Notice sur la vie et les ouvrages de Racine. La Thébaïde, ou, Les frères ennemis. Alexandre. Andromaque. Les plaideuresP. Didot, 1803 |
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... POLYNICE , frere d'Etéocle . JOCASTE , mere de ces deux princes et d'Antigone . ANTIGONE , Sœur d'Etéocle et de Polynice . CRÉON , Oncle des princes et de la princesse . HÉMON , fils de Créon , amant d'Antigone . OLYMPE , confidente de ...
... POLYNICE , frere d'Etéocle . JOCASTE , mere de ces deux princes et d'Antigone . ANTIGONE , Sœur d'Etéocle et de Polynice . CRÉON , Oncle des princes et de la princesse . HÉMON , fils de Créon , amant d'Antigone . OLYMPE , confidente de ...
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... Polynice arrêté , Pour combattre , à mes yeux ne s'est point présenté . D'Argiens seulement une troupe hardie M'a voulu de nos murs disputer la sortie ; J'ai fait mordre la poudre à ces audacieux ; Et leur sang est celui qui paroît à ...
... Polynice arrêté , Pour combattre , à mes yeux ne s'est point présenté . D'Argiens seulement une troupe hardie M'a voulu de nos murs disputer la sortie ; J'ai fait mordre la poudre à ces audacieux ; Et leur sang est celui qui paroît à ...
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... Polynice et ses fiers alliés Laisseront Thebes libre , ou mourront à mes pieds . JOCASTE . Vous pourriezd'un tel sang , oh ciel ! souiller vos armes ? La couronne pour vous a - t - elle tant de charmes ? Si par un parricide il la ...
... Polynice et ses fiers alliés Laisseront Thebes libre , ou mourront à mes pieds . JOCASTE . Vous pourriezd'un tel sang , oh ciel ! souiller vos armes ? La couronne pour vous a - t - elle tant de charmes ? Si par un parricide il la ...
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... Polynice , et lui parler de paix . Créon , la reine ici commande en mon absence ; Disposez tout le monde à son obéissance ; Laissez , pour recevoir et pour donner ses lois , Votre fils Ménécée , et j'en ai fait le choix : Comme il a de ...
... Polynice , et lui parler de paix . Créon , la reine ici commande en mon absence ; Disposez tout le monde à son obéissance ; Laissez , pour recevoir et pour donner ses lois , Votre fils Ménécée , et j'en ai fait le choix : Comme il a de ...
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... Polynice . CRÉON . Oui , je le sais , madame , et je lui fais justice ; Je le dois , en effet , distinguer du commun , Mais c'est pour le haïr encor plus que pas un : Et je souhaiterois , dans ma juste colere , Que chacun le haït comme ...
... Polynice . CRÉON . Oui , je le sais , madame , et je lui fais justice ; Je le dois , en effet , distinguer du commun , Mais c'est pour le haïr encor plus que pas un : Et je souhaiterois , dans ma juste colere , Que chacun le haït comme ...
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Términos y frases comunes
aime ALEXANDRE Allez Allons amant amitié amour ANDROMA ANDROMAQUE ANTIGONE ATTALE Aussi-bien avoit AXIANE beau bras CÉPHISE charmes cher chercher CHICANEAU ciel CLÉOFILE CLÉONE cœur colere combat COMTESSE connois connoître courage courroux craint CRÉON crime cruel d'Alexandre DANDIN déja dessein diadême douleur enfin ennemi ÉPHESTION Épire ÉTÉOCLE étoit exploits fils d'Hector flatte frere funeste fureur gloire grace Grecs haine Hector Hélas Hémon HERMIONE hymen ISABELLE j'ai JOCASTE juge l'amour l'Épire l'ingrat L'INTIMÉ laisse larmes LÉANDRE m'en madame madame de Maintenon main maître malheureux moi-même monsieur mort mourir Oh dieux OLYMPE ORESTE paix par-tout parle pere PETIT JEAN peuple peut-être PHOENIX pleurs Polynice Porus prince princesse PYLADE PYRRH Pyrrhus qu'un Racine régner rien rois s'il sais sang SCENE seigneur seroit seul sœur soins sort SOUFFLEUR souffrir soupirs Taxile Thébains Thebes tragédie trépas Troie trône Troyens tyran vainqueur vais venger veut veux victoire vœux vois vous-même yeux
Pasajes populares
Página 156 - Je passais jusqu'aux lieux où l'on garde mon fils. Puisqu'une fois le jour vous souffrez que je voie Le seul bien qui me reste et d'Hector et de Troie , J'allais , seigneur , pleurer un moment avec lui : Je ne l'ai point encore embrassé d'aujourd'hui ! PYRRHUS.
Página 175 - Mon innocence enfin commence à me peser. Je ne sais de tout temps quelle injuste puissance Laisse le crime en paix, et poursuit l'innocence. De quelque part sur moi que je tourne les yeux . Je ne vois que malheurs qui condamnent les dieux.
Página 198 - Différez-le d'un jour; demain vous serez maître.... Vous ne répondez point?... Perfide! je le voi, Tu comptes les moments que tu perds avec moi.
Página 196 - Prodiguer les doux noms de parjure et de traître. Vous veniez de mon front observer la pâleur , Pour aller dans ses bras rire de ma douleur : Pleurante après son char vous voulez qu'on me voie.
Página 197 - Et, sans chercher ailleurs des titres empruntés, Ne vous suffit-il pas de ceux que vous portez? Du vieux père d'Hector la valeur abattue Aux pieds de sa famille expirante à sa vue , Tandis que dans son sein votre bras enfoncé Cherche un reste de sang que l'âge avait glacé ; Dans des ruisseaux de sang Troie ardente plongée ; De votre propre main Polyxène égorgée , Aux yeux de tous les Grecs indignés contre vous : Que peut-on refuser à ces généreux coups?
Página 179 - Avec lui dans la tombe elle s'est enfermée. Mais il me reste un fils... Vous saurez quelque jour, Madame, pour un fils jusqu'où va notre amour; Mais vous ne saurez pas, du moins je le souhaite, En quel trouble mortel son intérêt nous jette , Lorsque, de tant de biens qui pouvaient nous flatter, C'est le seul qui nous reste, et qu'on veut nous l'ôter.
Página 255 - Messieurs , quand je regarde avec exactitude L'inconstance du monde et sa vicissitude ; Lorsque je vois , parmi tant d'hommes différents , Pas une étoile fixe , et tant d'astres errants ; Quand je vois les Césars , quand je vois leur fortune ; Quand je vois le soleil , et quand je vois la lune ; Babylouiens.
Página 207 - Grâce aux dieux! Mon malheur passe mon espérance. Oui, je te loue, ô ciel! de ta persévérance. Appliqué sans relâche au soin de me punir, Au comble des douleurs tu m'as fait parvenir.
Página 196 - Vous vous abandonniez au crime en criminel. Est-il juste, après tout, qu'un conquérant s'abaisse Sous la servile loi de garder sa promesse ? Non, non, la perfidie a de quoi...
Página 150 - Je viens voir si l'on peut arracher de ses bras Cet enfant dont la vie alarme tant d'États : Heureux si je pouvais, dans l'ardeur qui me presse...