Oeuvres: Précédees d'une notice sur sa vie et ses ouvrages, Volúmenes1-2F. Locquin, 1842 |
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... yeux sur les dan- gers de sa complaisance . Cependant madame de Maintenon lui fit dire de ne pas paraître à la cour jusqu'à nouvel ordre . Dès ce moment Racine ne douta plus de sa disgrace . Accablé de mélancolie , et portant partout le ...
... yeux sur les dan- gers de sa complaisance . Cependant madame de Maintenon lui fit dire de ne pas paraître à la cour jusqu'à nouvel ordre . Dès ce moment Racine ne douta plus de sa disgrace . Accablé de mélancolie , et portant partout le ...
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... yeux ne s'est point présenté . D'Argiens seulement une troupe hardie M'a voulu de nos murs disputer la sortie ; J'ai fait mordre la poudre à ces audacieux ; Et leur sang est celui qui paraît à vos yeux . JOCASTE . Mais que prétendiez ...
... yeux ne s'est point présenté . D'Argiens seulement une troupe hardie M'a voulu de nos murs disputer la sortie ; J'ai fait mordre la poudre à ces audacieux ; Et leur sang est celui qui paraît à vos yeux . JOCASTE . Mais que prétendiez ...
Página 26
... yeux . ANTIGONE . Et je sais quel sujet vous le rend odieux . CREON . L'amour a d'autres yeux que le commun des hommes . JOCASTE . Vous abusez , Créon , de l'état où nous sommes ; Tout vous semble permis ; mais craignez mon courroux ...
... yeux . ANTIGONE . Et je sais quel sujet vous le rend odieux . CREON . L'amour a d'autres yeux que le commun des hommes . JOCASTE . Vous abusez , Créon , de l'état où nous sommes ; Tout vous semble permis ; mais craignez mon courroux ...
Página 46
... yeux . Surtout depuis deux ans ce noble soin m'inspire ; Je ne fais point de pas qui ne tend à l'empire ; Des princes mes neveux j'entretiens la fureur , Et mon ambition autorise la leur . D'Étéocle d'abord j'appuyai l'injustice ; Je ...
... yeux . Surtout depuis deux ans ce noble soin m'inspire ; Je ne fais point de pas qui ne tend à l'empire ; Des princes mes neveux j'entretiens la fureur , Et mon ambition autorise la leur . D'Étéocle d'abord j'appuyai l'injustice ; Je ...
Página 68
... yeux ! Vous fermez pour jamais ces beaux yeux que j'adore ; Et , pour ne me point voir , vous les fermez encore ! Quoique Hémon vous fût cher , vous courez au trépas Bien plus pour m'éviter que pour suivre ses pas ! Mais dussiez - vous ...
... yeux ! Vous fermez pour jamais ces beaux yeux que j'adore ; Et , pour ne me point voir , vous les fermez encore ! Quoique Hémon vous fût cher , vous courez au trépas Bien plus pour m'éviter que pour suivre ses pas ! Mais dussiez - vous ...
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Términos y frases comunes
Adieu AGRIPPINE aime ALBINE ALEXANDRE Allez Allons amant amour ANDROMAQUE ANTIGONE ANTIOCHUS ARSACE ATTALE AXIANE BÉRÉNICE bras BRITANNICUS BURRHUS CÉPHISE César charmes cher chercher CHICANEAU ciel CLÉOFILE CLÉONE cœur colère combat COMTESSE cour courroux crainte Créon crime cruel d'Hector DANDIN dessein dieux dois-je douleur enfin ennemis Epire ÉTÉOCLE fils flatte frère funeste fureur gloire grace Grecs haine Hélas Hémon HERMIONE hymen ISABELLE j'ai j'en JEAN RACINE JOCASTE jour JUNIE l'amour l'empire l'ingrat L'INTIME l'univers laisse larmes LEANDRE lieux m'en madame main malheur moi-même monsieur mort mourir NARCISSE Néron OLYMPE ORESTE paix parler PAULIN père PETIT-JEAN peuple peut-être PHÉNICE PHOENIX pleurs Polynice Porus prince princesse PYLADE Pyrrhus qu'un Racine régner reine rien rival rois Rome s'il sais sang SCÈNE PREMIÈRE secret seigneur seul sœur soins sort souffrir soupirs TAXILE Titus tragédie trépas triste trône vainqueur vais venger verra vertu veut veux victoire vœux vois vous-même yeux
Pasajes populares
Página 86 - Excité d'un désir curieux, Cette nuit je l'ai vue arriver en ces lieux, Triste, levant au ciel ses yeux mouillés de larmes, Qui brillaient au travers des flambeaux et des armes ; Belle sans ornements, dans le simple appareil D'une beauté qu'on vient d'arracher au sommeil.
Página 160 - N'at-il que des États qu'il me puisse donner ? Depuis quand croyez-vous que ma grandeur me touche ? Un soupir, un regard, un mot de votre bouche, Voilà l'ambition d'un cœur comme le mien : Voyez-moi plus souvent, et ne me donnez rien.
Página 187 - Ahl fallait-il en croire une amante insensée? Ne devais-tu pas lire au fond de ma pensée? Et ne voyais-tu pas, dans mes emportements, Que mon cœur démentait ma bouche à tous moments ? Quand je l'aurais voulu, fallait-il y souscrire?
Página 189 - Grâce aux dieux! Mon malheur passe mon espérance. Oui, je te loue, ô ciel! de ta persévérance. Appliqué sans relâche au soin de me punir, Au comble des douleurs tu m'as fait parvenir.
Página 49 - Messieurs, quand je regarde avec exactitude L'inconstance du monde et sa vicissitude ; Lorsque je vois, parmi tant d'hommes différents, Pas une étoile fixe , et tant d'astres errants ; Quand je vois les Césars, quand je vois leur fortune ; Quand je vois le soleil, et quand je vois la lune ; Babyloniens.
Página 135 - Oui, puisque je retrouve un ami si fidèle, Ma fortune va prendre une face nouvelle ; Et déjà son courroux semble s'être adouci Depuis qu'elle a pris soin de nous rejoindre ici.
Página 131 - Je prévois que tes coups viendront jusqu'à ta mère : Dans le fond de ton cœur je sais que tu me hais , Tu voudras t'affranchir du joug de mes bienfaits.
Página 90 - Mais, je t'expose ici mon âme toute nue, Sitôt que mon malheur me ramène à sa vue, Soit que je n'ose encor démentir le pouvoir De ces yeux où j'ai lu si longtemps mon devoir; Soit qu'à tant de bienfaits ma mémoire fidèle Lui soumette en secret tout ce que je tiens d'elle; Mais enfin mes efforts ne me servent de rien : Mon génie étonné tremble devant le sien.
Página 143 - Je passais jusqu'aux lieux où l'on garde mon fils. Puisqu'une fois le jour vous souffrez que je voie Le seul bien qui me reste et d'Hector et de Troie, J'allais, Seigneur, pleurer un moment avec lui.
Página 180 - Prodiguer les doux noms de parjure et de traître. Vous veniez de mon front observer la pâleur, Pour aller dans ses bras rire de ma douleur. Pleurante après son char vous voulez qu'on me voie...