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extinct periodical "Notes and Queries on China and Japan" 1), for 1869. In the Nestorian question he took a lively interest, and he published two articles upon it in the China Review 2).

But what most interested Mr. Phillips was the history of the province of Fuh-kien and Formosa. With respect to the former he published an article on the history of Amoy 3); and in this Journal an article on some Fuh-kien bridges and on two mediæval Fuh-kien trading ports, Chüan-chow and Chang-chow). Before these two last articles, he had published two others on Chang-chow, the famous Zaitun of mediæval authors 5). In the China Review he had also published two articles upon the early spanish Trade with that city 6), and one upon the early portugese trade in Fuhkien 7).

On Formosa, he published two articles about the Dutch occupation and trade in that island 8), and a biography of the pirate Koxinga 9). In 1886 Mr. Phillips

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The Chinese names given to Arabia and Persia...

A Note concerning Fuh-lin.....

Palm growing countries...

The chinese name for Coilon..

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- 179 2) Supposed mention in Chinese History of the Nestorian Missions to China in the 7th and 8th Centuries (China Review, VII, pp. 412-415. Nestorians at Canton (China Review, VIII, pp. 31-34).

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3) Some episodes in the History of Amoy (China Review, XXI, N°. 2, pp. 80-100). 4) Two Mediæval Fuh-kien Trading Ports, Chuan-chow and Chang-chow. By Geo. Phillips. Part. I. Chang-chow. (Toung-pao, VI, No. 5, Dec. 1895, pp. 449–463). Part. II. Chuan-chow. (Ibid., VII, No. 3, July 1896, pp. 223-240, with 3 photog.).

5) Changchow, the Capital of Fuhkien in Mongol Times. By Geo. Phillips, F. R. G. S., H. B. M. Consul, Fuchau. (Read before the Society 19th november 1888.) (Jour. C. B. R. A. S., XXIII, N. S., no. 1, 1888, pp. 23-30)

The Identity of Marco Polo's Zaitun with Chang-chau, by Geo. Phillips, F. R. G. S.; H. B. M. Consul Foochow. (With a sketch-map of Marco-Polo's route.) (Toung-pao, I, Oct. 1890, pp. 218-238.)

6) Early spanish trade with Chin-cheo (Chang-chow). Is the Chincheo of Mendoza Chinchew or Changchow? (China Review, XIX (1891), pp. 243-256, XX (1892), pp. 25-28.

7) Early portuguese trade in Fuhkien.

8) Notes on the Dutch occupation of Formosa (China Review, X, pp. 123-128). Dutch trade in Formosa in 1629, published at Shanghai in the "Celestial Empire"'s office. 26 pages with 1 photograph.

9) The life of Koxinga (China Review, Vol. XIII, 1884-85, pp. 65-74, 207-213).

published a longer article on the Seaports of India and Ceylon, with a Chinese map of them 10).

In the Chinese Recorder he also published an article on Tiao-chih 11) and two on the roads to the Western sea 12).

Last year he contributed to the Journal of the Royal Asiatic Society of London, an article on Bengal 1), and in April of this year one on Cochin, Calicut and Aden 14).

Some of his geographical articles 15) found strong contradictions, especially from the part of Sir Henry Yule and Dr. Bretschneider.

But at the end of his life Colonel Yule said to Mr. Cordier: "Phillips has been at me for the last fifteen years, and I am not sure that he is wrong". As well known, Mr. Cordier, whilst accepting Mr. Phillips' theory with respect to Chang-chow as very plausible, found his arguments in favour of Foo-chow very weak.

Mr. Phillips was married in January 1868, in the Cathedral of Hongkong, to Miss JENNIE E. MARSH.

His too early death is an irreparable loss to his wife and children, as well as to Sinology.

November 1896.

G. SCHLEGEL.

10) The Seaports of India and Ceylon, described by chinese voyagers of the fifteenth century, together with an account of chinese navigation from Sumatra to China, by George Phillips, Esq., H. B. M.'s Consul at Swatow (Journal of the China Branch of the Royal Asiatic Society, Vol. XX (1885), pp. 209–226 and XXI (1886), pp. 30—42). 11) On what sea was Tiao-chih situated, and how was it reached from

China? (China Review, III, Oct. 1870, pp. 137-138). 12) The Roads to the Western Sea

A from China: The Northern Road.

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13) Mahuan's Account of the Kingdom of Bengala (Bengal). (Journ. Royal Asiatic Society, July, 1895, Art. XIV, pp. 523–535).

14) Mahuan's Account of Cochin, Calicut and Aden. (lbid., April 1896, Art. VIII, pp. 341-351).

15) Marco Polo and Ibn Batuta in Fookien, by Geo. Phillips. (Chinese Recorder, III, 1870-1871, pp. 12, 44, 71, 87, 125).

