Mémoires sur la vie et les ouvrages de Jean Racine, par Louis Racine. La Thébaïde, ou Les frères ennemis. Alexandre le Grand. AndromaqueLefèvre, 1820 |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 55
Página 23
... dernier effort , « Et sait encor tromper dans les bras de la mort . # « Polynice , ravi d'une fausse victoire , # B Dont bientôt sa défaite effacera la gloire , Levant les mains au ciel , s'écrie à haute voix : Soyez bénis , ô dieux ...
... dernier effort , « Et sait encor tromper dans les bras de la mort . # « Polynice , ravi d'une fausse victoire , # B Dont bientôt sa défaite effacera la gloire , Levant les mains au ciel , s'écrie à haute voix : Soyez bénis , ô dieux ...
Página 29
... dernier vers , il valoit mieux dire de mon peu de lecture . Molière décida qu'il falloit conserver la première façon : « Elle est , lui dit - il , la plus naturelle ; et il faut sacrifier « toute régularité à la justesse de l'expression ...
... dernier vers , il valoit mieux dire de mon peu de lecture . Molière décida qu'il falloit conserver la première façon : « Elle est , lui dit - il , la plus naturelle ; et il faut sacrifier « toute régularité à la justesse de l'expression ...
Página 31
... dernier venoit de donner sa tragédie d'Alexandre lorsqu'il se lia d'amitié avec l'auteur de l'Art poé- tique . Racine lui dit , en parlant de son travail , qu'il avoit une facilité surprenante à faire ses vers . « Je veux , répondit ...
... dernier venoit de donner sa tragédie d'Alexandre lorsqu'il se lia d'amitié avec l'auteur de l'Art poé- tique . Racine lui dit , en parlant de son travail , qu'il avoit une facilité surprenante à faire ses vers . « Je veux , répondit ...
Página 43
... dernier jour de décembre 1668. COLBERT . LA MOTTE COQUART . » ( L. R. ) 3 Il y avoit à l'hôtel de Bourgogne un banc où les auteurs avoient cou- dant aucune critique imprimée dans le temps contre Bri- tannicus DE JEAN RACINE . 43.
... dernier jour de décembre 1668. COLBERT . LA MOTTE COQUART . » ( L. R. ) 3 Il y avoit à l'hôtel de Bourgogne un banc où les auteurs avoient cou- dant aucune critique imprimée dans le temps contre Bri- tannicus DE JEAN RACINE . 43.
Página 46
... dernier , Semble dans le malheur le plonger le premier . César vous voit par - tout attendre son passage . NARCISSE . Avec tout l'univers je viens lui rendre hommage , Seigneur : c'est le dessein qui m'amène en ces lieux . BURRHUS ...
... dernier , Semble dans le malheur le plonger le premier . César vous voit par - tout attendre son passage . NARCISSE . Avec tout l'univers je viens lui rendre hommage , Seigneur : c'est le dessein qui m'amène en ces lieux . BURRHUS ...
Otras ediciones - Ver todas
Términos y frases comunes
Alexandre amant amour Andromaque ANTIGONE ATTALE auroit avoient avoit AXIANE beau Boileau CÉPHISE charmes cher chose CLÉOFILE CLÉONE cœur combat connois connoître Corneille courroux Créon crime cruel d'Alexandre d'Andromaque d'Hector d'Hermione d'Oreste déja devoit dieux dire disoit douleur éditions enfin ennemis ÉPHESTION ÉTÉOCLE étoient étoit Euripide faisoit fils frère fureur gloire goût grace Grecs haine Harpe Hémon HERMIONE heureux homme j'ai jamais JOCASTE jour l'amour l'auteur laisse lettres long-temps Louis Racine m'en madame de Maintenon madame de Montespan madame de Sévigné malheureux mort mourir n'avoit n'étoit OLYMPE ORESTE paix parcequ'il parceque parler paroît passion père Phèdre PHOENIX pièce pleurs poésie poëte Polynice Port-Royal Porus pouvoit première prince PYLADE Pyrrhus qu'un régner rien rois sang scène seigneur sentiments seroit seul sœur soin sort soupirs style sujet Taxile théâtre Thèbes tragédie trépas trône trouve vainqueur venger veut veux victoire vouloit yeux
Pasajes populares
Página 498 - Mon innocence enfin commence à me peser. Je ne sais de tout temps quelle injuste puissance Laisse le crime en paix, et poursuit l'innocence. De quelque part sur moi que je tourne les yeux . Je ne vois que malheurs qui condamnent les dieux.
Página 513 - Songe, songe, Céphise, à cette nuit cruelle Qui fut pour tout un peuple une nuit éternelle. Figure-toi Pyrrhus, les yeux étincelants, Entrant à la lueur de nos palais brûlants Sur tous mes frères morts se faisant un passage; Et de sang tout couvert échauffant le carnage Songe aux cris des vainqueurs, songe aux cris des mourants, Dans la flamme étouffés sous le fer expirants.
Página 45 - Pour toute ambition, pour vertu singulière, II excelle à conduire un char dans la carrière, A disputer des prix indignes de ses mains, A se donner lui-même en spectacle aux Romains, A venir prodiguer sa voix sur un théâtre, A réciter des chants qu'il veut qu'on idolâtre ; Tandis que des soldats, de moments en moments, Vont arracher pour lui les applaudissements.
Página 542 - Où suis-je? Qu'ai-je fait? Que dois-je faire encore? Quel transport me saisit? Quel chagrin me dévore? Errante et sans dessein, je cours dans ce palais. Ah! ne puis-je savoir si j'aime ou si je hais? Le cruel ! de quel œil il m'a congédiée : Sans pitié, sans douleur au moins étudiée ! L'ai-je vu se troubler et me plaindre un moment?
Página 515 - Chère épouse , dit-il en essuyant mes larmes , • J'ignore quel succès le sort garde à mes armes ; « Je te laisse mon fils pour gage de ma foi : « S'il me perd , je prétends qu'il me retrouve en toi. « Si d'un heureux hymen la mémoire t'est chère , « Montre au fils à quel point tu chérissais le père.
Página 53 - J'ai peu de voix pour moi, mais je les ai sans brigue, Et mon ambition, pour faire plus de bruit...
Página 460 - Je passais jusqu'aux lieux où l'on garde mon fils. Puisqu'une fois le jour vous souffrez que je voie Le seul bien qui me reste et d'Hector et de Troie , J'allais , seigneur , pleurer un moment avec lui : Je ne l'ai point encore embrassé d'aujourd'hui ! PYRRHUS.
Página 557 - Appliqué sans relâche au soin de me punir, Au comble des douleurs tu m'as fait parvenir.
Página 465 - Je vous offre mon bras ; puis-je espérer encore Que vous accepterez un cœur qui vous adore ? En combattant pour vous, me sera-t-il permis ' De ne vous point compter parmi mes ennemis ? ANDROMAQUE.
Página 39 - Au Cid persécuté Cinna doit sa naissance ; Et peut-être ta plume aux censeurs de Pyrrhus * Doit les plus nobles traits dont tu peignis Burrhus.