Théâtre complet de J. Racine, précédé d'une notice par m. AugerFirmin-Didot, 1862 - 663 páginas |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 72
Página 2
... Rome , entendaient , écrivaient et parlaient mieux que nous . A peine Racine eut - il achevé sa philosophie , qu'il se fit connaître assez avantageusement par son ode intitulée LA NYMPHE DE LA SEINE . Cette pièce , qu'il publia en 1660 ...
... Rome , entendaient , écrivaient et parlaient mieux que nous . A peine Racine eut - il achevé sa philosophie , qu'il se fit connaître assez avantageusement par son ode intitulée LA NYMPHE DE LA SEINE . Cette pièce , qu'il publia en 1660 ...
Página 184
... moi , je suis fort honnête homme . CHICANEAU . Mais fripon le plus franc qui soit de Caen à Rome . L'INTIMÉ . Monsieur , je ne suis pas pour vous désavouer : Vous aurez la bonté de me le bien payer . 184 LES PLAIDEURS .
... moi , je suis fort honnête homme . CHICANEAU . Mais fripon le plus franc qui soit de Caen à Rome . L'INTIMÉ . Monsieur , je ne suis pas pour vous désavouer : Vous aurez la bonté de me le bien payer . 184 LES PLAIDEURS .
Página 214
... Rome , dans une chambre du palais de Neron . ACTE PREMIER . SCÈNE I. AGRIPPINE , ALBINE . ALBINE . Quoi ! tandis que Néron s'abandonne au sommeil , Faut - il que vous veniez attendre son réveil ? Qu'errant dans le palais , sans suite et ...
... Rome , dans une chambre du palais de Neron . ACTE PREMIER . SCÈNE I. AGRIPPINE , ALBINE . ALBINE . Quoi ! tandis que Néron s'abandonne au sommeil , Faut - il que vous veniez attendre son réveil ? Qu'errant dans le palais , sans suite et ...
Página 215
... Rome un empereur parfait ? Rome , depuis trois ans par ses soins gouvernée , Au temps de ses consuls croit être retournée : Il la gouverne en père . Enfin , Néron naissant A toutes les vertus d'Auguste vieillissant . AGRIPPINE . Non ...
... Rome un empereur parfait ? Rome , depuis trois ans par ses soins gouvernée , Au temps de ses consuls croit être retournée : Il la gouverne en père . Enfin , Néron naissant A toutes les vertus d'Auguste vieillissant . AGRIPPINE . Non ...
Página 216
... Rome lui défère , Néron n'en reçoit point qu'il ne donne à sa mère . Sa prodigue amitié ne se réserve rien : Votre nom est dans Rome aussi saint que le sien 216 BRITANNICUS .
... Rome lui défère , Néron n'en reçoit point qu'il ne donne à sa mère . Sa prodigue amitié ne se réserve rien : Votre nom est dans Rome aussi saint que le sien 216 BRITANNICUS .
Otras ediciones - Ver todas
Términos y frases comunes
ABNER ACHILLE ACOMAT AGAMEMNON AGRIPPINE Alexandre Allez amant âme amour ANDROMAQUE ANTIGONE ANTIOCHUS ARBATE ARCAS ARICIE ARSACE ASSUÉRUS ATALIDE ATHALIE ATTALE AXIANE Bajazet BÉRÉNICE bras BRITANNICUS BURRHUS Calchas charmes cher chercher CHICANEAU CHOEUR ciel CLÉOFILE CLYTEMNESTRE cœur colère COMTESSE courroux crainte CRÉON crime cruel DANDIN dessein Dieu dieux douleur enfin ennemis ÉRIPHILE ESTHER ÉTÉOCLE fille fils frère funeste fureur gloire Grecs haine Hélas Hémon HERMIONE HIPPOLYTE HYDASPE hymen IPHIGÉNIE j'ai JOAD JOAS JOCASTE JOSABETH jour JUNIE l'amour L'INTIMÉ laisse larmes LÉANDRE lieux m'en madame main malheureux MATHAN MITHRIDATE moi-même MONIME monsieur mort NARCISSE Néron OENONE OLYMPE ORESTE OSMIN parler père perfide PETIT-JEAN peuple peut-être Pharnace PHÈDRE pleurs Polynice Porus prince princesse Pyrrhus régner reine rois Rome ROXANE sais sang SCÈNE secret seigneur seul sœur soins sort soupirs TAXILE Titus tragédie trépas triste trône trouble vainqueur vais venger veut veux victoire vœux vois vous-même XIPHARÈS yeux ZAÏRE
Pasajes populares
Página 544 - Cependant, sur le dos de la plaine liquide, S'élève à gros bouillons une montagne humide ; L'onde approche, se brise, et vomit à nos yeux, Parmi des flots d'écume, un monstre furieux.
