en disant: <Sous les Song, Kin Pa-kong A rencontra Lu Chouen-yang qui lui laissa dix mots de son écriture, à savoir les deux phrases. 號眺歸別處。結綵便飛雲 <Tout en se lamentant, il s'en retourna ailleurs; ayant noué une pièce de soie bariolée, il s'envola dans les nuages ». En outre, au pied du T'ai chan, au bord de l'étang de la (Si) wang mou E, il y a des autographes du vénérable immortel Lu; ce sont deux poésies, l'une en vers de cinq mots, l'autre en vers de sept mots; l'une d'elles est datée de l'année wou-yin (peut-être faut-il lire wou-tch'en 1028) de la période t'ien-cheng, sous les Song; l'autre est datée de l'année ping-chen (1116) de la période tcheng-ho. Le tracé des caractères est analogue à l'écriture de l'inscription de Tsi-nan fou». = Comme on le voit, il convient de noter comme une particularité de la légende de l'immortel Lu la présence de nombreux autographes dont on lui attribue la paternité. |