Oeuvres: Précédees d'une notice sur sa vie et ses ouvrages, Volúmenes1-2F. Locquin, 1842 |
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... heureux , mais il est si difficile d'écrire , même médiocrement , dans une langue morte , qu'on pardonne sans peine à Racine d'avoir fait de mauvais vers latins . Horace et Virgile peuvent nous consoler du peu de succès des modernes ...
... heureux , mais il est si difficile d'écrire , même médiocrement , dans une langue morte , qu'on pardonne sans peine à Racine d'avoir fait de mauvais vers latins . Horace et Virgile peuvent nous consoler du peu de succès des modernes ...
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... heureux et facile qu'on remarque dans tous ses ouvrages : il suffit , pour s'en convaincre , de lire avec attention les deux dernières pièces qu'il fit , à la sollicitation de madame de Maintenon , pour les de- moiselles ET LES OUVRAGES ...
... heureux et facile qu'on remarque dans tous ses ouvrages : il suffit , pour s'en convaincre , de lire avec attention les deux dernières pièces qu'il fit , à la sollicitation de madame de Maintenon , pour les de- moiselles ET LES OUVRAGES ...
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... heureux encor de mourir sous vos lois . Aussi bien que ferais - je en ce commun naufrage ? Pourrais - je me résoudre à vivre davantage ? En vain les dieux voudraient différer mon trépas , Mon désespoir ferait ce qu'ils ne feraient pas ...
... heureux encor de mourir sous vos lois . Aussi bien que ferais - je en ce commun naufrage ? Pourrais - je me résoudre à vivre davantage ? En vain les dieux voudraient différer mon trépas , Mon désespoir ferait ce qu'ils ne feraient pas ...
Página 63
... heureux d'expirer pour ma belle princesse . « En vain à mon secours votre amitié s'empresse ; • C'est à ces furieux que vous devez courir : a Séparez - les , mon père , et me laissez mourir . » Il expire à ces mots . Ce barbare ...
... heureux d'expirer pour ma belle princesse . « En vain à mon secours votre amitié s'empresse ; • C'est à ces furieux que vous devez courir : a Séparez - les , mon père , et me laissez mourir . » Il expire à ces mots . Ce barbare ...
Página 66
... , Et m'ouvre en même temps et leur trône et son cœur . ATTALE . Il est vrai , vous avez toute chose prospère , Et vous seriez heureux si vous n'étiez point père . L'ambition , l'amour , n'ont rien à désirer ; Mais 66 LES FRÈRES ENNEMIS .
... , Et m'ouvre en même temps et leur trône et son cœur . ATTALE . Il est vrai , vous avez toute chose prospère , Et vous seriez heureux si vous n'étiez point père . L'ambition , l'amour , n'ont rien à désirer ; Mais 66 LES FRÈRES ENNEMIS .
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Términos y frases comunes
Adieu AGRIPPINE aime ALBINE ALEXANDRE Allez Allons amant amour ANDROMAQUE ANTIGONE ANTIOCHUS ARSACE ATTALE AXIANE BÉRÉNICE bras BRITANNICUS BURRHUS CÉPHISE César charmes cher chercher CHICANEAU ciel CLÉOFILE CLÉONE cœur colère combat COMTESSE cour courroux crainte Créon crime cruel d'Hector DANDIN dessein dieux dois-je douleur enfin ennemis Epire ÉTÉOCLE fils flatte frère funeste fureur gloire grace Grecs haine Hélas Hémon HERMIONE hymen ISABELLE j'ai j'en JEAN RACINE JOCASTE jour JUNIE l'amour l'empire l'ingrat L'INTIME l'univers laisse larmes LEANDRE lieux m'en madame main malheur moi-même monsieur mort mourir NARCISSE Néron OLYMPE ORESTE paix parler PAULIN père PETIT-JEAN peuple peut-être PHÉNICE PHOENIX pleurs Polynice Porus prince princesse PYLADE Pyrrhus qu'un Racine régner reine rien rival rois Rome s'il sais sang SCÈNE PREMIÈRE secret seigneur seul sœur soins sort souffrir soupirs TAXILE Titus tragédie trépas triste trône vainqueur vais venger verra vertu veut veux victoire vœux vois vous-même yeux
Pasajes populares
Página 86 - Excité d'un désir curieux, Cette nuit je l'ai vue arriver en ces lieux, Triste, levant au ciel ses yeux mouillés de larmes, Qui brillaient au travers des flambeaux et des armes ; Belle sans ornements, dans le simple appareil D'une beauté qu'on vient d'arracher au sommeil.
Página 160 - N'at-il que des États qu'il me puisse donner ? Depuis quand croyez-vous que ma grandeur me touche ? Un soupir, un regard, un mot de votre bouche, Voilà l'ambition d'un cœur comme le mien : Voyez-moi plus souvent, et ne me donnez rien.
Página 187 - Ahl fallait-il en croire une amante insensée? Ne devais-tu pas lire au fond de ma pensée? Et ne voyais-tu pas, dans mes emportements, Que mon cœur démentait ma bouche à tous moments ? Quand je l'aurais voulu, fallait-il y souscrire?
Página 189 - Grâce aux dieux! Mon malheur passe mon espérance. Oui, je te loue, ô ciel! de ta persévérance. Appliqué sans relâche au soin de me punir, Au comble des douleurs tu m'as fait parvenir.
Página 49 - Messieurs, quand je regarde avec exactitude L'inconstance du monde et sa vicissitude ; Lorsque je vois, parmi tant d'hommes différents, Pas une étoile fixe , et tant d'astres errants ; Quand je vois les Césars, quand je vois leur fortune ; Quand je vois le soleil, et quand je vois la lune ; Babyloniens.
Página 135 - Oui, puisque je retrouve un ami si fidèle, Ma fortune va prendre une face nouvelle ; Et déjà son courroux semble s'être adouci Depuis qu'elle a pris soin de nous rejoindre ici.
Página 131 - Je prévois que tes coups viendront jusqu'à ta mère : Dans le fond de ton cœur je sais que tu me hais , Tu voudras t'affranchir du joug de mes bienfaits.
Página 90 - Mais, je t'expose ici mon âme toute nue, Sitôt que mon malheur me ramène à sa vue, Soit que je n'ose encor démentir le pouvoir De ces yeux où j'ai lu si longtemps mon devoir; Soit qu'à tant de bienfaits ma mémoire fidèle Lui soumette en secret tout ce que je tiens d'elle; Mais enfin mes efforts ne me servent de rien : Mon génie étonné tremble devant le sien.
Página 143 - Je passais jusqu'aux lieux où l'on garde mon fils. Puisqu'une fois le jour vous souffrez que je voie Le seul bien qui me reste et d'Hector et de Troie, J'allais, Seigneur, pleurer un moment avec lui.
Página 180 - Prodiguer les doux noms de parjure et de traître. Vous veniez de mon front observer la pâleur, Pour aller dans ses bras rire de ma douleur. Pleurante après son char vous voulez qu'on me voie...