Página 545 - Hippolyte lui seul, digne fils d'un héros, Arrête ses coursiers, saisit ses javelots, Pousse au monstre, et d'un dard lancé d'une main sûre II lui fait dans le flanc une large blessure. De rage et de douleur le monstre bondissant Vient aux pieds des chevaux tomber en mugissant, Se roule, et leur présente une gueule enflammée Qui les couvre de feu, de sang, et de fumée.
Página 143 - Fais connaître à mon fils les héros de sa race ; Autant que tu pourras, conduis-le sur leur trace : Dis-lui par quels exploits leurs noms ont éclaté, Plutôt ce qu'ils ont fait que ce qu'ils ont été ; Parle-lui tous les jours des vertus de son père ; Et quelquefois aussi parle-lui de sa mère.
Página 140 - Songe, songe, Céphise, à cette nuit cruelle Qui fut pour tout un peuple une nuit éternelle. Figure-toi Pyrrhus, les yeux étincelants, Entrant à la lueur de nos palais brûlants, Sur tous mes frères morts se faisant un passage, Et, de sang tout couvert, échauffant le carnage.
Página 272 - Ce n'est point une nécessité qu'il y ait du sang et des morts dans une tragédie : il suffit que l'action en soit grande, que les acteurs en soient héroïques, que les passions y soient excitées, et que tout s'y ressente de cette tristesse majestueuse qui fait tout le plaisir de la tragédie.
Página 496 - ... la seule pensée du crime y est regardée avec autant d'horreur que le crime même ; les faiblesses de l'amour y passent pour de vraies faiblesses ; les passions n'y sont présentées aux yeux que pour montrer tout le désordre dont elles sont cause ; et le vice y est peint partout avec des couleurs qui en font connaître et haïr la difformité.
Página 254 - C'est à vous à choisir, vous êtes encor maître. Vertueux jusqu'ici , vous pouvez toujours l'être : Le chemin est tracé , rien ne vous retient plus ; Vous n'avez qu'à marcher de vertus en vertus. Mais si de vos flatteurs vous suivez la maxime , II vous faudra , seigneur, courir de crime en crime , Soutenir vos rigueurs par d'autres cruautés, Et laver dans le sang vos bras ensanglantés, liritannicus mourant excitera le zèle De ses amis , tout prêts à prendre sa querelle.
Página 291 - Soin de plaire sans art, crainte toujours nouvelle, Beauté, gloire, vertu, je trouve tout en elle. Depuis cinq ans entiers chaque jour je la vois, Et crois toujours la voir pour la première fois.
Página 321 - Je crois, depuis cinq ans jusqu'à ce dernier jour, Vous avoir assuré d'un véritable amour. Ce n'est pas tout: je veux, en ce moment funeste, Par un dernier effort couronner tout le reste : Je vivrai, je suivrai vos ordres absolus.
Página 536 - Dans le fond des forêts allaient-ils se cacher ? Hélas ! ils se voyaient avec pleine licence ; Le ciel de leurs soupirs approuvait l'innocence ; Ils suivaient sans remords leur penchant amoureux ; Tous les jours se levaient clairs et sereins pour eux...