veut veux victoire vœux vois vous-même Xipharès yeux ZAÏRE ZATIME
Pasajes populares
Página 121 - N'avons-nous d'entretien que celui de ses pleurs ? PyrrhuS revient à nous ! Eh bien ! chère Cléone, Conçois-tu les transports de l'heureuse Hermione ? Sais-tu quel est Pyrrhus ? T'es-tu fait raconter Le nombre des exploits... mais qui les peut compter ? Intrépide, et partout suivi de la victoire, Charmant, fidèle enfin : rien ne manque à sa gloire.
Página 239 - Pour toute ambition, pour vertu singulière, II excelle à conduire un char dans la carrière, A disputer des prix indignes de ses mains, A se donner lui-même en spectacle aux Romains, A venir prodiguer sa voix sur un théâtre, A réciter des chants qu'il veut qu'on idolâtre ; Tandis que des soldats, de moments en moments, Vont arracher pour lui les applaudissements.
Página 373 - Non, princes, ce n'est point au bout de l'univers Que Rome fait sentir tout le poids de ses fers ; Et, de près inspirant les haines les plus fortes, Tes plus grands ennemis , Rome , sont à tes portes. Ah! s'ils ont pu choisir pour leur libérateur Spartacus , un esclave , un vil gladiateur : S'ils suivent au combat des brigands qui les vengent , De quelle noble ardeur pensez-vous qu'ils se rangent Sous les drapeaux d'un roi longtemps victorieux, Qui voit jusqu'à Cyrus remonter ses aïeux? Que...
Página 436 - C'est moi qui, si longtemps le plaisir de vos yeux, Vous ai fait de ce nom remercier les Dieux, Et pour qui tant de fois prodiguant vos caresses Vous n'avez point du sang dédaigné les faiblesses.
Página 292 - Titus et sur moi réglez votre conduite. Je l'aime , je le fuis. Titus m'aime, il me quitte. Portez loin de mes yeux vos soupirs et vos fers. Adieu. Servons tous trois d'exemple à l'univers , De l'amour la plus tendre et la plus malheureuse Dont il puisse garder l'histoire douloureuse.
Página 438 - Cruel, que votre amour a voulu la sauver. Un oracle fatal ordonne qu'elle expire : Un oracle dit-il tout ce qu'il semble dire? Le ciel, le juste ciel, par le meurtre honoré, Du sang de l'innocence est-il donc altéré? Si du crime d'Hélène on punit sa famille, Faites chercher à Sparte Hermione sa fille; Laissez à Ménélas racheter d'un tel prix Sa coupable moitié, dont il est trop épris.
Página 373 - La honte de cent rois, et la mienne peut-être ; Et la flamme à la main, effaçons tous ces noms Que Rome y consacrait à d'éternels affronts.
Página 143 - Grâce aux dieux, mon malheur passe mon espérance ! Oui, je te loue, ô ciel, de ta persévérance ! Appliqué sans relâche au soin de me punir, Au comble des douleurs tu m'as fait parvenir...
Página 245 - II tombe sur son lit sans chaleur et sans vie. Jugez combien ce coup frappe tous les esprits : La moitié s'épouvante et sort avec des cris; Mais ceux qui de la cour ont un plus long usage, Sur les yeux de César composent leur visage *. Cependant sur son lit il demeure penché, D'aucun étonnement il ne paraît touché : « Ce mal dont vous craignez, dit-il, la violence A souvent sans péril attaqué son enfance.
Página 135 - Seigneur, dans cet aveu dépouillé d'artifice, J'aime à voir que du moins vous vous rendiez justice, Et que, voulant bien rompre un nœud si solennel, Vous vous abandonniez au crime en criminel. Est-il juste, après tout, qu'un conquérant s'abaisse...