Notices of Southern Mangi. By George Phillips, H. M. Consular Service, China; with Remarks by Colonel Yule, C. B. (From the Journal of the Royal Geographical Society). Notices of Southern Mangi. By George Phillips, H. M. Consular Service, China. [Abridgment.] (Proc. R. Geog. Soc., XVIII, 1873–1874, pp. 168-173).

Zaitun Researches. By Geo. Phillips. (Chinese Recorder, V, pp. 327–339; VI, 31-42; VII, pp. 330-338, 404-418; VIII, 117–124).

BULLETIN CRITIQUE.

Sur l'origine de l'Alphabet Turc les caractères de l'alphabet arsacide, du Nord de l'Asie par O. DONNER. | tels qu'ils se montrent dans les (Journal de la Société FinnoOugrienne XIV, 1). Helsingfors, 1896.

Dans ce mémoire de 71 pages, le savant professeur de Helsingfors traite fort au long de la question quel est le prototype de l'alphabet des inscriptions en ancien Turc ou Turc du Nord, déterrées dans la vallée de l'Orkhon, et déchiffrées par M. Thomsen de Copenhague. Faute des lettres turques de ces inscriptions, nous ne pouvons pas faire suivre par nos lecteurs les raisonnements de l'auteur qui se basent sur ces anciennes lettres.

La conclusion de l'auteur est que, quoique l'alphabet turc soit formé presque directement d'après

inscriptions sur les monnaies, il se distingue cependant par une grande indépendance et par beaucoup de conséquence dans sa formation. D'autres circonstances cependant amènent M. Donner à la conclusion que l'écriture turque ne s'est pas formée précisément de l'écriture arsacide sur les monnaies, mais de la forme de l'alphabet aranéen qui, pendant les premiers siècles de notre ère, était employé presque partout dans le Turkestan. M. Donner hésite à donner une date précise à l'introduction de cet alphabet parmi les peuplades turques du nord, et vacille entre le 3e et 4e siècle. L'examen de M. Donner nous parait être fait d'une manière très consciencieuse et nous

recommandons son mémoire aux étudiants de ces vieilles langues disparues aujourd'hui.

G. S.

Catalogue d'Estampes japonaises. Collection A. W. SIJTHOFF. Leide 1896.

M. A. W. SIJTHOFF, éditeur et imprimeur à Leide, a collectionné une énorme quantité d'estampes japonaises montant à 2933 numéros. Il vient d'en publier le catalogue en Français, pour circulation parmi ses amis. Ce catalogue qui, à ce que nous avons appris, a été rédigé par M. Deshayes, du Musée Guimet, contient le nom des peintres ainsi que des notes fort instructives au sujet de chaque

estampe. Sur la couverture sont reproduites deux estampes relatives à Itchikawa Dandjouro VIII (Nos. 2658, 2652 et 2653), qui s'est ouvert le ventre (harakiri) en sa 32e année (entre 1848-1853).

G. S.

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Cette lettre, retrouvée dans les Archives du Foreign Office à Londres en 1891, est datée de l'an 1816 et le texte en est reproduit dans le supplément du Toung-houa lou (X) un livre contenant l'histoire de la dynastie régnante jusqu'à 1735 (Wylie, Notes, p. 22). Comme ce supplément n'est pas aisément accessible en Europe, il est dommage que l'auteur n'ait pas également reproduit le texte chinois de cette lettre, curieuse sous plusieurs rapports. G. S.

Mag een Chinees bij uitersten wil over zijn vermogen onbeperkt beschikken, door Mr. P. H. FROMBERG. (overgedrukt uit het Tijdschrift «Het Recht in Nederlandsch-Indië, Dl. LXVI, Af. 3.)

Un Message de l'Empereur K'ia-k'ing au roi d'Angleterre

Dans ce mémoire de 70 pages,

l'auteur, qui est avoué à Batavia, traite de la question, si souvent débattue aux Indes Néerlandaises, si un Chinois a le droit ou non de disposer d'une façon absolue de sa fortune et de ses biens.

Après une étude consciencieuse et approfondie de ce qu'ont écrit à ce sujet MM. Moellendorf, Parker, Jamieson, Young, de Groot, Eitel, Scherzer, Schlegel et autres écrivains, l'auteur arrive à la conclusion que le droit de tester est en Chine en effet absolu, aussi longtemps que le testament n'est pas contraire à la loi selon laquelle les fils ont droit à la propriété de leur père après sa mort. Il faut un

arrêt du magistrat pour faire ex

clure un méchant fils de la succession, quand il est solennellement expulsé de la famille dans un conseil des plus proches membres (p. 55).

Nous avons parcouru avec beaucoup d'intérêt ce savant mémoire, qui vaudrait la peine d'être traduit dans une langue plus répandue que la langue hollandaise. Pour l'usage des juges dans les colonies françaises de l'extrême Orient, où la question des pouvoirs testamentaux doit s'élever à chaque moment parmi les populations chinoises, ce mémoire traduit en Français serait d'une utilité importante.

G. S.

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