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DES PRÉSIDENTS HONORAIRES DE LA SOCIÉTÉ (1).

MM.

Marquis de LAPLACE. *Marquis de PASTORET. *Vte de CHATEAUBRIAND. *Cte CHABROL. DE VOLVIC. * BECQUEY.

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* Le général baron PELET. Le contre-amir. Mathieu. GUIZOT.

*DE SALVANDY.

Baron TUPINIER.
Comte JAUBERT.

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Le vice-amiral LA PLACE.

Hippolyte FORTOUL.
LEFEBVRE-DURUFLE.
GUIGNIAUT.

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*L'amiral baron ROUSSIN.S. Exc. M. ROULAND. *L'am. baron de MACKAU.

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*

*

BoD ALEX. DE HUMBOLDT.
Le vice-amiral HALGAN.
Baron WALCKENAER.

* Comte MOLÉ.

DE LA ROQUETTE.

*JOMARD.

DUMAS.

S. Exc. l'am. DESFOSSÉS.
Le comte de GROSSOLES-
FLAMARENS.

S. Exc. M. le duc de PER

SIGNY.

Le contre-amiral de LA
RONCIÈRE LE NOURY.

COMPOSITION DU BUREAU DE LA SOCIÉTÉ

Président.

Vice-Présidents

Scrutateurs...

POUR 1863-1864.

S. Exc. M. le comte WALEWSKI, ministre d'État.
M. le vicomte FLEURIOT DE LANGLE, contre-amiral.
M. REINAUD, membre de l'Institut.

M. de PONGERVILLE, membre de l'Institut.
M. SEDILLOT.

Secrétaire...... M. Édouard CHARTON.

TRÉSORIER DE LA SOCIÉTÉ :

M. MEIGNEN, notaire, rue Saint-Honoré, 370.

AGENCE:

Au siége de la Société, rue Christine, 3.

M. N. NOIROT, agent.
M. A. NOIROT, adjoint.
M. CH. AUBRY, commis.

(1) La Société a perdu tous les Présidents dont les noms sont précédés d'un *.

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AU BUREAU DE LA SOCIÉTÉ
Rue Christine, 3

ET CHEZ M. ARTHUS BERTRAND, LIBRAIRE DE LA SOCIÉTÉ

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COMPOSITION DU BUREAU

ET DES SECTIONS DE LA COMMISSION CENTRALE

POUR 1864.

Président...

Vice-Présidents.

BUREAU.

M. D'AVEZAC.

M. VIVIEN DE SAINT-MARTIN.

M. de QUATREFAGES, membre de l'Institut.

Secrétaire général... M. V. A. Malte-Brun.

Secrétaires adjoints.. M. V. A. BARBIÉ DU BOCAGE.

M. C. MAUNOIR.

Section de Correspondance.

MM. d'Abbadie, corresp. de l'Institut. | MM. Auguste Himly.

Alexandre Bonneau.

Édouard Charton.

Cte d'Escayrac de Lauture.

De Froidefond des Farges, secr.
Victor Guérin.

MM. Buisson.

Gabriel Lafond.

De La Roquette, président.
A. Maury, de l'Institut.
Ernest Morin.

Noël des Vergers, corr. de l'Instit.

Section de Publication.

Eugène Cortambert, président.

Alfred Demersay.

Ernest Desjardins.

Jules Duval.

Guigniaut, de l'Institut.

MM. Alfred Jacobs.

Lourmand.

Morel-Fatio.

Élisée Reclus, secrétaire.
Sédillot.

Trémaux.

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La science géographique à laquelle de beaux travaux donnent tous les jours une impulsion nouvelle, n'est pas du tout ce que nous l'ont trop souvent représentée des traditions surannées ou d'injustes dédains. Parmi nos souvenirs d'enfance, ceux que nous ont laissés nos classes de géographie, ne sont certes pas les plus gracieux : on en fait d'ordinaire l'épouvantail de nos jeunes années en les réduisant par une vieille routine classique

aux limites étroites d'accolades arides et de nomenclatures indigestes. Et cependant quelle place immense cette science ne tient-elle pas dans l'universalité des connaissance humaines! C'est elle, en effet, qui explore le globe, démêle l'origine des races diverses, rapproche les peuples, observe les mœurs, analyse les caractères, étudie les institutions, 'nous fait connaître enfin les ressources précieuses des contrées nouvelles, nous menant ainsi graduellement et par les étapes obligées du génie humain à la connaissance totale de la planète sur laquelle la Providence nous a jetés.

Vous voyez donc, messieurs, à combien de choses touche la science géographique, et tel en est le nombre qu'il est difficile d'imaginer dans la vie une occupation qui ne s'y rattache pas par quelque côté. Pour ne parler ici que de nous-mêmes, n'est-elle pas le bagage fondamental du militaire ? N'est-ce pas par elle que l'on dirige les flottes ou les armées, que l'on combine leurs divers mouvements stratégiques, que l'on fait vivre ou reposer les troupes, que l'on administre un pays conquis ou une colonie naissante? Les expéditions maritimes et lointaines qui semblent dans le goût du siècle et qu'ont rendu nécessaires le rayonnement de notre influence extérieure et l'expansion de notre vie commerciale, ont quelque peu déplacé les centres d'activité et les foyers de la vieille Europe, et par un jeu bizarre de la fortune, jeté plus d'une fois les soldats de la France aux deux extrémités du globe. Emportés ainsi par notre devoir dans cette course à travers le monde, il nous a été donné de temps à autre de consacrer quelques loisirs à l'étude des pays qu'on nous faisait

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