IphigénieIvison, 1858 - 320 páginas |
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... mortels ont de plus redoutable , Semble s'être assemblé contre nous par hasard , Je veux dire la brigue et l'éloquence . Car , D'un côté , le crédit du défunt m'épouvante ; Et , de l'autre côté , l'éloquence éclatante De maître Petit ...
... mortels ont de plus redoutable , Semble s'être assemblé contre nous par hasard , Je veux dire la brigue et l'éloquence . Car , D'un côté , le crédit du défunt m'épouvante ; Et , de l'autre côté , l'éloquence éclatante De maître Petit ...
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... mortels : Ils m'ont fermé leur temple , et ces peuples barbares De mon sang prodigué sont devenus avares . Enfin je viens à vous , et je me vois réduit A chercher dans vos yeux une mort qui me fuit . Mon désespoir n'attend que leur ...
... mortels : Ils m'ont fermé leur temple , et ces peuples barbares De mon sang prodigué sont devenus avares . Enfin je viens à vous , et je me vois réduit A chercher dans vos yeux une mort qui me fuit . Mon désespoir n'attend que leur ...
Página 99
... me reste un fils . Vous saurez quelque jour , Madame , pour un fils jusqu'où va notre amour : Mais vous ne saurez pas , du moins je le souhaite , 26 28 En quel trouble mortel son intérêt nous jette , Lorsque ACTE III , SCÈNE IV . 99.
... me reste un fils . Vous saurez quelque jour , Madame , pour un fils jusqu'où va notre amour : Mais vous ne saurez pas , du moins je le souhaite , 26 28 En quel trouble mortel son intérêt nous jette , Lorsque ACTE III , SCÈNE IV . 99.
Página 100
Jean Racine Louis Fasquelle. En quel trouble mortel son intérêt nous jette , Lorsque de tant de biens qui pouvaient nous flatter C'est le seul qui nous reste , et qu'on veut nous l'ôter.3 Hélas ! lorsque , lassés de dix ans de misère ...
Jean Racine Louis Fasquelle. En quel trouble mortel son intérêt nous jette , Lorsque de tant de biens qui pouvaient nous flatter C'est le seul qui nous reste , et qu'on veut nous l'ôter.3 Hélas ! lorsque , lassés de dix ans de misère ...
Página 121
... mortels et le plus amoureux . Je l'ai vu vers le temple , où son hymen s'apprête , Mener en1 conquérant sa nouvelle conquête ; Et , d'un œil où brillaient sa joie et son espoir , S'enivrer en marchant du plaisir de la voir . 24 26 ...
... mortels et le plus amoureux . Je l'ai vu vers le temple , où son hymen s'apprête , Mener en1 conquérant sa nouvelle conquête ; Et , d'un œil où brillaient sa joie et son espoir , S'enivrer en marchant du plaisir de la voir . 24 26 ...
Términos y frases comunes
ABNER ACHILLE ÆGINE AGAMEMNON alarmes Allez AMAN amant âme amour ANDROMAQUE ARCAS ASSUÉRUS ATHALIE autels bras cacher Calchas CÉPHISE charmes cher chercher CHEUR CHICANEAU CHŒUR ciel CLÉONE CLYTEMNESTRE cœur COMTESSE courroux cruel d'Achille d'Hector DANDIN David Dieu dieux DORIS Éliacin ÉLISE enfant enfin ennemis époux ÉRIPHILE Est-ce ESTHER fille fils funeste fureur German German language gloire Grecs haine Hélas HERMIONE heureux HYDASPE hymen IPHIGÉNIE ISABELLE ISRAELITE j'ai JOAD JOAS joie JOSABET jour Juifs l'autel L'INTIMÉ laisse language larmes LÉANDRE lévites m'en madame mains malheureux Mardochée MATHAN METHOD moi-même monsieur mortels NOTES AND REFERENCES NOTES AND REFERENCES.-¹ ORESTE père perfide PETIT JEAN peuple PHOENIX pleurs prêtres princesse puis-je PYLADE Pyrrhus reine rois saint sais SALOMITH sang SCÈNE VIII secret seigneur serments seul soin songe sort SOUFFLEUR temple triste Troie trouble Troyens ULYSSE venger veux Voilà vois voix vous-même WOODBURY'S yeux ZACHARIE zèle
Pasajes populares
Página 275 - J'aime à voir comme vous l'instruisez. Enfin, Éliacin, vous avez su me plaire. Vous n'êtes point sans doute* un enfant ordinaire. Vous voyez, je suis Reine, et n'ai point d'héritier. Laissez là cet habit, quittez ce vil métier. Je veux vous faire part de toutes mes richesses. Essayez dès ce jour l'effet de mes promesses.
Página 259 - En vain l'injuste violence Au peuple qui le loue imposerait silence ! Son nom ne périra jamais. Le jour annonce au jour sa gloire et sa puissance, Tout l'univers est plein de sa magnificence ; Chantons, publions ses bienfaits.
Página 210 - Dieu, que la gloire couronne, Dieu, que la lumière environne, Qui voles sur l'aile des vents, Et dont le trône est porté par les anges ; DEUX AUTRES DES PLUS JEUNES.
Página 245 - Ton Dieu n'est plus irrité : Réjouis-toi, Sion, et sors de la poussière; Quitte les vêtements de ta captivité, Et reprends ta splendeur première. Les chemins de Sion à la fin sont ouverts : * Rompez vos fers, Tribus captives ; Troupes fugitives, Repassez les monts et les mers : Rassemblez-vous des bouts de l'univers.
Página 13 - Jamais, au grand jamais, elle ne me quitta, Et Dieu sait bien souvent ce Qu'elle en rapporta; Elle eût du buvetier emporté les serviettes, Plutôt que de rentrer au logis les mains nettes'.
Página 76 - Je passais jusqu'aux lieux où l'on garde mon fils. Puisqu'une fois le jour vous souffrez que je voie Le seul bien qui me reste et d'Hector et de Troie , J'allais , seigneur,, pleurer un moment avec lui.
Página 209 - Hélas! si jeune encore, Par quel crime ai-je pu mériter mon malheur? Ma vie à peine a commencé d'éclore: Je tomberai comme une fleur Qui n'a vu qu'une aurore.
Página 292 - Comment en un plomb vil l'or pur s'est-il changé? Quel est dans le lieu saint ce pontife égorgé? Pleure, Jérusalem, pleure, cité perfide, Des prophètes divins malheureuse homicide. De son amour pour toi ton Dieu s'est dépouillé. Ton encens à ses yeux est un encens souillé. Où menez- vous ces enfants et ces femmes?
Página 292 - Le Seigneur a détruit la reine des cités : Ses prêtres sont captifs, ses rois sont rejetés; Dieu ne veut plus qu'on vienne à ses solennités : Temple, renverse-toi; cèdres, jetez des flammes. Jérusalem, objet de ma douleur, Quelle main en un jour t'a ravi tous tes charmes? Qui changera mes yeux en deux sources de larmes Pour pleurer ton malheur?
Página 272 - Votre père ? JOAS. Je suis, dit-on, un orphelin Entre les bras de Dieu jeté dès ma naissance, Et qui de mes parents n'eus jamais connaissance.