Théâtre complet de J. Racine, précédé d'une notice par m. AugerFirmin-Didot, 1862 - 663 páginas |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 100
Página 165
... Dieu sait s'il est alègre . Pour moi , je ne dors plus : aussi je deviens maigre , C'est pitié . Je m'étends , et ne fais que bâiller . Mais , veille qui voudra , voici mon oreiller . Ma foi , pour cette nuit il faut que je m'en donne ...
... Dieu sait s'il est alègre . Pour moi , je ne dors plus : aussi je deviens maigre , C'est pitié . Je m'étends , et ne fais que bâiller . Mais , veille qui voudra , voici mon oreiller . Ma foi , pour cette nuit il faut que je m'en donne ...
Página 166
... Dieu merci . Si je leur donne temps , ils pourront comparaître ; Çà , pour nous élargir , sautons par la fenêtre . Hors de cour . L'INTIMÉ . Comme il saute ! PETIT - JEAN . Au voleur ! au voleur ! DANDIN . O monsieur ! je vous tien ...
... Dieu merci . Si je leur donne temps , ils pourront comparaître ; Çà , pour nous élargir , sautons par la fenêtre . Hors de cour . L'INTIMÉ . Comme il saute ! PETIT - JEAN . Au voleur ! au voleur ! DANDIN . O monsieur ! je vous tien ...
Página 168
... Dieu sait bien souvent ce qu'elle en rapporta : Elle eût du buvetier emporté les serviettes , Plutôt que de rentrer au logis les mains nettes . Et voilà comme on fait les bonnes maisons . Va , Tu ne seras qu'un sot . LÉANDRE . Vous vous ...
... Dieu sait bien souvent ce qu'elle en rapporta : Elle eût du buvetier emporté les serviettes , Plutôt que de rentrer au logis les mains nettes . Et voilà comme on fait les bonnes maisons . Va , Tu ne seras qu'un sot . LÉANDRE . Vous vous ...
Página 173
... quinze ou vingt ans ! Il me reste un refuge ; La requête civile est ouverte pour moi , Je ne suis pas rendu . Mais vous , comme je voi , Vous plaidez ? Je ... LA COMTESSE . Plût à Dieu ! CHICANEAU 15 . ACTE I , SCÈNE VII . 173.
... quinze ou vingt ans ! Il me reste un refuge ; La requête civile est ouverte pour moi , Je ne suis pas rendu . Mais vous , comme je voi , Vous plaidez ? Je ... LA COMTESSE . Plût à Dieu ! CHICANEAU 15 . ACTE I , SCÈNE VII . 173.
Página 174
Jean Racine. Je ... LA COMTESSE . Plût à Dieu ! CHICANEAU . J'y brûlerai mes livres ! LA COMTESSE . CHICANEAU . Deux bottes de foin cinq à six mille livres . LA COMTESSE . Monsieur , tous mes procès allaient être finis : Il ne m'en ...
Jean Racine. Je ... LA COMTESSE . Plût à Dieu ! CHICANEAU . J'y brûlerai mes livres ! LA COMTESSE . CHICANEAU . Deux bottes de foin cinq à six mille livres . LA COMTESSE . Monsieur , tous mes procès allaient être finis : Il ne m'en ...
