Études sur W. Shakspeare, Marie Stuart, et l'Arétin: Le drame, les mœurs et la religion au XVIe siècle

Portada
Amyot, 1851 - 523 páginas
 

Páginas seleccionadas

Otras ediciones - Ver todas

Términos y frases comunes

Pasajes populares

Página 92 - Now of time they are much more liberal; for ordinary it is, that two young princes fall in love; after many traverses she is got with child, delivered of a fair boy, he is lost, groweth a man, falleth in love, and is ready to get another child; and all this in two hours...
Página 377 - Desiring this man's art and that man's scope, With what I most enjoy contented least; Yet in these thoughts myself almost despising, Haply I think on thee, and then my state, Like to the lark at break of day arising From sullen earth, sings hymns at heaven's gate; For thy sweet love remember'd such wealth brings That then I scorn to change my state with kings.
Página 345 - Enfin , je devais y puiser des couleurs pour mon poème ; car la vie pour mon esprit fut toujours un grand poème , comme pour mon cœur elle fut de l'amour. Dieu, Amour et Poésie, sont les trois mots que je voudrais seuls gravés sur ma pierre, si je mérite jamais une pierre.
Página 92 - Now ye shall have three ladies walk to gather flowers, and then we must believe the stage to be a garden. By and by we hear news of shipwreck in the same place, and then we are to blame if we accept it not for a rock.
Página 176 - ... de service , de richesse ou de pauvreté, nuls contrats, nulles successions, nuls partages, nulles occupations qu'oysives, nul respect de parenté que commun, nuls vestemens, nulle agriculture, nul métal, nul usage de vin ou de bled.
Página 22 - Si je suis en repos Sommeillant sur ma couche, J'oy qu'il me tient propos, Je le sens qui me touche : En labeur, en recoy Tousjours est près de moy.
Página 188 - Qu'ils sembleraient ridicules , ces sobriquets qu'on lui prodigue ! Au lieu d'un génie monstrueux, on verrait un poète sceptique, observateur calme et souvent cruel, frère de Montaigne, ému d'une pitié un peu ironique pour les hommes et d'un profond dédain pour les caprices du sort, qui les élèvent ou les écrasent.
Página 188 - ... les écrasent. Au lieu d'un paysan grossier, doué de quelque génie, et sublime par hasard, on ne reconnaîtrait pas sans étonnement le véritable Shakspeare ; âme mélancolique et concentrée, homme de mœurs élégantes, ami du noble Southampton, favorisé par Elisabeth, mais solitaire au milieu de cette presse de monde, qu'il...
Página 99 - I have ever truly cherished my good opinion of other men's worthy labours, especially of that full and heightened style of Master Chapman; the laboured and understanding works of Master Jonson ; the no less worthy composures of the both worthily excellent Master Beaumont and Master Fletcher ; and lastly (without wrong last to be named), the right happy and copious industry of Master Shakespeare, Master Dekker, and Master Heywood...
Página 441 - Oui, je me réjouis de voir en débris la plus vile chaîne qui ait jamais asservi un conur d'homme. La voilà dissipée cette illusion qui pendant cinq années m'a contraint à l'adorer. Est-il possible que je l'aie aimée et qu'elle n'ait pas cessé de payer de haine cet indigne et fatal amour ! Je voyais bien que mon idole était trompeuse, mais je savais qu'en essayant d'étouffer et de violenter mon penchant je ne réussirais pas mieux que ceux dont les mains imprudentes essayent de courber...

Información bibliográfica