Mémoires sur la vie et les ouvrages de Jean Racine, par Louis Racine. La Thébaïde, ou Les frères ennemis. Alexandre le Grand. AndromaqueLefèvre, 1820 |
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... voyant le sort du monde entre les mains d'un jeune homme dont l'éducation a d'abord comprimé les mauvaises in- clinations , mais qui , séduit par le pouvoir suprême , commence à secouer le joug de ses instituteurs pour se livrer à des ...
... voyant le sort du monde entre les mains d'un jeune homme dont l'éducation a d'abord comprimé les mauvaises in- clinations , mais qui , séduit par le pouvoir suprême , commence à secouer le joug de ses instituteurs pour se livrer à des ...
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... voyant qu'ils ne pouvoient plus apporter d'obstacle a à ma Phèdre du côté de la cour , par des bassesses honteuses , indignes du caractère qu'ils doivent avoir , empêchèrent les meilleures actrices d'y « jouer . » parti de l'hôtel de ...
... voyant qu'ils ne pouvoient plus apporter d'obstacle a à ma Phèdre du côté de la cour , par des bassesses honteuses , indignes du caractère qu'ils doivent avoir , empêchèrent les meilleures actrices d'y « jouer . » parti de l'hôtel de ...
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... voyant un jour à la promenade avec M. de Cavoye : « Voilà deux « hommes que je vois souvent ensemble ; j'en devine la << raison : Cavoye avec Racine se croit bel - esprit ; Racine « avec Cavoye se croit courtisan . » Si l'on entend par ...
... voyant un jour à la promenade avec M. de Cavoye : « Voilà deux « hommes que je vois souvent ensemble ; j'en devine la << raison : Cavoye avec Racine se croit bel - esprit ; Racine « avec Cavoye se croit courtisan . » Si l'on entend par ...
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... voyant en scène avec madame de Caylus , qui avoit un très joli visage : « Quelle ac- trice , si je pouvois mettre ce visage - là sur ses épaules ! » « êtes fils d'un homme qui avoit un grand génie DE JEAN RACINE . 117.
... voyant en scène avec madame de Caylus , qui avoit un très joli visage : « Quelle ac- trice , si je pouvois mettre ce visage - là sur ses épaules ! » « êtes fils d'un homme qui avoit un grand génie DE JEAN RACINE . 117.
Página 157
... voyant qu'il feroit mieux de se coucher que de continuer à lire , il descendit dans sa chambre . J'y étois , et je me souviens qu'il nous dit , pour ne nous point effrayer : « Mes en- « fants , je crois que j'ai un peu de fièvre ; mais ...
... voyant qu'il feroit mieux de se coucher que de continuer à lire , il descendit dans sa chambre . J'y étois , et je me souviens qu'il nous dit , pour ne nous point effrayer : « Mes en- « fants , je crois que j'ai un peu de fièvre ; mais ...
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Términos y frases comunes
Alexandre amant amour Andromaque ANTIGONE ATTALE auroit avoient avoit AXIANE beau Boileau CÉPHISE charmes cher chose CLÉOFILE CLÉONE cœur combat connois connoître Corneille courroux Créon crime cruel d'Alexandre d'Andromaque d'Hector d'Hermione d'Oreste déja devoit dieux dire disoit douleur éditions enfin ennemis ÉPHESTION ÉTÉOCLE étoient étoit Euripide faisoit fils frère fureur gloire goût grace Grecs haine Harpe Hémon HERMIONE heureux homme j'ai jamais JOCASTE jour l'amour l'auteur laisse lettres long-temps Louis Racine m'en madame de Maintenon madame de Montespan madame de Sévigné malheureux mort mourir n'avoit n'étoit OLYMPE ORESTE paix parcequ'il parceque parler paroît passion père Phèdre PHOENIX pièce pleurs poésie poëte Polynice Port-Royal Porus pouvoit première prince PYLADE Pyrrhus qu'un régner rien rois sang scène seigneur sentiments seroit seul sœur soin sort soupirs style sujet Taxile théâtre Thèbes tragédie trépas trône trouve vainqueur venger veut veux victoire vouloit yeux
Pasajes populares
Página 498 - Mon innocence enfin commence à me peser. Je ne sais de tout temps quelle injuste puissance Laisse le crime en paix, et poursuit l'innocence. De quelque part sur moi que je tourne les yeux . Je ne vois que malheurs qui condamnent les dieux.
Página 513 - Songe, songe, Céphise, à cette nuit cruelle Qui fut pour tout un peuple une nuit éternelle. Figure-toi Pyrrhus, les yeux étincelants, Entrant à la lueur de nos palais brûlants Sur tous mes frères morts se faisant un passage; Et de sang tout couvert échauffant le carnage Songe aux cris des vainqueurs, songe aux cris des mourants, Dans la flamme étouffés sous le fer expirants.
Página 45 - Pour toute ambition, pour vertu singulière, II excelle à conduire un char dans la carrière, A disputer des prix indignes de ses mains, A se donner lui-même en spectacle aux Romains, A venir prodiguer sa voix sur un théâtre, A réciter des chants qu'il veut qu'on idolâtre ; Tandis que des soldats, de moments en moments, Vont arracher pour lui les applaudissements.
Página 542 - Où suis-je? Qu'ai-je fait? Que dois-je faire encore? Quel transport me saisit? Quel chagrin me dévore? Errante et sans dessein, je cours dans ce palais. Ah! ne puis-je savoir si j'aime ou si je hais? Le cruel ! de quel œil il m'a congédiée : Sans pitié, sans douleur au moins étudiée ! L'ai-je vu se troubler et me plaindre un moment?
Página 515 - Chère épouse , dit-il en essuyant mes larmes , • J'ignore quel succès le sort garde à mes armes ; « Je te laisse mon fils pour gage de ma foi : « S'il me perd , je prétends qu'il me retrouve en toi. « Si d'un heureux hymen la mémoire t'est chère , « Montre au fils à quel point tu chérissais le père.
Página 53 - J'ai peu de voix pour moi, mais je les ai sans brigue, Et mon ambition, pour faire plus de bruit...
Página 460 - Je passais jusqu'aux lieux où l'on garde mon fils. Puisqu'une fois le jour vous souffrez que je voie Le seul bien qui me reste et d'Hector et de Troie , J'allais , seigneur , pleurer un moment avec lui : Je ne l'ai point encore embrassé d'aujourd'hui ! PYRRHUS.
Página 557 - Appliqué sans relâche au soin de me punir, Au comble des douleurs tu m'as fait parvenir.
Página 465 - Je vous offre mon bras ; puis-je espérer encore Que vous accepterez un cœur qui vous adore ? En combattant pour vous, me sera-t-il permis ' De ne vous point compter parmi mes ennemis ? ANDROMAQUE.
Página 39 - Au Cid persécuté Cinna doit sa naissance ; Et peut-être ta plume aux censeurs de Pyrrhus * Doit les plus nobles traits dont tu peignis Burrhus.