Otras ediciones - Ver todas
Términos y frases comunes
ABNER ACHILLE ACOMAT AGAMEMNON AGRIPPINE Alexandre Allez amant âme amour ANDROMAQUE ANTIGONE ANTIOCHUS ARBATE ARCAS ARICIE ARSACE ASSUÉRUS ATALIDE ATHALIE ATTALE AXIANE Bajazet BÉRÉNICE bras BRITANNICUS BURRHUS Calchas charmes cher chercher CHICANEAU CHOEUR ciel CLÉOFILE CLYTEMNESTRE cœur colère COMTESSE courroux crainte CRÉON crime cruel DANDIN dessein Dieu dieux douleur enfin ennemis ÉRIPHILE ESTHER ÉTÉOCLE fille fils frère funeste fureur gloire Grecs haine Hélas Hémon HERMIONE HIPPOLYTE HYDASPE hymen IPHIGÉNIE j'ai JOAD JOAS JOCASTE JOSABETH jour JUNIE l'amour L'INTIMÉ laisse larmes LÉANDRE lieux m'en madame main malheureux MATHAN MITHRIDATE moi-même MONIME monsieur mort NARCISSE Néron OENONE OLYMPE ORESTE OSMIN parler père perfide PETIT-JEAN peuple peut-être Pharnace PHÈDRE pleurs Polynice Porus prince princesse Pyrrhus régner reine rois Rome ROXANE sais sang SCÈNE secret seigneur seul sœur soins sort soupirs TAXILE Titus tragédie trépas triste trône trouble vainqueur vais venger veut veux victoire vœux vois vous-même XIPHARÈS yeux ZAÏRE
Pasajes populares
Página 544 - Cependant, sur le dos de la plaine liquide, S'élève à gros bouillons une montagne humide ; L'onde approche, se brise, et vomit à nos yeux, Parmi des flots d'écume, un monstre furieux.
Página 545 - Hippolyte lui seul, digne fils d'un héros, Arrête ses coursiers, saisit ses javelots, Pousse au monstre, et d'un dard lancé d'une main sûre II lui fait dans le flanc une large blessure. De rage et de douleur le monstre bondissant Vient aux pieds des chevaux tomber en mugissant, Se roule, et leur présente une gueule enflammée Qui les couvre de feu, de sang, et de fumée.
Página 143 - Fais connaître à mon fils les héros de sa race ; Autant que tu pourras, conduis-le sur leur trace : Dis-lui par quels exploits leurs noms ont éclaté, Plutôt ce qu'ils ont fait que ce qu'ils ont été ; Parle-lui tous les jours des vertus de son père ; Et quelquefois aussi parle-lui de sa mère.
Página 140 - Songe, songe, Céphise, à cette nuit cruelle Qui fut pour tout un peuple une nuit éternelle. Figure-toi Pyrrhus, les yeux étincelants, Entrant à la lueur de nos palais brûlants, Sur tous mes frères morts se faisant un passage, Et, de sang tout couvert, échauffant le carnage.
Página 272 - Ce n'est point une nécessité qu'il y ait du sang et des morts dans une tragédie : il suffit que l'action en soit grande, que les acteurs en soient héroïques, que les passions y soient excitées, et que tout s'y ressente de cette tristesse majestueuse qui fait tout le plaisir de la tragédie.
Página 496 - ... la seule pensée du crime y est regardée avec autant d'horreur que le crime même ; les faiblesses de l'amour y passent pour de vraies faiblesses ; les passions n'y sont présentées aux yeux que pour montrer tout le désordre dont elles sont cause ; et le vice y est peint partout avec des couleurs qui en font connaître et haïr la difformité.
Página 254 - C'est à vous à choisir, vous êtes encor maître. Vertueux jusqu'ici , vous pouvez toujours l'être : Le chemin est tracé , rien ne vous retient plus ; Vous n'avez qu'à marcher de vertus en vertus. Mais si de vos flatteurs vous suivez la maxime , II vous faudra , seigneur, courir de crime en crime , Soutenir vos rigueurs par d'autres cruautés, Et laver dans le sang vos bras ensanglantés, liritannicus mourant excitera le zèle De ses amis , tout prêts à prendre sa querelle.
Página 291 - Soin de plaire sans art, crainte toujours nouvelle, Beauté, gloire, vertu, je trouve tout en elle. Depuis cinq ans entiers chaque jour je la vois, Et crois toujours la voir pour la première fois.
Página 321 - Je crois, depuis cinq ans jusqu'à ce dernier jour, Vous avoir assuré d'un véritable amour. Ce n'est pas tout: je veux, en ce moment funeste, Par un dernier effort couronner tout le reste : Je vivrai, je suivrai vos ordres absolus.
Página 536 - Dans le fond des forêts allaient-ils se cacher ? Hélas ! ils se voyaient avec pleine licence ; Le ciel de leurs soupirs approuvait l'innocence ; Ils suivaient sans remords leur penchant amoureux ; Tous les jours se levaient clairs et sereins pour eux...