Répertoire général du Théâtre Français: composé des tragédies, comédies et drames des auteurs du premier et du second ordre, restés au Théâtre Français; avec une table générale ...Mme veuve Dabo, 1823 |
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... étoit en quelque sorte le commen- cement d'une autre tragédie , où l'on entroit dans des intérêts tout nouveaux ; et il avoit réuni en une seule pièce deux actions différentes , dont l'une sert de matière aux PHÉNICIENNES d'Euripide ...
... étoit en quelque sorte le commen- cement d'une autre tragédie , où l'on entroit dans des intérêts tout nouveaux ; et il avoit réuni en une seule pièce deux actions différentes , dont l'une sert de matière aux PHÉNICIENNES d'Euripide ...
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... étoit que tra- gédie . La catastrophe de ma pièce est peut - être un peu trop sanglante ; en effet , il n'y paroît presque pas un acteur qui ne meure à la fin : mais aussi c'est la THEBAÏDE , c'est - à - dire le sujet le plus tragique ...
... étoit que tra- gédie . La catastrophe de ma pièce est peut - être un peu trop sanglante ; en effet , il n'y paroît presque pas un acteur qui ne meure à la fin : mais aussi c'est la THEBAÏDE , c'est - à - dire le sujet le plus tragique ...
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... étoit temps que j'en usasse ainsi , Et je perdois ma gloire à demeurer ici . Le peuple , à qui la faim se faisoit déjà craindre , De mon peu de vigueur commençoit à se plaindre , Me reprochant déjà qu'il m'avoit couronné , Et que j ...
... étoit temps que j'en usasse ainsi , Et je perdois ma gloire à demeurer ici . Le peuple , à qui la faim se faisoit déjà craindre , De mon peu de vigueur commençoit à se plaindre , Me reprochant déjà qu'il m'avoit couronné , Et que j ...
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... étoit cher alors comme il l'est aujourd'hui ; Et je prenois pour moi ce qu'on faisoit pour lui . Nous nous aimions tous deux dès la plus tendre enfance , Et j'avois sur son cœur une entière puissance ; Je trouvois à lui plaire une ...
... étoit cher alors comme il l'est aujourd'hui ; Et je prenois pour moi ce qu'on faisoit pour lui . Nous nous aimions tous deux dès la plus tendre enfance , Et j'avois sur son cœur une entière puissance ; Je trouvois à lui plaire une ...
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... étoit mon désir : J'eusse accepté le trône avec moins de plaisir . Je te crois maintenant digne du diadème ; Je te le vais porter au bout de ce fer même . JOCASTE . Hâtez - vous donc , cruels , de me percer le sein , Et commencez par ...
... étoit mon désir : J'eusse accepté le trône avec moins de plaisir . Je te crois maintenant digne du diadème ; Je te le vais porter au bout de ce fer même . JOCASTE . Hâtez - vous donc , cruels , de me percer le sein , Et commencez par ...
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Términos y frases comunes
aime Alexandre Allez Allons amant amitié amour ANDROMAQUE ANTIGONE arrêter ATTALE Aussi-bien avoit AXIANE bras Buthrote CÉPHISE charmes cher chercher CHICANE CHICANEAU ciel CLÉOFILE CLÉONE cœur colère combat COMTESSE connois connoître courage courroux craint CRÉON crime cruel d'Alexandre DANDIN dessein diadème Dois-je douleur enfin ennemis ÉPHESTION Épire ÉTÉOCLE étoit exploits fils d'Hector frère funeste fureur gloire grace Grecs haine Hector Hélas Hémon HERMIONE héros hymen ISABELLE j'ai j'en JOCASTE jour l'amour l'Épire l'ingrat L'INTIMÉ laisse larmes LÉANDRE m'en madame main malheureux moi-même monsieur mort mourir Oh dieux OLYMPE ORESTE paix par-tout parle père PETIT JEAN PETIT-JEAN peuple peut-être PHOENIX pleurs Polynice Porus prince princesse PYLADE Pyrrhus qu'à qu'un Racine régner rien rival rois s'il sais sang SCÈNE seigneur seroit seul sœur soins sort SOUFFLEUR souffrir soupirs TAXILE Thébains Thèbes trépas Troie trône Troyens vainqueur vais venger veut veux victoire vœux Voilà vois Voulez-vous vous-même yeux
Pasajes populares
Página 205 - Mais, s'il faut ne te rien déguiser, Mon innocence enfin commence à me peser. Je ne sais de tout temps quelle injuste puissance Laisse le crime en paix, et poursuit l'innocence. De quelque part sur moi que je tourne les yeux, Je ne vois que malheurs qui condamnent les dieux.
Página 179 - Son fils peut me ravir le jour que je lui laisse ! Seigneur, tant de prudence entraîne trop de soin ; Je ne sais point prévoir les malheurs de si loin. Je songe quelle était autrefois cette ville Si superbe en remparts, en héros si fertile, Maîtresse de l'Asie ; et je regarde enfin Quel fut le sort de Troie et quel est son destin...
Página 186 - Pour ne plus s'arrêter que dans l'indifférence. Songez-y bien : il faut désormais que mon cœur, S'il n'aime avec transport, haïsse avec fureur.
Página 37 - Vous-mêmes dans mes bras vous l'avez amené. C'est vous dont la rigueur m'ouvrit ce précipice. Voilà de ces grands dieux la suprême justice ! Jusques au bord du crime ils conduisent nos pas, Ils nous le font commettre, et ne l'excusent pas.
Página 167 - J'ai cru en cela me conformer à l'idée que nous avons maintenant de cette princesse. La plupart de ceux qui ont entendu parler d'Andromaque ne la connaissent guère que pour la veuve d'Hector et pour la mère d'Astyanax. On ne croit point qu'elle doive aimer ni un autre mari, ni un autre fils.
Página 217 - Chère épouse , dit-il en essuyant mes larmes , • J'ignore quel succès le sort garde à mes armes ; « Je te laisse mon fils pour gage de ma foi : « S'il me perd , je prétends qu'il me retrouve en toi. « Si d'un heureux hymen la mémoire t'est chère , « Montre au fils à quel point tu chérissais le père.
Página 209 - C'est le seul qui nous reste, et qu'on veut nous l'ôter. Hélas! lorsque, lassés de dix ans de misère, Les Troyens en courroux menaçaient votre mère, J'ai su de mon Hector lui procurer l'appui : Vous pouvez sur Pyrrhus ce que j'ai pu sur lui.
Página 182 - Je passais jusqu'aux lieux où l'on garde mon fils. Puisqu'une fois le jour vous souffrez que je voie Le seul bien qui me reste et d'Hector et de Troie , J'allais , seigneur , pleurer un moment avec lui : Je ne l'ai point encore embrassé d'aujourd'hui ! PYRRHUS.
Página 240 - Tais-toi, perfide, Et n'impute qu'à toi ton lâche parricide. Va faire chez tes Grecs admirer ta fureur, Va : je la désavoue, et tu me fais horreur.
Página 209 - Avec lui dans la tombe elle s'est enfermée. Mais il me reste un fils. Vous saurez quelque jour, Madame, pour un fils jusqu'où va notre amour; Mais vous ne saurez pas, du moins je le souhaite, En quel trouble mortel son intérêt nous jette, Lorsque de tant de biens qui pouvaient nous flatter, C'est le seul qui nous reste, et qu'on veut nous l'ôter.