Mémoires tirés des papiers d'un homme d'état: sur les causes secrètes qui ont déterminé la politique des cabinets dans les guerres de la révolution, Volumen2Société typographique belge, A. Wahlen et compagnie, 1839 |
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... armes , ne se retirèrent qu'après avoir été les témoins complaisants de la prise de possession de ce boulevard de l'Allemagne par une garnison française . D'après la convention secrète signée à Rastadt , les Autrichiens auraient dû le ...
... armes , ne se retirèrent qu'après avoir été les témoins complaisants de la prise de possession de ce boulevard de l'Allemagne par une garnison française . D'après la convention secrète signée à Rastadt , les Autrichiens auraient dû le ...
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... armes ? Que » de commotions n'occasionnerait pas leur reflux » dans l'intérieur ! Que ferait - il de ces trois ou qua- » tre mille généraux et officiers supérieurs qui n'au- >> raient plus ni lauriers à moissonner , ni riches ...
... armes ? Que » de commotions n'occasionnerait pas leur reflux » dans l'intérieur ! Que ferait - il de ces trois ou qua- » tre mille généraux et officiers supérieurs qui n'au- >> raient plus ni lauriers à moissonner , ni riches ...
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... armes dans notre ville ? combien y a - t - il » d'hommes capables de porter les armes dans le bailliage ? combien doit - il en rester pour veiller à 39 » la police ? combien y a - t - il de prisonniers , et qui » les surveille ? comment ...
... armes dans notre ville ? combien y a - t - il » d'hommes capables de porter les armes dans le bailliage ? combien doit - il en rester pour veiller à 39 » la police ? combien y a - t - il de prisonniers , et qui » les surveille ? comment ...
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... armes chargées , égorgent les » Français et se déchaînent contre les cocardes » françaises . Sachez que monsignor Gonsalvi a » donné ordre de tirer sur les Français , sur les patriotes , les altroupements et les gances d'or ; et >> » en ...
... armes chargées , égorgent les » Français et se déchaînent contre les cocardes » françaises . Sachez que monsignor Gonsalvi a » donné ordre de tirer sur les Français , sur les patriotes , les altroupements et les gances d'or ; et >> » en ...
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... armes deux mille hommes , tant infanterie que cavalerie , dont une partie devait faire des patrouilles , l'autre former des corps de garde aux principaux postes garnis d'artillerie , notamment à la place de Saint - Pierre près du Ghetto ...
... armes deux mille hommes , tant infanterie que cavalerie , dont une partie devait faire des patrouilles , l'autre former des corps de garde aux principaux postes garnis d'artillerie , notamment à la place de Saint - Pierre près du Ghetto ...
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Términos y frases comunes
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Pasajes populares
Página 461 - ... nos destinées aux vôtres, qui nous lie à vos familles, à vos cœurs, à vos consciences. Jamais nous ne transigerons sur l'héritage de nos pères. Jamais nous n'abandonnerons nos droits. Français ! nous prenons à témoin de ce serment le Dieu de saint Louis, celui qui
Página 163 - J'ai accepté cette mission, parce que je me » suis constamment prononcé dans ma patrie, » et au milieu de toutes les fonctions auxquelles » j'ai été appelé, en faveur du système qui tend » à unir par des liens intimes les intérêts de la
Página 114 - ... fut donc, à n'en plus douter, le principal motif de l'attentat politique qui fut alors dirigé contre les Suisses, et que nous avons rapporté. Toutefois, avant cet événement , et à l'époque dont il s'agit, le directoire flottait encore entre la descente en Angleterre et l'expédition d'Egypte. On ne faisait de préparatifs que contre les Anglais. Bonaparte lui-même n'avait pas arrêté ses déterminations. Bien qu'il ne parût plus occupé que de l'expédition d'Angleterre, et que le directoire...
Página 480 - observe qu'il eût fallu s'expliquer d'avance et ca» légoriquement , comme si cette explication était » un devoir pour celui qui se repose sur la foi d'un » principe et non pour celui qui se propose de le » violer ! On prétexte des faits qui n'ont jamais » existé que dans des rapports infidèles ; et en prê» tant aux Autrichiens des torts qu'ils n'eurent ja...
Página 376 - Lunéville , le 20 pluviôse an 9 de la république (ou le 9 février 1801), à ce que la république française possède désormais, en toute souveraineté et propriété , les pays et domaines situés sur la rive gauche du Rhin, et qui faisaient partie de l'empire germanique, son altesse...
Página 275 - ... semblait donc un contre-sens politique , et il n'était pas d'ailleurs dans la confidence des négociations secrètes du directoire avec l'Autriche. L'opinion de Jouberl sur l'infaillibilité du renouvellement de la guerre avait été déterminée par une circonstance particulière très remarquable. A la veille de son départ pour Milan, M. de Talleyrand lui communiqua le plan d'attaque combiné des Russes et des Autrichiens, et quoiqu'il n'eût point avec ce général de relations officielles,...
Página 108 - Les circonstances n'ont point encore changé , » et il faut remettre à d'autres temps tout pro» jet sur l'Egypte : je n'y renonce pas, car cette » contrée fixe mon attention d'une manière » toute particulière. Je sens le degré d'utilité » dont elle peut être pour la république. Je ne » m'expliquerai pas à cet égard d'une manière » plus positive ; il doit vous suffire de savoir » que mes vues reposent sur les bases conte...
Página 256 - ... combats qu'il avait livrés depuis sept à huit jours. Ses soldats étaient découragés. Il se trouvait débordé par sa droite depuis la défaite de Micheroux, et chaque jour son adversaire se renforçait des secours qui lui arrivaient de la haute Italie. Enfin l'Autriche ne prenait point l'offensive sur l'Àdige, ce qui rendait la position des Napolitains singulièrement critique.
Página 118 - ... il savait que Bonaparte s'était montré disposé à marcher sur Paris à cette époque avec une partie de son armée, et depuis il avait acquis la certitude qu'en signant la paix , ce général avait eu des motifs personnels d'ambition; qu'il était convenu avec Cobentzl du congrès à Rastadt dont il serait le président; qu'il y aurait une armée rassemblée sur les côtes de l'Océan en apparence pour marcher contre l'Angleterre, mais en réalité pour marcher sur Paris et renverser le gouvernement...
Página 150 - Le a5 , au .moment où elle reconnaissait la côte de Candie, elle fut jointe par la frégate la Justice qui venait de croiser devant Naples, et qui donna l'avis positif qu'une escadre anglaise était dans ces parages. Alors Bonaparte ordonna qu'au lieu de se diriger directement sur Alexandrie on manœuvrât pour attaquer l'Afrique au cap d'Azé , à vingt-cinq lieues d'Alexandrie, et qu'on ne se présentât devant cette ville que lorsqu'on aurait reçu d'autres avis. On sait que ce fut cette direction...