Théâtre complet de J. Racine, précédé d'une notice par m. AugerFirmin-Didot, 1862 - 663 páginas |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 100
Página 15
... , Voudront toujours pour prince un roi si magnanime ; Et cet illustre effort , loin d'affaiblir vos droits , Vous rendra le plus juste et le plus grand des rois . Ou , s'il faut que mes vœux vous trouvent inflexible ACTE I , SCÈNE III . 15.
... , Voudront toujours pour prince un roi si magnanime ; Et cet illustre effort , loin d'affaiblir vos droits , Vous rendra le plus juste et le plus grand des rois . Ou , s'il faut que mes vœux vous trouvent inflexible ACTE I , SCÈNE III . 15.
Página 22
... loin de vous , Un amant qui ne doit mourir qu'à vos genoux ? Ah ! d'un si bel objet quand une âme est blessée , Quand un cœur jusqu'à vous élève sa pensée , Qu'il est doux d'adorer tant de divins appas ! Mais aussi que l'on souffre en ...
... loin de vous , Un amant qui ne doit mourir qu'à vos genoux ? Ah ! d'un si bel objet quand une âme est blessée , Quand un cœur jusqu'à vous élève sa pensée , Qu'il est doux d'adorer tant de divins appas ! Mais aussi que l'on souffre en ...
Página 31
... loin avant que je sortisse ; Ils ne m'entendaient plus , et mes cris douloureux Vainement par leur nom les rappelaient tous deux . Ils ont tous deux volé vers le champ de bataille ; Et moi , je suis montée au haut de la muraille , D'où ...
... loin avant que je sortisse ; Ils ne m'entendaient plus , et mes cris douloureux Vainement par leur nom les rappelaient tous deux . Ils ont tous deux volé vers le champ de bataille ; Et moi , je suis montée au haut de la muraille , D'où ...
Página 39
... loin de nous , on la perd à demi . Ne t'étonne donc plus si je veux qu'ils se voient : Je veux qu'en se voyant leurs fureurs se déploient ; Que rappelant leur haine , au lieu de la chasser , Ils s'étouffent , Attale , en voulant s ...
... loin de nous , on la perd à demi . Ne t'étonne donc plus si je veux qu'ils se voient : Je veux qu'en se voyant leurs fureurs se déploient ; Que rappelant leur haine , au lieu de la chasser , Ils s'étouffent , Attale , en voulant s ...
Página 42
... loin d'approcher , vous reculez tous deux ! D'où vient ce sombre accueil et ces regards fàcheux ? N'est - ce point que chacun , d'une âme irrésolue , Pour saluer son frère attend qu'il le salue ; Et qu'affectant l'honneur de céder le ...
... loin d'approcher , vous reculez tous deux ! D'où vient ce sombre accueil et ces regards fàcheux ? N'est - ce point que chacun , d'une âme irrésolue , Pour saluer son frère attend qu'il le salue ; Et qu'affectant l'honneur de céder le ...
Otras ediciones - Ver todas
Términos y frases comunes
ABNER ACHILLE ACOMAT AGAMEMNON AGRIPPINE Alexandre Allez amant âme amour ANDROMAQUE ANTIGONE ANTIOCHUS ARBATE ARCAS ARICIE ARSACE ASSUÉRUS ATALIDE ATHALIE ATTALE AXIANE Bajazet BÉRÉNICE bras BRITANNICUS BURRHUS Calchas charmes cher chercher CHICANEAU CHOEUR ciel CLÉOFILE CLYTEMNESTRE cœur colère COMTESSE courroux crainte CRÉON crime cruel DANDIN dessein Dieu dieux douleur enfin ennemis ÉRIPHILE ESTHER ÉTÉOCLE fille fils frère funeste fureur gloire Grecs haine Hélas Hémon HERMIONE HIPPOLYTE HYDASPE hymen IPHIGÉNIE j'ai JOAD JOAS JOCASTE JOSABETH jour JUNIE l'amour L'INTIMÉ laisse larmes LÉANDRE lieux m'en madame main malheureux MATHAN MITHRIDATE moi-même MONIME monsieur mort NARCISSE Néron OENONE OLYMPE ORESTE OSMIN parler père perfide PETIT-JEAN peuple peut-être Pharnace PHÈDRE pleurs Polynice Porus prince princesse Pyrrhus régner reine rois Rome ROXANE sais sang SCÈNE secret seigneur seul sœur soins sort soupirs TAXILE Titus tragédie trépas triste trône trouble vainqueur vais venger veut veux victoire vœux vois vous-même XIPHARÈS yeux ZAÏRE
Pasajes populares
Página 544 - Cependant, sur le dos de la plaine liquide, S'élève à gros bouillons une montagne humide ; L'onde approche, se brise, et vomit à nos yeux, Parmi des flots d'écume, un monstre furieux.
