Oeuvres complètes, Volumen1Deterville, 1796 |
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... pleurs ! Mes yeux , depuis six mois , étaient ouverts aux larmes ; Et le sommeil les ferme en de telles alarmes ! Puisse plutôt la mort les fermer pour jamais , Et m'empêcher de voir le plus noir des forfaits ! Maís en sont - ils aux ...
... pleurs ! Mes yeux , depuis six mois , étaient ouverts aux larmes ; Et le sommeil les ferme en de telles alarmes ! Puisse plutôt la mort les fermer pour jamais , Et m'empêcher de voir le plus noir des forfaits ! Maís en sont - ils aux ...
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... pleurs ne m'ont de rien servi ; Et le courroux du sort voulait être assouvi . O toi , soleil , ô toi qui rends le jour au monde , Que ne l'as - tu laissé dans une nuit profonde ! A de si noirs forfaits prêtes - tu tes rayons ? Et peux ...
... pleurs ne m'ont de rien servi ; Et le courroux du sort voulait être assouvi . O toi , soleil , ô toi qui rends le jour au monde , Que ne l'as - tu laissé dans une nuit profonde ! A de si noirs forfaits prêtes - tu tes rayons ? Et peux ...
Página 21
... pleurs , Et , comme il faut enfin , fais parler mes douleurs . ANTIGONE seule . Et si tu prends pitié d'une flâme innocente , O ciel ! en ramenant Hémon à son amante , Ramène - le fidèle , et permets en ce jour , Qu'en retrouvant l ...
... pleurs , Et , comme il faut enfin , fais parler mes douleurs . ANTIGONE seule . Et si tu prends pitié d'une flâme innocente , O ciel ! en ramenant Hémon à son amante , Ramène - le fidèle , et permets en ce jour , Qu'en retrouvant l ...
Página 30
... pleurs ? N'accorderez - vous rien aux larmes d'une mère ? Ma fille , s'il se peut , retenez votre frère ; Le cruel pour vous seule avait de l'amitié . ANTIGONE . Ah ! si pour vous son âme est sourde à la pitié , Que pourrais - je ...
... pleurs ? N'accorderez - vous rien aux larmes d'une mère ? Ma fille , s'il se peut , retenez votre frère ; Le cruel pour vous seule avait de l'amitié . ANTIGONE . Ah ! si pour vous son âme est sourde à la pitié , Que pourrais - je ...
Página 31
... pleurs perfides à ce point ; Avec vos ennemis ils ne conspirent point . Cette paix que je veux me serait un supplice , S'il en devait coûter le sceptre à Polynice ; Et l'unique faveur , mon frère , où je prétends , C'est qu'il me soit ...
... pleurs perfides à ce point ; Avec vos ennemis ils ne conspirent point . Cette paix que je veux me serait un supplice , S'il en devait coûter le sceptre à Polynice ; Et l'unique faveur , mon frère , où je prétends , C'est qu'il me soit ...
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Términos y frases comunes
AGRIP PINE aime ALBIN Alexandre Allez amant âme amour ANDRO Andromaque ANTIGONE ATTALE AXIA AXIANE bras Britannicus BURR Burrhus CÉPHIS Céphise César charmes cher chercher CHICANE CHICANE A U CHICANEAU ciel CLÉOFILE CLÉON cœur colère COMTESSE cour courroux crainte Créon crime cruel d'Hector DANDI DANDIN déja desirs dessein diadême dieux douleur enfin ennemis Epire ÉTÉO CL fesait fils flâme flatte frère funeste fureur gloire grace Grecs haine Hélas Hémon HERMIONE hymen ISABELLE j'ai JOCA S T JOCASTE jour Junie l'amour l'empire l'ingrat L'INTIM L'INTIM É laisse LÉANDRE m'en madame main malheur MAQUE moi-même monsieur mort NARCISSE Néron OLYMP OREST paix père PETIT JEAN peuple Phoenix pleurs POLY Polynice PORU Porus prince princesse PYRRH Pyrrhus Racine régner rien rois s'il sais sang SCENE PREMIERE seigneur Sénèque seul sœur soins soupirs Taxile TESS Thèbes tragédie trépas trône vainqueur vais venger veut veux victoire vœux vois vous-même yeux
Pasajes populares
Página 376 - Rritannicus mourant excitera le zèle De ses amis, tout prêts à prendre sa querelle. Ces vengeurs trouveront de nouveaux défenseurs, Qui, même après leur mort, auront des successeurs; Vous allumez un feu qui ne pourra s'éteindre. Craint de tout l'univers, il vous faudra tout craindre, Toujours punir, toujours trembler dans vos projets, Et pour vos ennemis compter tous vos sujets.
Página 154 - J'ai cru en cela me conformer à l'idée que nous avons maintenant de cette princesse. La plupart de ceux qui ont entendu parler d'Andromaque ne la connoissent guère que pour la veuve d'Hector et pour la mère dAstyanax; on ne croit point qu'elle doive aimer ni un autre mari ni un autre fils...
Página 196 - Ma flamme par Hector fut jadis allumée : Avec lui dans la tombe elle s'est enfermée. Mais il me reste un fils. Vous saurez quelque jour, . Madame, pour un fils jusqu'où va notre amour; Mais vous ne saurez pas, du 'moins je le souhaite, En quel trouble mortel son intérêt...
Página 197 - Je conçois vos douleurs; mais un devoir austère, Quand mon père a parlé, m'ordonne de me taire. C'est lui qui de Pyrrhus fait agir le courroux. S'il faut fléchir Pyrrhus, qui le peut mieux que vous ? Vos yeux assez longtemps ont régné sur son âme ; Faites-le prononcer : j'y souscrirai, madame.
Página 392 - Rome , ce ciel , ce jour que tu recus de moi , Partout, à tout moment m'offriront devant toi. Tes remords te suivront comme autant de furies : Tu croiras les calmer par d'autres barbaries; Ta fureur , s'irritant soi-même dans son cours , D'un sang toujours nouveau marquera tous tes jours. Mais j'espère qu'enfin le ciel , las de tes crimes , Ajoutera ta perte à tant d'autres victimes ; Qu'après t'être couvert de leur sang et...
Página 403 - Andromaque , et qu'il voulût épouser une captive à quelque prix que ce fût; et j'avoue qu'il n'est pas assez résigné à la volonté de sa maîtresse , et -que Céladon a mieux connu que lui le parfait amour. Mais que faire ? Pyrrhus n'avoit pas lu nos romans ; il étoit violent de son naturel, et tous les héros ne sont pas faits pour être des Céladons.
Página 376 - Quel plaisir de penser et de dire en vous-même : « Partout, en ce moment, on me bénit, on m'aime ; « On ne voit point le peuple à mon nom s'alarmer; « Le ciel dans tous leurs pleurs ne m'entend point nommer; « Leur sombre inimitié ne fuit point mon visage ; « Je vois voler partout les cœurs à mon passage !
Página 230 - Appliqué sans relâche au soin de me punir, Au comble des douleurs tu m'as fait parvenir.
Página 230 - Un poignard à la main, sur Pyrrhus se courber. Lever les yeux au ciel, se frapper et tomber.
Página 417 - De quel front oserais-je me montrer, pour ainsi dire, aux yeux de ces grands hommes de l'antiquité que j'ai choisis pour modèles? Car, pour me servir de la pensée d'un ancien, voilà les véritables spectateurs que nous devons nous proposer; et nous devons sans cesse nous demander : Que diraient Homère et Virgile, s'ils lisaient ces vers? Que dirait Sophocle, s'il voyait représenter cette scène?