Chroniques d'Enguerrand de Monstrelet: p. 150. Duclercq, J., seigneur de Beauvoir en Ternois. Mémoires, 1448-1467Verdière, 1826 |
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... nobles , fut aussi celui qui porta à la no- blesse le coup le plus funeste , en la conférant pour de l'argent ; exemple qu'avait déjà donné en France Philippe - le - Bel 1 ; c'est ainsi que l'incon- séquence a quelquefois l'air d'une ...
... nobles , fut aussi celui qui porta à la no- blesse le coup le plus funeste , en la conférant pour de l'argent ; exemple qu'avait déjà donné en France Philippe - le - Bel 1 ; c'est ainsi que l'incon- séquence a quelquefois l'air d'une ...
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... nobles , les ecclésiastiques et les vilains . Il donna les terres aux premiers , les décimes et les aumônes aux seconds , et condamna les der- niers à travailler toute leur vie pour les uns et les autres . Les lots ainsi faits , il se ...
... nobles , les ecclésiastiques et les vilains . Il donna les terres aux premiers , les décimes et les aumônes aux seconds , et condamna les der- niers à travailler toute leur vie pour les uns et les autres . Les lots ainsi faits , il se ...
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... nobles , et les catins aux prètres . Ceux - ci ont obéi à Dieu , et rempli avec zèle la loi qu'il leur a imposée ; aussi seront- ils sauvés incontestablement . Mais quant aux no- bles , qui n'ont eu nul soin de ceux qu'on leur avoit ...
... nobles , et les catins aux prètres . Ceux - ci ont obéi à Dieu , et rempli avec zèle la loi qu'il leur a imposée ; aussi seront- ils sauvés incontestablement . Mais quant aux no- bles , qui n'ont eu nul soin de ceux qu'on leur avoit ...
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... NOBLES OU NON >> NOBLES , qu'il les feroit mourir . » Cette rigueur était à sa place , mais quelquefois elle dégénérait en férocité . Souvent le comte frappait ses gens d'armes et « menaçoit de faire mourir prestement >> dès qu'ils ne ...
... NOBLES OU NON >> NOBLES , qu'il les feroit mourir . » Cette rigueur était à sa place , mais quelquefois elle dégénérait en férocité . Souvent le comte frappait ses gens d'armes et « menaçoit de faire mourir prestement >> dès qu'ils ne ...
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... nobles ou privilégiés , >> dont on payoit les gages des gens d'armes ; et avoit >> chacun homme d'armes à trois chevaux , pour le >> mois quinze francs , seize sous monnoye royale » pour le franc , qui valloient onze couronnes et » demi ...
... nobles ou privilégiés , >> dont on payoit les gages des gens d'armes ; et avoit >> chacun homme d'armes à trois chevaux , pour le >> mois quinze francs , seize sous monnoye royale » pour le franc , qui valloient onze couronnes et » demi ...
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Términos y frases comunes
allées ne venues Anglois archiers assavoir atout aultres avecques avoient avoit bailli capitaine cents lanches ceste chambellan Charles Charollois chastel chevalier choses Clercq comte de Dunois comte de Foix comte de Saint-Pol conseiller costel d'icelle debvant dessusdites devers Dijon duc d'Yorck duc de Bourgogne duc de Bretaigne duc de Sombreset dudit échanson écuyer ès six premiers escuyers esté estoient estoit estre feit feurent Flandre Franchois fust gages gaiges ou livrée gens d'armes gneur gouverneur Harfleur icelle icellui Item Jean de Saulx Jean Mairet Jehan jour jusques ladite Lalain lanches ledit lesdits licencié en lois lieutenant Louis XI maditte dame maistre Maître Jean Maître Pierre mectre le siége MÉM mesme Messire Guillaume Messire Jacques Messire Jean mil quatre cent Monseigneur MONSTRELET moult ordonnance pays Pont-de-l'Arche prince prins prinse Rouan roy d'Angleterre roy de Franche s'en allèrent Saint-Pol seigneur servant à tour sieur six mois ensievants vénerie Vernoeul vindrent
Pasajes populares
Página cxxxv - Mars (nouv. style) l'hclippc, par la grace de Dieu, duc de Bourgoingne, de Lothier, de Brabant et de Lembourg, conte de Flandres, d'Artois, de Bourgoingne, palatin de Haynnau, de Hollande, de Zellande et de Namur, marquis du saint Empire, seigneur de Frise, de Salins et de Malines...
