Oeuvres: Précédees d'une notice sur sa vie et ses ouvrages, Volúmenes1-2F. Locquin, 1842 |
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... malheurs vous touchent de pitié , Si pour moi votre cœur garde quelque amitié , Et si vous prenez soin de votre gloire même , Associez un frère à cet honneur suprême : Ce n'est qu'un vain éclat qu'il recevra de vous ; Votre règne en ...
... malheurs vous touchent de pitié , Si pour moi votre cœur garde quelque amitié , Et si vous prenez soin de votre gloire même , Associez un frère à cet honneur suprême : Ce n'est qu'un vain éclat qu'il recevra de vous ; Votre règne en ...
Página 27
... malheurs ont lassé ta justice , Ciel , dispose à la paix le cœur de Polynice , Seconde mes soupirs , donne force à mes pleurs , Et comme il faut enfin fais parler mes douleurs . ANTIGONE seule . Et si tu prends pitié d'une flamme ...
... malheurs ont lassé ta justice , Ciel , dispose à la paix le cœur de Polynice , Seconde mes soupirs , donne force à mes pleurs , Et comme il faut enfin fais parler mes douleurs . ANTIGONE seule . Et si tu prends pitié d'une flamme ...
Página 29
... malheur extrême , Que ne m'ait ordonné ma princesse elle - même ? J'ai suivi Polynice ; et vous l'avez voulu : Vous me l'avez prescrit par un ordre absolu . Je lui vouai dès lors une amitié sincère ; Je quittai mon pays , j'abandonnai ...
... malheur extrême , Que ne m'ait ordonné ma princesse elle - même ? J'ai suivi Polynice ; et vous l'avez voulu : Vous me l'avez prescrit par un ordre absolu . Je lui vouai dès lors une amitié sincère ; Je quittai mon pays , j'abandonnai ...
Página 30
... malheur en serait adouci : Je le verrais , Hémon : vous me verriez aussi ! ` HEMON . De cette affreuse guerre il abhorre l'image . Je l'ai vu soupirer de douleur et de rage , Lorsque , pour remonter au trône paternel , On le força de ...
... malheur en serait adouci : Je le verrais , Hémon : vous me verriez aussi ! ` HEMON . De cette affreuse guerre il abhorre l'image . Je l'ai vu soupirer de douleur et de rage , Lorsque , pour remonter au trône paternel , On le força de ...
Página 34
... malheurs , Vous , de verser du sang ; moi , de verser des pleurs ? N'accorderez - vous rien aux larmes d'une mère ? Ma fille , s'il se peut , retenez votre frère : Le cruel pour vous seule avait de l'amitié . ANTIGONE . Ah ! si pour ...
... malheurs , Vous , de verser du sang ; moi , de verser des pleurs ? N'accorderez - vous rien aux larmes d'une mère ? Ma fille , s'il se peut , retenez votre frère : Le cruel pour vous seule avait de l'amitié . ANTIGONE . Ah ! si pour ...
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Términos y frases comunes
Adieu AGRIPPINE aime ALBINE ALEXANDRE Allez Allons amant amour ANDROMAQUE ANTIGONE ANTIOCHUS ARSACE ATTALE AXIANE BÉRÉNICE bras BRITANNICUS BURRHUS CÉPHISE César charmes cher chercher CHICANEAU ciel CLÉOFILE CLÉONE cœur colère combat COMTESSE cour courroux crainte Créon crime cruel d'Hector DANDIN dessein dieux dois-je douleur enfin ennemis Epire ÉTÉOCLE fils flatte frère funeste fureur gloire grace Grecs haine Hélas Hémon HERMIONE hymen ISABELLE j'ai j'en JEAN RACINE JOCASTE jour JUNIE l'amour l'empire l'ingrat L'INTIME l'univers laisse larmes LEANDRE lieux m'en madame main malheur moi-même monsieur mort mourir NARCISSE Néron OLYMPE ORESTE paix parler PAULIN père PETIT-JEAN peuple peut-être PHÉNICE PHOENIX pleurs Polynice Porus prince princesse PYLADE Pyrrhus qu'un Racine régner reine rien rival rois Rome s'il sais sang SCÈNE PREMIÈRE secret seigneur seul sœur soins sort souffrir soupirs TAXILE Titus tragédie trépas triste trône vainqueur vais venger verra vertu veut veux victoire vœux vois vous-même yeux
Pasajes populares
Página 86 - Excité d'un désir curieux, Cette nuit je l'ai vue arriver en ces lieux, Triste, levant au ciel ses yeux mouillés de larmes, Qui brillaient au travers des flambeaux et des armes ; Belle sans ornements, dans le simple appareil D'une beauté qu'on vient d'arracher au sommeil.
Página 160 - N'at-il que des États qu'il me puisse donner ? Depuis quand croyez-vous que ma grandeur me touche ? Un soupir, un regard, un mot de votre bouche, Voilà l'ambition d'un cœur comme le mien : Voyez-moi plus souvent, et ne me donnez rien.
Página 187 - Ahl fallait-il en croire une amante insensée? Ne devais-tu pas lire au fond de ma pensée? Et ne voyais-tu pas, dans mes emportements, Que mon cœur démentait ma bouche à tous moments ? Quand je l'aurais voulu, fallait-il y souscrire?
Página 189 - Grâce aux dieux! Mon malheur passe mon espérance. Oui, je te loue, ô ciel! de ta persévérance. Appliqué sans relâche au soin de me punir, Au comble des douleurs tu m'as fait parvenir.
Página 49 - Messieurs, quand je regarde avec exactitude L'inconstance du monde et sa vicissitude ; Lorsque je vois, parmi tant d'hommes différents, Pas une étoile fixe , et tant d'astres errants ; Quand je vois les Césars, quand je vois leur fortune ; Quand je vois le soleil, et quand je vois la lune ; Babyloniens.
Página 135 - Oui, puisque je retrouve un ami si fidèle, Ma fortune va prendre une face nouvelle ; Et déjà son courroux semble s'être adouci Depuis qu'elle a pris soin de nous rejoindre ici.
Página 131 - Je prévois que tes coups viendront jusqu'à ta mère : Dans le fond de ton cœur je sais que tu me hais , Tu voudras t'affranchir du joug de mes bienfaits.
Página 90 - Mais, je t'expose ici mon âme toute nue, Sitôt que mon malheur me ramène à sa vue, Soit que je n'ose encor démentir le pouvoir De ces yeux où j'ai lu si longtemps mon devoir; Soit qu'à tant de bienfaits ma mémoire fidèle Lui soumette en secret tout ce que je tiens d'elle; Mais enfin mes efforts ne me servent de rien : Mon génie étonné tremble devant le sien.
Página 143 - Je passais jusqu'aux lieux où l'on garde mon fils. Puisqu'une fois le jour vous souffrez que je voie Le seul bien qui me reste et d'Hector et de Troie, J'allais, Seigneur, pleurer un moment avec lui.
Página 180 - Prodiguer les doux noms de parjure et de traître. Vous veniez de mon front observer la pâleur, Pour aller dans ses bras rire de ma douleur. Pleurante après son char vous voulez qu'on me voie...