Notice sur la vie et les ouvrages de Racine. La Thébaïde, ou, Les frères ennemis. Alexandre. Andromaque. Les plaideuresP. Didot, 1803 |
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... douleur , et qui , moins par défaut de lumieres que d'application , n'ont guere en général d'autres sentiments que ceux qu'on leur inspire , sui- virent le torrent , et continuerent à dépriser ATHALIE sans l'avoir lue . Racine , étonné ...
... douleur , et qui , moins par défaut de lumieres que d'application , n'ont guere en général d'autres sentiments que ceux qu'on leur inspire , sui- virent le torrent , et continuerent à dépriser ATHALIE sans l'avoir lue . Racine , étonné ...
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... douleurs ! Qu'un moment de repos me va coûter de pleurs ! Mes yeux depuis six mois étoient ouverts aux larmes , Et le sommeil les ferme en de telles alarmes ! Puisse plutôt la mort les fermer pour jamais , Et m'empêcher de voir le plus ...
... douleurs ! Qu'un moment de repos me va coûter de pleurs ! Mes yeux depuis six mois étoient ouverts aux larmes , Et le sommeil les ferme en de telles alarmes ! Puisse plutôt la mort les fermer pour jamais , Et m'empêcher de voir le plus ...
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... douleur est extrême . ÉTÉOCLE . Madame , qu'avez - vous ? et quel trouble ... JO CASTE . Ah mon fils ! Quelles traces de sang vois - je sur vos habits ? Est - ce du sang d'un frere ? ou n'est - ce point du vôtre ? ÉTÉOCLE . Non , madame ...
... douleur est extrême . ÉTÉOCLE . Madame , qu'avez - vous ? et quel trouble ... JO CASTE . Ah mon fils ! Quelles traces de sang vois - je sur vos habits ? Est - ce du sang d'un frere ? ou n'est - ce point du vôtre ? ÉTÉOCLE . Non , madame ...
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... douleurs . ANTIGONE , seule . Et si tu prends pitié d'une flamme innocente , O ciel , en ramenant Hémon à son amante , Ramene - le fidele ; et permets , en ce jour , Qu'en retrouvant l'amant je retrouve l'amour . FIN DU PREMIER ACTE ...
... douleurs . ANTIGONE , seule . Et si tu prends pitié d'une flamme innocente , O ciel , en ramenant Hémon à son amante , Ramene - le fidele ; et permets , en ce jour , Qu'en retrouvant l'amant je retrouve l'amour . FIN DU PREMIER ACTE ...
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... douleur déchiroient mes entrailles ; J'en voyois et dehors et dedans nos murailles ; Chaque assaut à mon cœur livroit mille combats ; Et mille fois le jour je souffrois le trépas . HÉMON . Mais enfin qu'ai - je fait , en ce malheur ...
... douleur déchiroient mes entrailles ; J'en voyois et dehors et dedans nos murailles ; Chaque assaut à mon cœur livroit mille combats ; Et mille fois le jour je souffrois le trépas . HÉMON . Mais enfin qu'ai - je fait , en ce malheur ...
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Términos y frases comunes
aime ALEXANDRE Allez Allons amant amitié amour ANDROMA ANDROMAQUE ANTIGONE ATTALE Aussi-bien avoit AXIANE beau bras CÉPHISE charmes cher chercher CHICANEAU ciel CLÉOFILE CLÉONE cœur colere combat COMTESSE connois connoître courage courroux craint CRÉON crime cruel d'Alexandre DANDIN déja dessein diadême douleur enfin ennemi ÉPHESTION Épire ÉTÉOCLE étoit exploits fils d'Hector flatte frere funeste fureur gloire grace Grecs haine Hector Hélas Hémon HERMIONE hymen ISABELLE j'ai JOCASTE juge l'amour l'Épire l'ingrat L'INTIMÉ laisse larmes LÉANDRE m'en madame madame de Maintenon main maître malheureux moi-même monsieur mort mourir Oh dieux OLYMPE ORESTE paix par-tout parle pere PETIT JEAN peuple peut-être PHOENIX pleurs Polynice Porus prince princesse PYLADE PYRRH Pyrrhus qu'un Racine régner rien rois s'il sais sang SCENE seigneur seroit seul sœur soins sort SOUFFLEUR souffrir soupirs Taxile Thébains Thebes tragédie trépas Troie trône Troyens tyran vainqueur vais venger veut veux victoire vœux vois vous-même yeux
Pasajes populares
Página 156 - Je passais jusqu'aux lieux où l'on garde mon fils. Puisqu'une fois le jour vous souffrez que je voie Le seul bien qui me reste et d'Hector et de Troie , J'allais , seigneur , pleurer un moment avec lui : Je ne l'ai point encore embrassé d'aujourd'hui ! PYRRHUS.
Página 175 - Mon innocence enfin commence à me peser. Je ne sais de tout temps quelle injuste puissance Laisse le crime en paix, et poursuit l'innocence. De quelque part sur moi que je tourne les yeux . Je ne vois que malheurs qui condamnent les dieux.
Página 198 - Différez-le d'un jour; demain vous serez maître.... Vous ne répondez point?... Perfide! je le voi, Tu comptes les moments que tu perds avec moi.
Página 196 - Prodiguer les doux noms de parjure et de traître. Vous veniez de mon front observer la pâleur , Pour aller dans ses bras rire de ma douleur : Pleurante après son char vous voulez qu'on me voie.
Página 197 - Et, sans chercher ailleurs des titres empruntés, Ne vous suffit-il pas de ceux que vous portez? Du vieux père d'Hector la valeur abattue Aux pieds de sa famille expirante à sa vue , Tandis que dans son sein votre bras enfoncé Cherche un reste de sang que l'âge avait glacé ; Dans des ruisseaux de sang Troie ardente plongée ; De votre propre main Polyxène égorgée , Aux yeux de tous les Grecs indignés contre vous : Que peut-on refuser à ces généreux coups?
Página 179 - Avec lui dans la tombe elle s'est enfermée. Mais il me reste un fils... Vous saurez quelque jour, Madame, pour un fils jusqu'où va notre amour; Mais vous ne saurez pas, du moins je le souhaite, En quel trouble mortel son intérêt nous jette , Lorsque, de tant de biens qui pouvaient nous flatter, C'est le seul qui nous reste, et qu'on veut nous l'ôter.
Página 255 - Messieurs , quand je regarde avec exactitude L'inconstance du monde et sa vicissitude ; Lorsque je vois , parmi tant d'hommes différents , Pas une étoile fixe , et tant d'astres errants ; Quand je vois les Césars , quand je vois leur fortune ; Quand je vois le soleil , et quand je vois la lune ; Babylouiens.
Página 207 - Grâce aux dieux! Mon malheur passe mon espérance. Oui, je te loue, ô ciel! de ta persévérance. Appliqué sans relâche au soin de me punir, Au comble des douleurs tu m'as fait parvenir.
Página 196 - Vous vous abandonniez au crime en criminel. Est-il juste, après tout, qu'un conquérant s'abaisse Sous la servile loi de garder sa promesse ? Non, non, la perfidie a de quoi...
Página 150 - Je viens voir si l'on peut arracher de ses bras Cet enfant dont la vie alarme tant d'États : Heureux si je pouvais, dans l'ardeur qui me presse...