Œuvres Poétiques de J. Racine Avec Des Notes de Tous Les Commentateurs Recueillies: Memoires sur la vie et les ouvrages de Jean Racine, par Louis Racine, La Thébaide, ou Les frères ennemis. Alexandre le Grand. AndromaqueFirmin Didot frères, 1854 |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 51
Página 13
... n'était jamais si content que quand , libre de quitter la cour , où il trouva dans les premières années de si grands agréments , il pouvait venir passer quelques jours avec nous . En présence même d'étrangers , il osait être père : il ...
... n'était jamais si content que quand , libre de quitter la cour , où il trouva dans les premières années de si grands agréments , il pouvait venir passer quelques jours avec nous . En présence même d'étrangers , il osait être père : il ...
Página 15
... n'était plus en état que lui de faire une Vie exacte d'un ami qu'il avait fréquenté si longtemps ; au lieu que les autres qui en ont voulu parler ne l'ont point du tout connu . Je ne l'ai pas connu moi - même ; mais je ne dirai rien que ...
... n'était plus en état que lui de faire une Vie exacte d'un ami qu'il avait fréquenté si longtemps ; au lieu que les autres qui en ont voulu parler ne l'ont point du tout connu . Je ne l'ai pas connu moi - même ; mais je ne dirai rien que ...
Página 20
... n'était plus à Port - Royal ; il était au collège d'Harcourt depuis le mois d'oc- tobre précédent d'où il faut conclure que M. Hamon , médecin de Port- Royal , ne veilla pas à ses études après la mort de M. Le Maistre . 2 S'il n'a pas ...
... n'était plus à Port - Royal ; il était au collège d'Harcourt depuis le mois d'oc- tobre précédent d'où il faut conclure que M. Hamon , médecin de Port- Royal , ne veilla pas à ses études après la mort de M. Le Maistre . 2 S'il n'a pas ...
Página 23
... n'était point son talent . Ce que disait Boileau demande une explication . Les hymnes des féries imprimées dans le Bréviaire romain , traduit par M. Le Tourneux , ne sont pas certainement l'ouvrage d'un jeune homme ; et celui qui ...
... n'était point son talent . Ce que disait Boileau demande une explication . Les hymnes des féries imprimées dans le Bréviaire romain , traduit par M. Le Tourneux , ne sont pas certainement l'ouvrage d'un jeune homme ; et celui qui ...
Página 27
... n'était pas destiné à l'état ecclésiastique . Par complaisance pour son oncle , il étudiait la théologie ; et en lisant saint Thomas , il lisait aussi l'Arioste , qu'il cite souvent , avec tous les autres poëtes , dans ses premières ...
... n'était pas destiné à l'état ecclésiastique . Par complaisance pour son oncle , il étudiait la théologie ; et en lisant saint Thomas , il lisait aussi l'Arioste , qu'il cite souvent , avec tous les autres poëtes , dans ses premières ...
Términos y frases comunes
admirer aime Alexandre amant âme amour Andromaque ANTIGONE Arnauld Athalie ATTALE AXIANE beau Boileau CÉPHISE charmes cher chercher choses CLÉOFILE CLÉONE cœur Corneille courroux Créon crime cruel d'Alexandre d'Andromaque d'Hector d'Hermione d'Oreste Despréaux dessein dieux dire donner douleur éditions enfin ennemis ÉPHESTION ÉTÉOCLE Ferté-Milon fils frère fureur gloire goût Grecs haine Harpe Hélas Hémon Hermione heureux homme j'ai jamais Jean Racine JOCASTE jour l'amour l'auteur laisse lettres Louis Racine m'en madame de Maintenon madame de Sévigné malheur Molière mort mourir OLYMPE ORESTE ouvrages paix parler passion pensée père peuple Phèdre PHOENIX pièce pleurs poésie poëte Polynice Port-Royal Porus première prince princesse PYLADE Pyrrhus qu'un régner reste rien rival rois s'il Saint-Cyr sais sang scène seigneur sentiments serait seul sœur soin sort soupirs style sujet Taxile théâtre tragédie trépas Troie trône trouve Troyens vainqueur Valincour venger veut veux victoire vœux voulait yeux
Pasajes populares
Página 52 - Depuis cinq ans entiers chaque jour je la vois, Et crois toujours la voir pour la première fois.
Página 124 - Rien n'est beau que le vrai : le vrai seul est aimable ; II doit régner partout, et même dans la fable : De toute fiction l'adroite fausseté Ne tend qu'à faire aux yeux briller la vérité.
Página 361 - Maîtresse de l'Asie ; et je regarde enfin Quel fut le sort de Troie , et quel est son destin. • ( Je ne vois que des tours que la cendre a couvertes, Un fleuve teint de sang , des campagnes désertes, Un enfant dans les fers ; et je ne puis songer Que Troie en cet état aspire à se venger. Ah! si du fils d'Hector la perte était jurée, Pourquoi d'un an entier l'avons-nous differée ? Dans le sein de Priam n'at-on pu l'immoler?
Página 413 - Chère épouse, dit-il en essuyant mes larmes, J'ignore quel succès le sort garde à mes armes ; Je te laisse mon fils pour gage de ma foi : S'il me perd, je prétends qu'il me retrouve en toi. Si d'un heureux hymen la mémoire t'est chère , Montre au fils à quel point tu chérissois le père".
Página 433 - Je ne t'ai point aimé, cruel ? Qu'ai-je donc fait ? J'ai dédaigné pour toi les vœux de tous nos princes ; je t'ai cherché moi-même au fond de tes provinces ; j'y suis encor, malgré tes infidélités, et malgré tous mes Grecs honteux de mes bontés.
Página 74 - En cela, comme en tout, le ciel qui nous conduit, Racine, fait briller sa profonde sagesse. Le mérite en repos s'endort dans la paresse; Mais par les envieux un génie excité Au comble de son art est mille fois monté : Plus on veut l'affoiblir, plus il croît et s'élance.
Página 431 - Seigneur, dans cet aveu dépouillé d'artifice, J'aime à voir que du moins vous vous rendiez justice, Et que, voulant bien rompre un nœud si solennel, Vous vous abandonniez au crime en criminel. Est-il juste, après tout, qu'un conquérant s'abaisse...
Página 434 - Différez-le d'un jour ; demain vous serez maître. Vous ne répondez point ? Perfide, je le voi, Tu comptes les moments que tu perds avec moi ! Ton cœur, impatient de revoir ta Troyenne, Ne souffre qu'à regret qu'un autre t'entretienne.
Página 47 - Pour toute ambition, pour vertu singulière, II excelle à conduire un char dans la carrière, A disputer des prix indignes de ses mains, A se donner lui-même en spectacle aux Romains, A venir prodiguer sa voix sur un théâtre, A réciter des chants qu'il veut qu'on idolâtre ; Tandis que des soldats, de moments en moments, Vont arracher pour lui les applaudissements.
Página 372 - Pour ne plus s'arrêter que dans l'indifférence ; Songez-y bien : il faut désormais que mon cœur, S'il n'aime avec transport, haïsse avec fureur.