Oeuvres: Précédees d'une notice sur sa vie et ses ouvrages, Volúmenes1-2F. Locquin, 1842 |
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... courroux du sort voulait être assouvi . O toi , Soleil , ô toi qui rends le jour au monde , Que ne l'as - tu laissé dans une nuit profonde ! A de si noirs forfaits prêtes - tu tes rayons ? Et peux - tu sans horreur voir ce que nous ...
... courroux du sort voulait être assouvi . O toi , Soleil , ô toi qui rends le jour au monde , Que ne l'as - tu laissé dans une nuit profonde ! A de si noirs forfaits prêtes - tu tes rayons ? Et peux - tu sans horreur voir ce que nous ...
Página 20
... courroux triomphant aujourd'hui , Contenter votre frère , et régner avec lui . ÉTEOCLE . Appelez - vous régner partager ma couronne , Et céder lâchement ce que mon droit me donne ? JOCASTE . Vous le savez , mon fils , la justice et le ...
... courroux triomphant aujourd'hui , Contenter votre frère , et régner avec lui . ÉTEOCLE . Appelez - vous régner partager ma couronne , Et céder lâchement ce que mon droit me donne ? JOCASTE . Vous le savez , mon fils , la justice et le ...
Página 24
... courroux est trop grand ... JOCASTE . Il peut être adouci . CREON . Tous deux veulent régner . JOCASTE . Ils régneront aussi . CREON . On ne partage point la grandeur souveraine ; Et ce n'est pas un bien qu'on quitte et qu'on reprenne ...
... courroux est trop grand ... JOCASTE . Il peut être adouci . CREON . Tous deux veulent régner . JOCASTE . Ils régneront aussi . CREON . On ne partage point la grandeur souveraine ; Et ce n'est pas un bien qu'on quitte et qu'on reprenne ...
Página 26
... courroux ; Vos libertés enfin retomberaient sur vous . ANTIGONE . L'intérêt du public agit peu sur son ame , Et l'amour du pays nous cache une autre flamme . Je sais ; mais , Créon , j'en abhorre le cours , Et vous ferez bien mieux de ...
... courroux ; Vos libertés enfin retomberaient sur vous . ANTIGONE . L'intérêt du public agit peu sur son ame , Et l'amour du pays nous cache une autre flamme . Je sais ; mais , Créon , j'en abhorre le cours , Et vous ferez bien mieux de ...
Página 28
... courroux mon ardente amitié ? Et du mal qu'ils ont fait ont - ils quelque pitié ? Durant le triste cours d'une absence cruelle , Avez - vous souhaité que je fusse fidèle ? Songiez - vous que la mort menaçait , loin de vous , Un amant ...
... courroux mon ardente amitié ? Et du mal qu'ils ont fait ont - ils quelque pitié ? Durant le triste cours d'une absence cruelle , Avez - vous souhaité que je fusse fidèle ? Songiez - vous que la mort menaçait , loin de vous , Un amant ...
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Términos y frases comunes
Adieu AGRIPPINE aime ALBINE ALEXANDRE Allez Allons amant amour ANDROMAQUE ANTIGONE ANTIOCHUS ARSACE ATTALE AXIANE BÉRÉNICE bras BRITANNICUS BURRHUS CÉPHISE César charmes cher chercher CHICANEAU ciel CLÉOFILE CLÉONE cœur colère combat COMTESSE cour courroux crainte Créon crime cruel d'Hector DANDIN dessein dieux dois-je douleur enfin ennemis Epire ÉTÉOCLE fils flatte frère funeste fureur gloire grace Grecs haine Hélas Hémon HERMIONE hymen ISABELLE j'ai j'en JEAN RACINE JOCASTE jour JUNIE l'amour l'empire l'ingrat L'INTIME l'univers laisse larmes LEANDRE lieux m'en madame main malheur moi-même monsieur mort mourir NARCISSE Néron OLYMPE ORESTE paix parler PAULIN père PETIT-JEAN peuple peut-être PHÉNICE PHOENIX pleurs Polynice Porus prince princesse PYLADE Pyrrhus qu'un Racine régner reine rien rival rois Rome s'il sais sang SCÈNE PREMIÈRE secret seigneur seul sœur soins sort souffrir soupirs TAXILE Titus tragédie trépas triste trône vainqueur vais venger verra vertu veut veux victoire vœux vois vous-même yeux
Pasajes populares
Página 86 - Excité d'un désir curieux, Cette nuit je l'ai vue arriver en ces lieux, Triste, levant au ciel ses yeux mouillés de larmes, Qui brillaient au travers des flambeaux et des armes ; Belle sans ornements, dans le simple appareil D'une beauté qu'on vient d'arracher au sommeil.
Página 160 - N'at-il que des États qu'il me puisse donner ? Depuis quand croyez-vous que ma grandeur me touche ? Un soupir, un regard, un mot de votre bouche, Voilà l'ambition d'un cœur comme le mien : Voyez-moi plus souvent, et ne me donnez rien.
Página 187 - Ahl fallait-il en croire une amante insensée? Ne devais-tu pas lire au fond de ma pensée? Et ne voyais-tu pas, dans mes emportements, Que mon cœur démentait ma bouche à tous moments ? Quand je l'aurais voulu, fallait-il y souscrire?
Página 189 - Grâce aux dieux! Mon malheur passe mon espérance. Oui, je te loue, ô ciel! de ta persévérance. Appliqué sans relâche au soin de me punir, Au comble des douleurs tu m'as fait parvenir.
Página 49 - Messieurs, quand je regarde avec exactitude L'inconstance du monde et sa vicissitude ; Lorsque je vois, parmi tant d'hommes différents, Pas une étoile fixe , et tant d'astres errants ; Quand je vois les Césars, quand je vois leur fortune ; Quand je vois le soleil, et quand je vois la lune ; Babyloniens.
Página 135 - Oui, puisque je retrouve un ami si fidèle, Ma fortune va prendre une face nouvelle ; Et déjà son courroux semble s'être adouci Depuis qu'elle a pris soin de nous rejoindre ici.
Página 131 - Je prévois que tes coups viendront jusqu'à ta mère : Dans le fond de ton cœur je sais que tu me hais , Tu voudras t'affranchir du joug de mes bienfaits.
Página 90 - Mais, je t'expose ici mon âme toute nue, Sitôt que mon malheur me ramène à sa vue, Soit que je n'ose encor démentir le pouvoir De ces yeux où j'ai lu si longtemps mon devoir; Soit qu'à tant de bienfaits ma mémoire fidèle Lui soumette en secret tout ce que je tiens d'elle; Mais enfin mes efforts ne me servent de rien : Mon génie étonné tremble devant le sien.
Página 143 - Je passais jusqu'aux lieux où l'on garde mon fils. Puisqu'une fois le jour vous souffrez que je voie Le seul bien qui me reste et d'Hector et de Troie, J'allais, Seigneur, pleurer un moment avec lui.
Página 180 - Prodiguer les doux noms de parjure et de traître. Vous veniez de mon front observer la pâleur, Pour aller dans ses bras rire de ma douleur. Pleurante après son char vous voulez qu'on me voie...