Página 545 - Hippolyte lui seul, digne fils d'un héros, Arrête ses coursiers, saisit ses javelots, Pousse au monstre, et d'un dard lancé d'une main sûre II lui fait dans le flanc une large blessure. De rage et de douleur le monstre bondissant Vient aux pieds des chevaux tomber en mugissant, Se roule, et leur présente une gueule enflammée Qui les couvre de feu, de sang, et de fumée.
Página 143 - Fais connaître à mon fils les héros de sa race ; Autant que tu pourras, conduis-le sur leur trace : Dis-lui par quels exploits leurs noms ont éclaté, Plutôt ce qu'ils ont fait que ce qu'ils ont été ; Parle-lui tous les jours des vertus de son père ; Et quelquefois aussi parle-lui de sa mère.
Página 140 - Songe, songe, Céphise, à cette nuit cruelle Qui fut pour tout un peuple une nuit éternelle. Figure-toi Pyrrhus, les yeux étincelants, Entrant à la lueur de nos palais brûlants, Sur tous mes frères morts se faisant un passage, Et, de sang tout couvert, échauffant le carnage.
Página 272 - Ce n'est point une nécessité qu'il y ait du sang et des morts dans une tragédie : il suffit que l'action en soit grande, que les acteurs en soient héroïques, que les passions y soient excitées, et que tout s'y ressente de cette tristesse majestueuse qui fait tout le plaisir de la tragédie.
Página 496 - ... la seule pensée du crime y est regardée avec autant d'horreur que le crime même ; les faiblesses de l'amour y passent pour de vraies faiblesses ; les passions n'y sont présentées aux yeux que pour montrer tout le désordre dont elles sont cause ; et le vice y est peint partout avec des couleurs qui en font connaître et haïr la difformité.
Página 254 - C'est à vous à choisir, vous êtes encor maître. Vertueux jusqu'ici , vous pouvez toujours l'être : Le chemin est tracé , rien ne vous retient plus ; Vous n'avez qu'à marcher de vertus en vertus. Mais si de vos flatteurs vous suivez la maxime , II vous faudra , seigneur, courir de crime en crime , Soutenir vos rigueurs par d'autres cruautés, Et laver dans le sang vos bras ensanglantés, liritannicus mourant excitera le zèle De ses amis , tout prêts à prendre sa querelle.
Página 291 - Soin de plaire sans art, crainte toujours nouvelle, Beauté, gloire, vertu, je trouve tout en elle. Depuis cinq ans entiers chaque jour je la vois, Et crois toujours la voir pour la première fois.
Página 321 - Je crois, depuis cinq ans jusqu'à ce dernier jour, Vous avoir assuré d'un véritable amour. Ce n'est pas tout: je veux, en ce moment funeste, Par un dernier effort couronner tout le reste : Je vivrai, je suivrai vos ordres absolus.
Página 536 - Dans le fond des forêts allaient-ils se cacher ? Hélas ! ils se voyaient avec pleine licence ; Le ciel de leurs soupirs approuvait l'innocence ; Ils suivaient sans remords leur penchant amoureux ; Tous les jours se levaient clairs et sereins pour eux...