Mémoires, publ. par Fréd., baron de Reiffenberg, Volumen1 |
Comentarios de la gente - Escribir un comentario
No encontramos ningún comentario en los lugares habituales.
Otras ediciones - Ver todas
Términos y frases comunes
Anglois Antoine appelé assavoir aultres aura auront avecq avoient avoit bailli bâtard Brabant capitaine cause cent ceulx chambelan chambre Charles chastel chevalier chiens choses cité Clercq comptes comte conseiller corps cour d'armes d'Arras d'or dame devant Dijon données Douze duc de Bourgogne dudit écuyer épousa esté estoient estoit feit femme feurent fille fils Flandre frère fust gages gaiges garde général gens gouverneur guerre Guillaume Henri homme Item Jacques Jeanne Jehan jour l'an ladite ledit lettres lieu livrée Louis XI main maison maître Maître Jean Marche maréchal Marie Messire Jean mille mondit seigneur mort moult mourut nobles nommé ordinaires ordonnance pages parle passa payés pays père Philippe Pierre porte premier prince quatre rendit roy de Franche s'en seigneur sera serviront seulement siege sieur sire six mois suivant terre tour trouve valets venerie venues ville
Pasajes populares
Página 115 - Mars (nouv. style) l'hclippc, par la grace de Dieu, duc de Bourgoingne, de Lothier, de Brabant et de Lembourg, conte de Flandres, d'Artois, de Bourgoingne, palatin de Haynnau, de Hollande, de Zellande et de Namur, marquis du saint Empire, seigneur de Frise, de Salins et de Malines...
Página 81 - Bourgongne feit rescripre , il fust desli» vré sans ranchon ; mais si lui cousta-t-il en des» pens plus de quatre cents couronnes d'or '. » La même année, une femme convola en secondes noces le jour de l'enterrement de son mari. Du Clercq, avec sa bonhomie ordinaire, trouve cette précipitation excusable ; « car en ce temps, » dit-il, par tout le pays du duc de Bourgogne, si» tost qu'il advenoit que aucuns marchands, la...
Página 128 - Je n'ai point naturellement l'esprit désapprobateur. Platon remerciait le ciel de ce qu'il était né du temps de Socrate ; et moi, je lui rends grâces de ce qu'il m'a fait naître dans le gouvernement où je vis, et de ce qu'il a voulu que j'obéisse à ceux qu'il m'a fait aimer.
Página 84 - Nos manufactures de tapis jouissaient alors de la plus grande célébrité , et les progrès de la peinture apprenaient aux arts mécaniques à mettre plus de goût dans leurs productions. Durant son séjour à Paris, après le sacre de Louis XI, le duc de Bourgogne « feit tendre en sa salle de son hostel d'Ar» lois, et dedans les chambres , la plus noble tapis...
Página 77 - Y at-il roi ni seigneur sur terre qui ait pouvoir, outre son domaine, de mettre un denier , sur ses sujets, sans octroi et consentement de ceux qui le doivent payer, sinon par tyrannie et violence?...
Página 50 - ... montrer quel homme il estoit en ce haut et sainct » voyage. Les trompettes et clairons sonnoient à monter » les gens d'armes chascun en son navire, et sous leur » capitaine, qui donnoient moult grand rejouissement, »> et d'autre part tiroient l'artillerie, qui espouvantoit et » effrayoit toute la compagnie (2).
Página 41 - Toutes les précautions étaient prises pour les hommes d'armes, en qui reposait l'espoir du succès. C'était avec la cavalerie qu'on faisait la guerre; on n'en savait pas assez pour sentir que l'infanterie la fait. L'épaisse encolure des chevaux de Flandre convenait parfaitement à cette pesante gendarmerie ; aussi étaient-ils très recherchés.
Página 64 - Ce qu'il y eut de plus précieux dans ce butin, fut un diamant estimé le plus beau et le plus gros qui fût alors en Europe. On rapporte qu'un soldat, qui le prit, le vendit pour un florin à un prêtre, qui le donna au magistrat de son village pour un écu ; il passa depuis en Angleterre ; et maintenant, depuis qu'il fut acheté par le...
Página 332 - Franchois se meirent en bataille devant ladite ville , et envoyèrent sommer par les héraux du roy pour la deuxiesme fois ceulx de la cité qu'ils se meissent en l'obéissance du roy ; mais les Anglois ne voulurent souffrir qu'ils approchassent la ville, ne qu'ils parlassent au peuple ; et ainsy s'en retournèrent comme les premiers. Et lors le comte de Dunois , voyant que nul de la cité ne faisoit semblant ne manière de vouloir rendre la ville, considérant aussi le temps et la saison qui estoit...
Página 73 - C'était la coutume d'attacher ce vêtement autour du genou , ou bien autour de la cheville , si on le portait fort long. Sous ces culottes ils mettaient des bas, et l'on savait déjà faire des sabots. Dans d'autres représentations , les paysans ont des hueses de cuir, ou plutôt des demi-bottines lacées. Ils portent de plus un gilet lacé jusqu'à la poitrine , sur lequel est attaché aux culottes le cornet ou tuyau appelé Daedelein ou Hoortjne, par les Allemands, et Putse par les Hollandais.