 | abbé Dubos (Jean-Baptiste) - 1760 - 430 páginas
...ion malheur, pencher vers ma Rivale. Nous le verrions encor nous partager les foins , II m'aimeroit peut-être, il le feindrait du moins. Adieu. Tu peux partir. Je demeure en Epire. Je renonce à la Grece , à Sparte , à fon Empire , A toute ma famille. Et c'eft aflez pour... | |
 | Jean Racine - 1767 - 532 páginas
...rivale. Nous le verrions encor nous partager fès Coms , II m'aimeroit peut-être , il le feindroit du moins. Adieu. Tu peux partir. Je demeure en Épire ; Je renonce à la Grèce -, à Sparte , à fôn Empire ; A toute ma famille. Et c'eft aflez pour moi , Traître , qu'elle ait produit un monftre... | |
 | Voltaire - 1773 - 408 páginas
...Perfbnne n'ell révolté de ces deux vers dans Y Andromaque : On le verrait encor nous partager fes foins; II m'aimerait peut-être ; il le feindrait du moins. Adieu, tu peux partir; je demeure en Epire. Je renonce à la Grèce , à Sparte , à fon empire , A toute ma famille , &c. Voyez comme les... | |
 | Voltaire - 1773 - 364 páginas
...n'eft révolté de ces deux vers dans ¥ Andromaque : On le verrait encor nous partager les foins ; II m'aimerait peut-être ; il le feindrait du moins. Adieu, tu peux partir; je demeure en Epire. Je renonce à la Grèce , à Sparte , à Ion empire. A toute ma famille , &c. Voyez comme les... | |
 | Voltaire - 1775 - 446 páginas
...révolté de ces vers dans VAndromaqut : ••• • On le verrait encor nous partager fes foins ; II m'aimerait peut-être ; il le feindrait du moins. Adieu, tu peux partir ; je demeure en Epire. QueJl.furrEncyct.Tom.lV. Bb Je renonce à la Grèce , à Sparte, à fou empire , A toute ma... | |
 | 1784 - 774 páginas
...% On le verroit cncor nous partager fes foins : II m'aimeroic peut-être ;il le feindroitdu moini. Adieu , tu peux partir ; je demeure en Épire : Je renonce à la Grèce, à Sparte , à fon Empire, A toute ma famille, &c. Voyez comme les derniers vers foutiennent les premiers , comme... | |
 | Voltaire - 1784 - 588 páginas
...Perfonne n'efl révolté de ces vers dans l'Andromaque: On le verrait encor nous partager fes foins ; II m'aimerait peut-être ; il le feindrait du moins. Adieu, tu peux partir ; je demeure en Epire. Je renonce à la Grèce, à Sparte, à fon empire, A toute ma famille Sec. Voyez comme les derniers... | |
 | Voltaire - 1785 - 590 páginas
...Perfonne n'eft révolté de ces vers dans l'Andromaque. On le verrait encor nous partager fes foins ; II m'aimerait peut-être; il le feindrait du moins. Adieu, tu peux partir; je demeure en Epire. Je renonce à la Grèce, à Sparte, à fon empire, A toute ma famille Scc. Voyez comme les derniers... | |
 | 1786 - 394 páginas
...en des lieux où l'on fuit ta présence ? Voilà de ton amour le détestable fruit : Tu m'apportois, cruel ! le malheur qui te suit. C'est toi dont l'ambassade...L'a fait pour son malheur pencher vers ma rivale. Kous le verrions cncor nous parrager ses soins ! I! m'aimcroit peut-Stre ; il le feindroit du moins... | |
 | Voltaire - 1789 - 564 páginas
...Pcribnne n'eft révolté de ces vers dans l'Aadromaquo : On le verrait encor nous pirtager fes feins; II m'aimerait peut-être ; il le feindrait du moins. Adieu , tu peux partir ; je demeure en Epire. .Je renonce à la Grèce, à Sparte, à Ton empire, A toute ma famille , &c. .Voyez comme les... | |
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Tu m'apportais, cruel, le malheur qui te suit. C'est toi dont l'ambassade, à tous les deux fatale, L'a fait pour son malheur pencher vers ma rivale. 