Página civ - ... affaires; et tels seigneurs ya qui n'ont que treize livres de rente, en argent, qui se glorifient de dire : « Parlez à mes gens », cuidans par cette parole contrefaire les très-grands seigneurs.
Página clii - Je n'ai point naturellement l'esprit désapprobateur. Platon remerciait le ciel de ce qu'il était né du temps de Socrate ; et moi, je lui rends grâces de ce qu'il m'a fait naître dans le gouvernement où je vis, et de ce qu'il a voulu que j'obéisse à ceux qu'il m'a fait aimer.
Página lxviii - D'autres fois les cheveux sont ronds et courts comme une perruque , qui aurait même une tonsure ou mouche au sommet. Olivier de la Marche raconte qu'en i46o « le duc » Philippe eut une maladie , et par conseil de ses » médecins se feit raire la teste et oster ses che» veuxjetpour n'être seul rais etdénué de sesche» veux, il feit un édict que touts les hommes no...
Página lxxiv - J'ai blanchet dont eus se font blanches ». Les dames, si jamais ce livre leur tombe sous la main, ce que nous n'osons espérer , seront peut-être bien aises d'avoir la recette dont se servaient leurs aïeules. Un certain Ogier ou Augier s'exprime ainsi dans un sirvente : « Je ne peux souffrir le teint » blanc et rouge que les vieilles se font avec l'on» guent d'un œuf battu qu'elles s'appliquent sur le i.
Página 15 - ... de réparer ; pour lesquelles causes et aultres le roy délibéra par conseil, de leur faire la guerre par mer et par terre. Et feirent, lui et le duc de Bretaigne , assembler leurs gens de toutes parts. Durant lequel temps les Anglois feirent une saillie sur les gens du duc de Bretaigne , lesquels les reboutlèrent très asprement, sy qu'ils l'eurent que prins que morts , six vingts Anglois.
Página lxxiii - Tours pour plourer et gémir ses péchiés en prison fermée , l'espace de sept ans, en pain de douleur et en eau de tristesse. Icelle josne fille , comme on disoit...
Página xcvi - Ce qui est d'accord avec les auteurs de l'Art de vérifier les dates, qui disent que l'écu qui avait cours en i435, et qui s'appelait à la couronne , était d'or fin , et de la taille de 70 au marc; ainsi les 5o,ooo écus payés à Philippe pour les équipages et joyaux qu'on avait pris à son père, quand on l'assassina, pesaient yi4 marcs 2 onces 2 gros, 16 grains; et à raison de 828 liv.
Página cxxxii - Saint-Paul, un hymne en l'honneur de Virgile ; on y supposait que l'apôtre des nations arrivant à Naples, tourna ses regards vers le mont Pausilippe , où reposent les cendres de Virgile, et qu'il regretta de n'avoir pu le connaître pendant sa vie, afin d'en faire un prosélyte; ce qu'exprime la strophe suivante : Ad Maronis mausolcum Ductus , fudit super eum i.
Página 69 - Lymaigne, de monseigneur Ferry de Loherraine (Lorraine), de Jehan son frère, seigneur de Traynel, chancellier de Franche, des seigneurs de Blanville et de Pruilly, des baillis de Berry et de Lyon, et de plusieurs autres chevalliers, escuyers, et de gens d'armes et de traicts, jusques au nombre de six cent lanches ; et alla coucher à Saint-Pierresur-Dive, et le lendemain àJaure, et l'autre jour après alla disner avecq touts...