Mémoires sur la vie et les ouvrages de Jean Racine, par Louis Racine. La Thébaïde, ou Les frères ennemis. Alexandre le Grand. AndromaqueLefèvre, 1822 |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 52
Página 4
... Corneille fait des vers cent fois plus beaux que les < « < miens , et cependant personne ne le regarde ; on ne « l'aime dans la bouche de ses acteurs . Au lieu que « sans fatiguer les gens du monde du récit de mes ouvra- « ges , dont je ...
... Corneille fait des vers cent fois plus beaux que les < « < miens , et cependant personne ne le regarde ; on ne « l'aime dans la bouche de ses acteurs . Au lieu que « sans fatiguer les gens du monde du récit de mes ouvra- « ges , dont je ...
Página 29
... Corneille , pour recevoir les avis du maître du théâtre . M. de Valincourt rapporte ce fait dans sa lettre à M. l'abbé d'Olivet , et m'a assuré qu'il le tenoit de mon père même . Corneille , après avoir entendu la lecture de la pièce ...
... Corneille , pour recevoir les avis du maître du théâtre . M. de Valincourt rapporte ce fait dans sa lettre à M. l'abbé d'Olivet , et m'a assuré qu'il le tenoit de mon père même . Corneille , après avoir entendu la lecture de la pièce ...
Página 30
... 'Histoire du Théâtre françois , tom . IX , il est dit qu'elle fut jouée le même jour sur les deux théâtres : ce qui n'est pas vraisem- blable . ( L. R. ) 4 que la vieillesse de Corneille ne l'alarmoit plus , 30 MÉMOIRES SUR LA VIE.
... 'Histoire du Théâtre françois , tom . IX , il est dit qu'elle fut jouée le même jour sur les deux théâtres : ce qui n'est pas vraisem- blable . ( L. R. ) 4 que la vieillesse de Corneille ne l'alarmoit plus , 30 MÉMOIRES SUR LA VIE.
Página 31
Jean Racine. 4 que la vieillesse de Corneille ne l'alarmoit plus , et qu'il « n'avoit plus à craindre de voir finir avec lui la tragé- « die : :: et cet aveu de Saint - Évremond dut consoler le poëte de la critique que le même écrivain ...
Jean Racine. 4 que la vieillesse de Corneille ne l'alarmoit plus , et qu'il « n'avoit plus à craindre de voir finir avec lui la tragé- « die : :: et cet aveu de Saint - Évremond dut consoler le poëte de la critique que le même écrivain ...
Página 39
... Corneille et de Racine , publié par l'abbé Granet . Subligny donna des leçons de ver- sification à la célébre comtesse de La Suze . On a de lui une traduction des fameuses Lettres portugaises , la Fausse Clélie , roman médiocre , et ...
... Corneille et de Racine , publié par l'abbé Granet . Subligny donna des leçons de ver- sification à la célébre comtesse de La Suze . On a de lui une traduction des fameuses Lettres portugaises , la Fausse Clélie , roman médiocre , et ...
Otras ediciones - Ver todas
Términos y frases comunes
Alexandre amant amour Andromaque ANTIGONE Arnauld Athalie ATTALE auroit avoient avoit AXIANE beau Boileau Britannicus cæur CÉPHISE charmes cher chose CLÉOFILE CLÉONE cœur combat connois connoître Corneille cour courroux Créon crime cruel d'Alexandre d'Andromaque d'Hector d'Hermione d'Oreste déja devoit dieux dire disoit douleur éditions enfin ennemis ÉPHESTION ÉTÉOCLE étoient étoit Euripide faisoit Ferté-Milon fils frère fureur gloire goût grace Grecs haine Harpe Hémon Hermione heureux homme j'ai jamais JOCASTE jour l'amour l'auteur laisse lettres long-temps Louis Racine m'en madame de Maintenon madame de Montespan main malheureux mort mourir n'avoit n'étoit OLYMPE ORESTE paix parcequ'il parceque parler paroît passion père Phèdre PHOENIX pièce pleurs poésie poëte Polynice Port-Royal Porus pouvoit première prince princesse PYLADE Pyrrhus qu'un régner rien rois sais sang scène seigneur sentiments seroit seul soin sort soupirs style sujet Taxile théâtre Thebes tragédie trépas trône trouve vainqueur venger veut veux vouloit yeux
Pasajes populares
Página 488 - Mon innocence enfin commence à me peser. Je ne sais de tout temps quelle injuste puissance Laisse le crime en paix, et poursuit l'innocence. De quelque part sur moi que je tourne les yeux . Je ne vois que malheurs qui condamnent les dieux.
Página 46 - Depuis cinq ans entiers chaque jour je la vois, Et crois toujours la voir pour la première fois.
Página 530 - Différez-le d'un jour ; demain vous serez maître. Vous ne répondez point ? Perfide, je le voi, Tu comptes les moments que tu perds avec moi ! Ton cœur, impatient de revoir ta Troyenne, Ne souffre qu'à regret qu'un autre t'entretienne.
Página 494 - Avec lui dans la tombe elle s'est enfermée. Mais il me reste un fils... Vous saurez quelque jour, Madame, pour un fils jusqu'où va notre amour; Mais vous ne saurez pas, du moins je le souhaite, En quel trouble mortel son intérêt nous jette , Lorsque, de tant de biens qui pouvaient nous flatter, C'est le seul qui nous reste, et qu'on veut nous l'ôter.
Página 458 - Pour ne plus s'arrêter que dans l'indifférence. Songez-y bien : il faut désormais que mon cœur, S'il n'aime avec transport, haïsse avec fureur.
Página 547 - Appliqué sans relâche au soin de me punir, Au comble des douleurs tu m'as fait parvenir.
Página 505 - Chère épouse , dit-il en essuyant mes larmes , • J'ignore quel succès le sort garde à mes armes ; « Je te laisse mon fils pour gage de ma foi : « S'il me perd , je prétends qu'il me retrouve en toi. « Si d'un heureux hymen la mémoire t'est chère , « Montre au fils à quel point tu chérissais le père.
Página 30 - J'ai donc appris avec douleur que vous fréquentiez plus que jamais des gens dont le nom est abominable à toutes les personnes qui ont tant soit peu de piété...
Página 30 - ... soit pas vrai; mais si vous êtes assez malheureux pour n'avoir pas rompu un commerce qui vous déshonore devant Dieu et devant les hommes, vous ne devez pas penser à nous venir voir; car vous savez bien que je ne pourrais pas vous parler, vous sachant dans un état si déplorable et si contraire au Christianisme. Cependant je ne cesserai point de prier Dieu qu'il vous fasse miséricorde, et à moi en vous la faisant, puisque votre salut m'est si cher.
Página 455 - Non, non : d'un ennemi respecter la misère, Sauver des malheureux , rendre un fils à sa mère, De cent peuples pour lui combattre la rigueur, Sans me faire payer son salut de mon cœur'; Malgré moi, s'il le faut, lui donner un asyle : Seigneur, voilà des soins dignes du fils d'Achille.