Rachel et le nouveau-monde: promenade aux États-Unis et aux AntillesA. Cadot, 1856 - 318 páginas |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 24
Página 40
... en demandait pas davantage . C'était une excellente chose comme réclame pour les Etats - Unis ; et tous ces articles furent expédiés incontinent de l'autre côté des mers ! CHAPITRE IV . A la fin duquel mademoiselle Rachel est 40 -
... en demandait pas davantage . C'était une excellente chose comme réclame pour les Etats - Unis ; et tous ces articles furent expédiés incontinent de l'autre côté des mers ! CHAPITRE IV . A la fin duquel mademoiselle Rachel est 40 -
Página 42
... c'était annoncé , on donne le surlendemain , c'est - à - dire le 6 août , une cin- quième soirée qui se compose de : LADY TARTUFE . DISTRIBUTION : MM CHÉRY aîné LÉON BEAUVALLET . LATOUCHE . Le Maréchal , Hector de Renneville ...
... c'était annoncé , on donne le surlendemain , c'est - à - dire le 6 août , une cin- quième soirée qui se compose de : LADY TARTUFE . DISTRIBUTION : MM CHÉRY aîné LÉON BEAUVALLET . LATOUCHE . Le Maréchal , Hector de Renneville ...
Página 84
... C'était un guet - apens . dévouera ? - Comment en sortir ? -- Qui se Tout le monde maintenant a les yeux fixés sur ces infortu- nés français , qui donneraient n'importe quoi pour être ailleurs . Le temps se passe . Personne ne commence ...
... C'était un guet - apens . dévouera ? - Comment en sortir ? -- Qui se Tout le monde maintenant a les yeux fixés sur ces infortu- nés français , qui donneraient n'importe quoi pour être ailleurs . Le temps se passe . Personne ne commence ...
Página 85
... C'était à se rouler par terre à force de rire . teur n'était à l'unisson de l'autre . -- Pas un chan- C'était tellement étrange , que chacun avait l'air de chan- ter un air différent . Il va sans dire qu'on a passé tout de suite au ...
... C'était à se rouler par terre à force de rire . teur n'était à l'unisson de l'autre . -- Pas un chan- C'était tellement étrange , que chacun avait l'air de chan- ter un air différent . Il va sans dire qu'on a passé tout de suite au ...
Página 96
... c'était la meilleure de toute la ville , à ce qu'on disait toujours ! Ah ! nous nous en souviendrons longtemps des côtelettes que nous avons mangées chez cette brave femme , et de son chocolat à la graisse et de son lait à la cervelle ...
... c'était la meilleure de toute la ville , à ce qu'on disait toujours ! Ah ! nous nous en souviendrons longtemps des côtelettes que nous avons mangées chez cette brave femme , et de son chocolat à la graisse et de son lait à la cervelle ...
Otras ediciones - Ver todas
Rachel et le nouveau-monde: promenade aux États-Unis et aux Antilles Léon Beauvallet Vista completa - 1856 |
Rachel et le nouveau-monde: promenade aux États-Unis et aux Antilles Léon Beauvallet Vista completa - 1856 |
Rachel et le nouveau-monde: promenade aux États-Unis et aux Antilles Léon Beauvallet Vista completa - 1856 |
Términos y frases comunes
acte ADRIENNE ADRIENNE LECOUVREUR Américains Amérique Andromaque anglais Antilles applaudir appointements artistes assez Athalie Barnum belle Boston Broadway bruit cent chant chapeau CHAPITRE Charlestown charmante chemins de fer CHÉRY chose compagnie Corneille coup dame démocratie devant diable Dinah dire dollars dramatique Durrey enfin Etats-Unis Félix Raphaël femme fièvre jaune Figaro frais Free Lover Gardes-Lafayette Havane heures Horace hôtel immense Jenny Lind jeune jolie joue jour journaux Jules Janin l'administration l'Amérique l'artiste langue LATOUCHE LECOUVREUR lendemain Léon Beauvallet madame mademoi mademoiselle Rachel mademoiselle Sarah maisons Marseillaise matin ment mille mois monde nègres New-York Noche Buena Nouveau-Monde nuit Pacific parle passé pauvre payer pays peine petits peuple Phèdre Philadelphie pièce première public quart d'heure quitter Rachel Félix Randoux Raphaël Félix recette représentation reste rien Ristori rôle rues salle scène selle Rachel sera seule sœur soir sommes spectacle stalle steamer succès théâtre tion tragédie tragédienne vapeur voilà voit vrai
Pasajes populares
Página 195 - Je passais jusqu'aux lieux où l'on garde mon fils. Puisqu'une fois le jour vous souffrez que je voie Le seul bien qui me reste et d'Hector et de Troie, J'allais, Seigneur, pleurer un moment avec lui.
Página 195 - Mon père, Cessez de vous troubler, vous n'êtes point trahi. Quand vous commanderez, vous serez obéi. Ma vie est votre bien. Vous voulez le reprendre : Vos ordres sans détour pouvaient se faire entendre.
Página 195 - D'un œil aussi content, d'un cœur aussi soumis Que j'acceptais l'époux que vous m'aviez promis, Je saurai, s'il le faut, victime obéissante, Tendre au fer de Calchas une tête innocente, Et respectant le coup par vous-même ordonné, use Vous rendre tout le sang que vous m'avez donné.
Página 195 - M'aurait osé braver pour la dernière fois. Je ne dis plus qu'un mot; c'est à vous de m'entendre. J'ai votre fille ensemble et ma gloire à défendre : Pour aller jusqu'au cœur que vous voulez percer, Voilà par quels chemins vos coups doivent passer.
Página 194 - Sais-tu quel est Pyrrhus? T'es-tu fait raconter Le nombre des exploits... Mais qui les peut compter ? Intrépide, et par-tout suivi de la victoire, Charmant, fidèle ; enfin rien ne manque a sa gloire.; Songe...
Página 295 - ... comme moi ! Mais Dieu protège les braves, et il semble avoir créé tout exprès pour moi un petit coin inconnu de toutes les géographies, où je puis oublier mes fatigues, mes peines, ma vieillesse prématurée et pourtant vous lancez votre vilain canard au milieu des oiseaux qui perchent sur mes branches , et qui me chantent les petites et bonnes chansons du retour! le mien invraisemblable, et celui du printemps! « Si j'étais morte en Amérique, vous eussiez, oh! j'en suis bien sûre, été...
Página 189 - Cet empire absolu sur la terre et sur l'onde, Ce pouvoir souverain que j'ai sur tout le monde, Cette grandeur sans borne et cet illustre rang...
Página 204 - J'ai porté mon espoir, mon oracle et mes Dieux. J'ai parlé devant vous la langue du génie. Pour imposer silence à qui vous calomnie, Voici votre réponse. Elle est dans cet accueil Qui me gonfle le cœur d'un légitime orgueil. Oui ! je l'avais senti : toutes les grandes choses Dans l'âme d'un grand peuple ont leurs apothéoses... J'emporte...
Página 228 - C'est re qu'a toujours affirmé la femme de Williams. De plus, le, nom de ce prétendu fils ne se trouve point sur les registres où il est fait mention de la naissance des autres enfants de Williams. Il ya quoiqucs années, mourut à la Nouvelle-Orléans un Français dont le nom était Bellanger.
Página 184 - L'état social des Américains est éminemment démocratique. Il a eu ce caractère dès la naissance des colonies ; il l'a plus encore de nos jours. J'ai dit dans le chapitre précédent qu'il régnait une très grande égalité parmi les émigrants qui vinrent s'établir sur les rivages de la NouvelleAngleterre.