Notice sur la vie et les ouvrages de Racine. La Thébaïde, ou, Les frères ennemis. Alexandre. Andromaque. Les plaideuresP. Didot, 1803 |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 34
Página 52
... crois donc que la paix est l'objet de mes soins ? ATTALE . Oui , je le crois , seigneur , quand j'y pensois le moins ; Et voyant qu'en effet ce beau soin vous anime , J'admire à tout moment cet effort magnanime Qui vous fait mettre ...
... crois donc que la paix est l'objet de mes soins ? ATTALE . Oui , je le crois , seigneur , quand j'y pensois le moins ; Et voyant qu'en effet ce beau soin vous anime , J'admire à tout moment cet effort magnanime Qui vous fait mettre ...
Página 54
... crois pas qu'à la paix jamais elle consente . Moi - même je saurai si bien l'envenimer , Qu'ils périront tous deux plutôt que de s'aimer . Les autres ennemis n'ont que de courtes haines ; Mais quand de la nature on a brisé les chaînes ...
... crois pas qu'à la paix jamais elle consente . Moi - même je saurai si bien l'envenimer , Qu'ils périront tous deux plutôt que de s'aimer . Les autres ennemis n'ont que de courtes haines ; Mais quand de la nature on a brisé les chaînes ...
Página 55
... crois pas qu'on puisse en arrêter le cours ; Et pour moi , je sens bien que je le hais toujours . CRÉON . Mais s'il vous cede enfin la grandeur souveraine , Vous devez , ce me semble , appaiser votre haine . ÉTÉOCLE . Je ne sais si mon ...
... crois pas qu'on puisse en arrêter le cours ; Et pour moi , je sens bien que je le hais toujours . CRÉON . Mais s'il vous cede enfin la grandeur souveraine , Vous devez , ce me semble , appaiser votre haine . ÉTÉOCLE . Je ne sais si mon ...
Página 56
... crois pas que pour lui ma haine diminue ; Plus il approche , et plus il me semble odieux ; Et sans doute il faudra qu'elle éclate à ses yeux . J'aurois même regret qu'il me quittât l'empire : Il faut , il faut qu'il fuie , et non qu'il ...
... crois pas que pour lui ma haine diminue ; Plus il approche , et plus il me semble odieux ; Et sans doute il faudra qu'elle éclate à ses yeux . J'aurois même regret qu'il me quittât l'empire : Il faut , il faut qu'il fuie , et non qu'il ...
Página 61
... crois maintenant digne du diadême ; Je te le vais porter au bout de ce fer même . 1 JOCASTE . Hâtez - vous donc , cruels , de me percer le sein , Et commencez par moi votre horrible dessein : Ne considérez point que je suis votre mere ...
... crois maintenant digne du diadême ; Je te le vais porter au bout de ce fer même . 1 JOCASTE . Hâtez - vous donc , cruels , de me percer le sein , Et commencez par moi votre horrible dessein : Ne considérez point que je suis votre mere ...
Otras ediciones - Ver todas
Términos y frases comunes
aime ALEXANDRE Allez Allons amant amitié amour ANDROMA ANDROMAQUE ANTIGONE ATTALE Aussi-bien avoit AXIANE beau bras CÉPHISE charmes cher chercher CHICANEAU ciel CLÉOFILE CLÉONE cœur colere combat COMTESSE connois connoître courage courroux craint CRÉON crime cruel d'Alexandre DANDIN déja dessein diadême douleur enfin ennemi ÉPHESTION Épire ÉTÉOCLE étoit exploits fils d'Hector flatte frere funeste fureur gloire grace Grecs haine Hector Hélas Hémon HERMIONE hymen ISABELLE j'ai JOCASTE juge l'amour l'Épire l'ingrat L'INTIMÉ laisse larmes LÉANDRE m'en madame madame de Maintenon main maître malheureux moi-même monsieur mort mourir Oh dieux OLYMPE ORESTE paix par-tout parle pere PETIT JEAN peuple peut-être PHOENIX pleurs Polynice Porus prince princesse PYLADE PYRRH Pyrrhus qu'un Racine régner rien rois s'il sais sang SCENE seigneur seroit seul sœur soins sort SOUFFLEUR souffrir soupirs Taxile Thébains Thebes tragédie trépas Troie trône Troyens tyran vainqueur vais venger veut veux victoire vœux vois vous-même yeux
Pasajes populares
Página 156 - Je passais jusqu'aux lieux où l'on garde mon fils. Puisqu'une fois le jour vous souffrez que je voie Le seul bien qui me reste et d'Hector et de Troie , J'allais , seigneur , pleurer un moment avec lui : Je ne l'ai point encore embrassé d'aujourd'hui ! PYRRHUS.
Página 175 - Mon innocence enfin commence à me peser. Je ne sais de tout temps quelle injuste puissance Laisse le crime en paix, et poursuit l'innocence. De quelque part sur moi que je tourne les yeux . Je ne vois que malheurs qui condamnent les dieux.
Página 198 - Différez-le d'un jour; demain vous serez maître.... Vous ne répondez point?... Perfide! je le voi, Tu comptes les moments que tu perds avec moi.
Página 196 - Prodiguer les doux noms de parjure et de traître. Vous veniez de mon front observer la pâleur , Pour aller dans ses bras rire de ma douleur : Pleurante après son char vous voulez qu'on me voie.
Página 197 - Et, sans chercher ailleurs des titres empruntés, Ne vous suffit-il pas de ceux que vous portez? Du vieux père d'Hector la valeur abattue Aux pieds de sa famille expirante à sa vue , Tandis que dans son sein votre bras enfoncé Cherche un reste de sang que l'âge avait glacé ; Dans des ruisseaux de sang Troie ardente plongée ; De votre propre main Polyxène égorgée , Aux yeux de tous les Grecs indignés contre vous : Que peut-on refuser à ces généreux coups?
Página 179 - Avec lui dans la tombe elle s'est enfermée. Mais il me reste un fils... Vous saurez quelque jour, Madame, pour un fils jusqu'où va notre amour; Mais vous ne saurez pas, du moins je le souhaite, En quel trouble mortel son intérêt nous jette , Lorsque, de tant de biens qui pouvaient nous flatter, C'est le seul qui nous reste, et qu'on veut nous l'ôter.
Página 255 - Messieurs , quand je regarde avec exactitude L'inconstance du monde et sa vicissitude ; Lorsque je vois , parmi tant d'hommes différents , Pas une étoile fixe , et tant d'astres errants ; Quand je vois les Césars , quand je vois leur fortune ; Quand je vois le soleil , et quand je vois la lune ; Babylouiens.
Página 207 - Grâce aux dieux! Mon malheur passe mon espérance. Oui, je te loue, ô ciel! de ta persévérance. Appliqué sans relâche au soin de me punir, Au comble des douleurs tu m'as fait parvenir.
Página 196 - Vous vous abandonniez au crime en criminel. Est-il juste, après tout, qu'un conquérant s'abaisse Sous la servile loi de garder sa promesse ? Non, non, la perfidie a de quoi...
Página 150 - Je viens voir si l'on peut arracher de ses bras Cet enfant dont la vie alarme tant d'États : Heureux si je pouvais, dans l'ardeur qui me presse...