7° Kring, annexe du couvent des frères van Dale (1); 8o Rue du persil, cour 4-10 (Wolckens-poort); 9o Rue courte des pierres, 13 (estaminet Sebastopol); 10° Rue de Sion, 27 (propr. De Witte-Delobel); 11° Rue des vignes, 42, 44, 31 (propr. Hofman, Myle, Malfait). XV. Dans notre promenade archéologique, nous avons cru devoir noter certains détails architecturaux ou décoratifs, qui distinguent bon nombre de maisons, sans que celles-ci aient un autre intérêt; ce sont de belles ancres, des portes caractéristiques, d'artistiques lucarnes, etc. En voici le relevé : PORTES : Béguinage, nos 3, 4, 7, 9, 11, 14, 16, 19, 20, 21, 22, 23, 29, 32, 34, 35, 36, 37, 38, 39, 40; Rue de Buda, porte de l'hôpital; Rue du château, 17 (Domus pauperum); Grand'place, 43 (Hôtel du Damier); Rue de Groeninghe, 1, 9, 25 (ancienne maison Chomé, Vercruysse, Armkamer); Rue Saint-Jean, 14 (propr. van den Bulcke); Rue longue des pierres (sortie de la maison Mullie); ANCRES: Béguinage, infirmerie, maison de la grande-dame ; Rue de Buda, 7, 15 (propr. van Lerberghe et Callewaert); Rue des douze apôtres, maisons de ce nom; Voorstraat, 2, 34 (Hof van Brabant et van Maerlant's hof.) Grand'place, 42, 48, 31 (maison Castaing, Café Royal, propriété De Rho); (1) Pl. XVIII. SCULPTURES, BAS-RELIEFS : Rue de l'arc à main, no 0 (propr. Arsène Vercruysse); Rue du canal, 8 (propr. Demeyere); Rue de Lille, 8 (propr. de Thibault de Boesinghe); Rue du persil, 12, 14 (propr. de la Croix); Rue longue des pierres, 22 (propr. de Craene); PANS DE BOIS : Rue de Buda, 3 (propr. Verwée); Rue du canal, 8, 14 (propr. Demeyere); Rue Kokelaer, 12 (propr. le Bureau de bienfaisance); Quai de la digue, 8, 9 (propr. Vuylsteke et Desmet); Rue de Menin, 10 (démolie). FAÇADES EN PIERRE DE TAILLE : Grand'place, 31, 48 (maison De Rho, Café Royal). La tache de vos rapporteurs, MM., est terminée. Permettezmoi de vous dire que la vôtre commence. Au cours de notre séance du 19 janvier, l'un de nous, M. Goethals, nous confessait que le pouvoir des autorités communales n'est pas assez étendu pour sauver de la destruction une façade ancienne, quelqu'intéressante soit-elle. Par voie d'autorité, elles ne peuvent même rien. Elles n'ont d'autres ressources que les voies détournées. Ou bien, comme le fait l'édilité de Malines, on peut tacher d'acquérir la façade (1); ou, (1) La ville de Malines achète uniquement la façade menacée de disparition, moyennant engagement, de sa part, de la restaurer et engagement, pour le propriétaire, de ne plus la modifier; le propriétaire, s'il ne reçoit rien pour la cession, est par contre assuré qu'il n'aura, lui et ses successeurs, plus jamais rien à dépenser pour l'entretien de son pignon. Ce mode de procéder a réussi en plusieurs circonstances. (Cf. Gilde de Saint-Thomas et de Saint-Luc, Bulletin XXXVI, p. 63). |