Oeuvres: Précédees d'une notice sur sa vie et ses ouvrages, Volúmenes1-2F. Locquin, 1842 |
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... charme qui fait presque disparaître ou pardonner la langueur et la monotonie du seul sentiment qui y règne , Ra- cine renonça à la poésie , et termina en 1677 sa car- rière dramatique par la tragédie de Phèdre . Il avait pour cette ...
... charme qui fait presque disparaître ou pardonner la langueur et la monotonie du seul sentiment qui y règne , Ra- cine renonça à la poésie , et termina en 1677 sa car- rière dramatique par la tragédie de Phèdre . Il avait pour cette ...
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... souiller vos armes ? La couronne pour vous a - t - elle tant de charmes ! Si par un parricide il la fallait gagner , Ah , mon fils , à ce prix voudriez - vous régner ? Mais il ne tient qu'à vous , si l'honneur vous ACTE I , SCÈNE III . 19.
... souiller vos armes ? La couronne pour vous a - t - elle tant de charmes ! Si par un parricide il la fallait gagner , Ah , mon fils , à ce prix voudriez - vous régner ? Mais il ne tient qu'à vous , si l'honneur vous ACTE I , SCÈNE III . 19.
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... charmes , Il ne tiendra qu'à lui de suspendre nos armes . Vous pouvez dès cette heure accomplir vos souhaits , Et le faire venir jusque dans ce palais . J'irai plus loin encore : et , pour faire connaître Qu'il a tort en effet de me ...
... charmes , Il ne tiendra qu'à lui de suspendre nos armes . Vous pouvez dès cette heure accomplir vos souhaits , Et le faire venir jusque dans ce palais . J'irai plus loin encore : et , pour faire connaître Qu'il a tort en effet de me ...
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... charmes ? Vous lassez - vous déjà d'avoir posé les armes ? Ne cesserons - nous point , après tant de malheurs , Vous , de verser du sang ; moi , de verser des pleurs ? N'accorderez - vous rien aux larmes d'une mère ? Ma fille , s'il se ...
... charmes ? Vous lassez - vous déjà d'avoir posé les armes ? Ne cesserons - nous point , après tant de malheurs , Vous , de verser du sang ; moi , de verser des pleurs ? N'accorderez - vous rien aux larmes d'une mère ? Ma fille , s'il se ...
Página 41
... effort Que de haïr la vie et courir à la mort ? Et doit - il être enfin plus facile en un autre De répandre son sang , qu'en vous d'aimer le vôtre ? ÉTEOCLE . Son illustre vertu me charme comme vous ; ACTE III , SCENE IV . 41.
... effort Que de haïr la vie et courir à la mort ? Et doit - il être enfin plus facile en un autre De répandre son sang , qu'en vous d'aimer le vôtre ? ÉTEOCLE . Son illustre vertu me charme comme vous ; ACTE III , SCENE IV . 41.
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Términos y frases comunes
Adieu AGRIPPINE aime ALBINE ALEXANDRE Allez Allons amant amour ANDROMAQUE ANTIGONE ANTIOCHUS ARSACE ATTALE AXIANE BÉRÉNICE bras BRITANNICUS BURRHUS CÉPHISE César charmes cher chercher CHICANEAU ciel CLÉOFILE CLÉONE cœur colère combat COMTESSE cour courroux crainte Créon crime cruel d'Hector DANDIN dessein dieux dois-je douleur enfin ennemis Epire ÉTÉOCLE fils flatte frère funeste fureur gloire grace Grecs haine Hélas Hémon HERMIONE hymen ISABELLE j'ai j'en JEAN RACINE JOCASTE jour JUNIE l'amour l'empire l'ingrat L'INTIME l'univers laisse larmes LEANDRE lieux m'en madame main malheur moi-même monsieur mort mourir NARCISSE Néron OLYMPE ORESTE paix parler PAULIN père PETIT-JEAN peuple peut-être PHÉNICE PHOENIX pleurs Polynice Porus prince princesse PYLADE Pyrrhus qu'un Racine régner reine rien rival rois Rome s'il sais sang SCÈNE PREMIÈRE secret seigneur seul sœur soins sort souffrir soupirs TAXILE Titus tragédie trépas triste trône vainqueur vais venger verra vertu veut veux victoire vœux vois vous-même yeux
Pasajes populares
Página 86 - Excité d'un désir curieux, Cette nuit je l'ai vue arriver en ces lieux, Triste, levant au ciel ses yeux mouillés de larmes, Qui brillaient au travers des flambeaux et des armes ; Belle sans ornements, dans le simple appareil D'une beauté qu'on vient d'arracher au sommeil.
Página 160 - N'at-il que des États qu'il me puisse donner ? Depuis quand croyez-vous que ma grandeur me touche ? Un soupir, un regard, un mot de votre bouche, Voilà l'ambition d'un cœur comme le mien : Voyez-moi plus souvent, et ne me donnez rien.
Página 187 - Ahl fallait-il en croire une amante insensée? Ne devais-tu pas lire au fond de ma pensée? Et ne voyais-tu pas, dans mes emportements, Que mon cœur démentait ma bouche à tous moments ? Quand je l'aurais voulu, fallait-il y souscrire?
Página 189 - Grâce aux dieux! Mon malheur passe mon espérance. Oui, je te loue, ô ciel! de ta persévérance. Appliqué sans relâche au soin de me punir, Au comble des douleurs tu m'as fait parvenir.
Página 49 - Messieurs, quand je regarde avec exactitude L'inconstance du monde et sa vicissitude ; Lorsque je vois, parmi tant d'hommes différents, Pas une étoile fixe , et tant d'astres errants ; Quand je vois les Césars, quand je vois leur fortune ; Quand je vois le soleil, et quand je vois la lune ; Babyloniens.
Página 135 - Oui, puisque je retrouve un ami si fidèle, Ma fortune va prendre une face nouvelle ; Et déjà son courroux semble s'être adouci Depuis qu'elle a pris soin de nous rejoindre ici.
Página 131 - Je prévois que tes coups viendront jusqu'à ta mère : Dans le fond de ton cœur je sais que tu me hais , Tu voudras t'affranchir du joug de mes bienfaits.
Página 90 - Mais, je t'expose ici mon âme toute nue, Sitôt que mon malheur me ramène à sa vue, Soit que je n'ose encor démentir le pouvoir De ces yeux où j'ai lu si longtemps mon devoir; Soit qu'à tant de bienfaits ma mémoire fidèle Lui soumette en secret tout ce que je tiens d'elle; Mais enfin mes efforts ne me servent de rien : Mon génie étonné tremble devant le sien.
Página 143 - Je passais jusqu'aux lieux où l'on garde mon fils. Puisqu'une fois le jour vous souffrez que je voie Le seul bien qui me reste et d'Hector et de Troie, J'allais, Seigneur, pleurer un moment avec lui.
Página 180 - Prodiguer les doux noms de parjure et de traître. Vous veniez de mon front observer la pâleur, Pour aller dans ses bras rire de ma douleur. Pleurante après son char vous voulez qu'on me voie...