L'art de lire à haute voix: suivi de l'application de ses principes à la lecture des ouvrages d'éloquence et de poésieChez l'auteur, 1824 - 535 páginas |
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... dernier résultat des sons combinés avec les divers mouvemens des organes de la voix est le prodige le plus étonnant qui puisse fixer l'attention des hommes . Du côté des sons ; avec quelle 26 L'ART DE LIRE Des sons articulés ou consonnes,
... dernier résultat des sons combinés avec les divers mouvemens des organes de la voix est le prodige le plus étonnant qui puisse fixer l'attention des hommes . Du côté des sons ; avec quelle 26 L'ART DE LIRE Des sons articulés ou consonnes,
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... dernier terme est quelquefois à une si grande dis- tance du sujet qui le détermine ? De même , si j'avais à lire un morceau de poésie italienne , com- ment pourrais - je parvenir à me faire entendre , si je ne connaissais pas les formes ...
... dernier terme est quelquefois à une si grande dis- tance du sujet qui le détermine ? De même , si j'avais à lire un morceau de poésie italienne , com- ment pourrais - je parvenir à me faire entendre , si je ne connaissais pas les formes ...
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... l'emploi de ce dernier signe , a décidé encore de l'usage des deux - points . On les place dans les cas où la proposition est complète grammati- calement , mais où elle se montre cependant encore subordonnée 82 L'ART DE LIRE.
... l'emploi de ce dernier signe , a décidé encore de l'usage des deux - points . On les place dans les cas où la proposition est complète grammati- calement , mais où elle se montre cependant encore subordonnée 82 L'ART DE LIRE.
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... dernier signe est comme tous les au- tres , soumis à l'influence de la proportion qui en a réglé l'usage . Il est placé après une période où une proposition quelconque qui a un sens absolument terminé . Je remarquerai cependant que le ...
... dernier signe est comme tous les au- tres , soumis à l'influence de la proportion qui en a réglé l'usage . Il est placé après une période où une proposition quelconque qui a un sens absolument terminé . Je remarquerai cependant que le ...
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... dernier germe , èt tandis qu'il s'ef- forcerait vainement de la voix , ou du geste , ou des yeux pour produire une émotion ; l'auditeur , accablé de ce contre - sens grossier , gémirait de son ignorance et de son mauvais goût , ou en ...
... dernier germe , èt tandis qu'il s'ef- forcerait vainement de la voix , ou du geste , ou des yeux pour produire une émotion ; l'auditeur , accablé de ce contre - sens grossier , gémirait de son ignorance et de son mauvais goût , ou en ...
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L'art de lire à haute voix: suivi de l'application de ses principes à la ... Dubroca Vista completa - 1824 |
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à-la-fois accens adverbes âme Andromaque argumens articulation auditeurs barreau Bossuet bouche Britannicus Burrhus carac caractère charme choses Cicéron cœur consonnes débit déclamation Démosthène diction diphthongues discours publics distinction doivent donner douleur dramatique enfin énoncer exclamations exemple expression expriment exprimer force former frapper genre geste goût grammaticales Henriade hommes idées inflexions interjections intonations oratoires j'ai jamais juste l'art de lire l'art théâtral l'éloquence l'esprit l'expression l'homme l'objet l'orateur l'oreille langage langue française LEÇON lecteur doit lectures soutenues lois long-temps madame de Sévigné manière ment Messieurs Mithridate modifications mots moyens nature noms substantifs nuances objet orateur organes parle parole passions peindre pensées Phèdre phrases poésie premier pressans principes pronoms prononciation prosodie pulsations naturelles qu'un quelquefois Quintilien raison repos rien scène sensible sentimens sentiment serait seule simple sion sorte souvent style sublime sujet surtout syllabes talens tantôt teur théâtre tible tion tons traits verbes vérité Verrès vices Voilà voix humaine voyelle yeux
Pasajes populares
Página 210 - Rome qui t'a vu naître, et que ton coeur adore, Rome enfin que je hais parce qu'elle t'honore! Puissent tous ses voisins ensemble conjurés Saper ses fondements encore mal assurés! Et si ce n'est assez de toute l'Italie, Que l'Orient contre elle à l'Occident s'allie ; Que cent peuples unis des bouts de l'univers Passent pour la détruire et les monts et les mers...
Página 224 - Dieux ! que ne suis-je assise à l'ombre des forêts ! Quand pourrai-je, au travers d'une noble poussière. Suivre de l'œil un char fuyant dans la carrière?
Página 242 - Mais fidèle , mais fier, et même un peu farouche , Charmant, jeune, traînant tous les cœurs après soi ' , Tel qu'on dépeint nos dieux, ou tel que je vous voi. Il avait votre port, vos yeux, votre langage ; Cette noble pudeur colorait son visage Lorsque de notre Crète il traversa les flots , Digne sujet des vœux des filles de Minos.
Página 242 - Ah ! douleur non encore éprouvée ! A quel nouveau tourment je me suis réservée ! Tout ce que j'ai souffert, mes craintes, mes transports, La fureur de mes feux, l'horreur de mes remords, Et d'un refus cruel l'insupportable injure, N'était qu'un faible essai du tourment que j'endure.
Página 261 - Apprends à te connaître, et descends en toi-même : On t'honore dans Rome, on te courtise, on t'aime ; Chacun tremble sous toi, chacun t'offre des vœux : Ta fortune est bien haut, tu peux ce que tu veux : Mais tu ferais pitié même à ceux qu'elle irrite, Si je t'abandonnais à ton peu de mérite. Ose me démentir, dis-moi ce que tu vaux ; Conte-moi tes vertus, tes glorieux travaux, Les rares qualités par où tu m'as dû plaire, Et tout ce qui t
Página 360 - Tourna des triolets, rima des mascarades, A des refrains réglés asservit les rondeaux, Et montra pour rimer des chemins tout nouveaux. Ronsard, qui le suivit, par une autre méthode, Réglant tout , brouilla tout , fit un art à sa mode , Et toutefois longtemps eut un heureux destin.
Página 224 - Œnone, la rougeur me couvre le visage: Je te laisse trop voir mes honteuses douleurs; Et mes yeux, malgré moi, se remplissent de pleurs.
Página 386 - Pyrrhus, la laitière, enfin tous, Autant les sages que les fous. Chacun songe en veillant; il n'est rien de plus doux: Une flatteuse erreur emporte alors nos âmes; Tout le bien du monde est à nous, Tous les honneurs, toutes les femmes. Quand je suis seul, je fais au plus brave un défi...
Página 86 - Celui qui met un frein à la fureur des flots Sait aussi des méchants arrêter les complots. Soumis avec respect à sa volonté sainte, Je crains Dieu, cher Abner, et n'ai point d'autre crainte Cependant je rends grâce au zèle officieux Qui sur tous mes périls vous fait ouvrir les yeux.
Página 159 - Turenne meurt, tout se confond, la fortune chancelle, la victoire se lasse, la paix s'éloigne , les bonnes intentions des alliés se ralentissent, le courage des troupes est abattu par la douleur et ranimé par la vengeance ; tout le camp demeure immobile.