Histoire d'Espagne depuis les premiers temps historiques jusqu'à la mort de Ferdinand VII.Furné et Cie, 1844 |
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Términos y frases comunes
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Pasajes populares
Página 210 - ... position. La pesanteur des armes et la difficulté du terrain rendaient au contraire les Franks inférieurs en tout à leurs ennemis. Egghiard...
Página 483 - Con mis lágrimas regué las palmas que el Forat riega, pero las palmas y el río se olvidaron de mis penas, cuando mis infaustos hados y de Alabas la fiereza me forzaron a dejar del alma las dulces prendas; a ti de mi patria amada ningún recuerdo te queda, pero yo triste no puedo dejar de llorar por ella.
Página 483 - Tristes lagrimas lloraras, si cual yo sentir pudieras ; Tu no sientes contratiempos como yo de suerte aviesa, A mi de pena y dolor continuas lluvias me anegan : Con mis lagrimas regue...
Página 254 - Écoute, Maure, écoute de dures paroles qui ne te plairont pas, mais qui sont vraies. Vois-tu ce cheval tigré sur lequel j'observe de loin vos remparts ? Eh bien ! ce cheval sera déchiré, broyé sous mes dents, avant que notre armée quitte vos remparts; ce qui a été commencé s'achèvera. En entendant ces paroles, le Maure frappe de son poing noir sa noire poitrine, et déchire son brun visage...
Página 210 - De là se précipitant sur la queue des bagages et sur l'arrièregarde, destinée à protéger ce qui la précédait, ils la culbutèrent au fond de la vallée, tuèrent, après un combat opiniâtre, tous les hommes jusqu'au dernier, pillèrent les bagages, et, protégés par les ombres de la nuit , qui déjà s'épaississaient , s'éparpillèrent en divers lieux avec une extrême célérité. » Les Basques avaient pour eux, dans cet engagement, la légèreté de leurs armes et l'avantage de leur...
Página 8 - O prophète! il t'est permis d'épouser les femmes que tu auras dotées, les captives que Dieu a fait tomber entre tes mains, les filles de tes oncles et de tes tantes...
Página 110 - démon) qui a parlé par la bouche de mes fils, et « je viens ici aujourd'hui pour écarter, s'il se peut...
Página 46 - Theod-mir jusque sous les murs d'sduriola (Orihuela), dernier asyle qui leur restât encore. L'armée d'Abdelaziz fut bientôt rassemblée tout entière sous les murs de cette ville ; mais Théodmir pour la défendre suppléa par la ruse au petit nombre de ses soldats. Il fit revêtir de casques et de cuirasses les femmes d'Orihuela, et les fit monter sur les murailles , leurs cheveux nattés et croisés sous leur menton , en guise de barbe , pour qu'elles ressemblassent mieux à des soldats. Les...
Página 4 - Celui qui périra dans une bataille obtiendra le pardon de ses péchés; au dernier jour, ses blessures seront éclatantes comme le vermillon, parfumées comme...
Página 212 - Treize, quatorze, quinze, seize, dix-sept, dix-huit, dix-neuf, vingt, Vingt, et des milliers d'autres encore ! On perdrait son temps à les compter. Unissons nos bras nerveux, déracinons ces rochers, Lançons-les du haut des montagnes Jusque sur leurs têtes!