Théatre complet de J. Racine: précédé d'une noticeFirmin Didot frères, 1849 - 663 páginas |
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... POLYNICE , frère d'Étéocle . JOCASTE , mère de ces deux princes et d'Antigone . ANTIGONE , sœur d'Étéocle et de Polynice . CRÉON , oncle des princes et de la princesse . HÉMON , fils de Creon , amant d'Antigone . OLYMPE , confidente de ...
... POLYNICE , frère d'Étéocle . JOCASTE , mère de ces deux princes et d'Antigone . ANTIGONE , sœur d'Étéocle et de Polynice . CRÉON , oncle des princes et de la princesse . HÉMON , fils de Creon , amant d'Antigone . OLYMPE , confidente de ...
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... Polynice arrêté , Pour combattre , à mes yeux ne s'est point présenté . D'Argiens seulement une troupe hardie M'a voulu de nos murs disputer la sortie : J'ai fait mordre la poudre à ces audacieux ; Et leur sang est celui qui paraît à ...
... Polynice arrêté , Pour combattre , à mes yeux ne s'est point présenté . D'Argiens seulement une troupe hardie M'a voulu de nos murs disputer la sortie : J'ai fait mordre la poudre à ces audacieux ; Et leur sang est celui qui paraît à ...
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précédé d'une notice Jean Racine. L'insolent Polynice et ses fiers alliés Laisseront Thèbes libre , ou mourront à mes pieds . JOCASTE . Vous pourriez d'un tel sang , oh ciel ! souiller vos armes ? La couronne pour vous a - t - elle tant ...
précédé d'une notice Jean Racine. L'insolent Polynice et ses fiers alliés Laisseront Thèbes libre , ou mourront à mes pieds . JOCASTE . Vous pourriez d'un tel sang , oh ciel ! souiller vos armes ? La couronne pour vous a - t - elle tant ...
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... vos souhaits , Faire entrer Polynice , et lui parler de paix . Créon , la reine ici commande en mon absence ; Disposez tout le monde à son obéissance ; Laissez , pour recevoir et pour donner ses lois , 16 LES FRERES ENNEMIS .
... vos souhaits , Faire entrer Polynice , et lui parler de paix . Créon , la reine ici commande en mon absence ; Disposez tout le monde à son obéissance ; Laissez , pour recevoir et pour donner ses lois , 16 LES FRERES ENNEMIS .
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... Polynice . CRÉON . Oui , je le sais , madame , et je lui fais justice ; Je le dois , en effet , distinguer du commun , Mais c'est pour le haïr encor plus que pas un : Et je souhaiterais , dans ma juste colère , Que chacun le haït comme ...
... Polynice . CRÉON . Oui , je le sais , madame , et je lui fais justice ; Je le dois , en effet , distinguer du commun , Mais c'est pour le haïr encor plus que pas un : Et je souhaiterais , dans ma juste colère , Que chacun le haït comme ...
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Términos y frases comunes
ABNER ACHILLE ACOMAT AGAMEMNON AGRIPPINE Allez amant âme amour ANDROMAQUE ANTIGONE ANTIOCHUS ARBATE ARCAS ARICIE ARSACE ASSUÉRUS ATALIDE ATHALIE AXIANE Bajazet BÉRÉNICE bras BRITANNICUS BURRHUS Calchas charmes cher chercher CHICANEAU CHOEUR CLÉOFILE CLYTEMNESTRE cœur COMTESSE courroux crainte CRÉON crime cruel DANDIN dessein Dieu dieux dis-je discours douleur enfin ennemis époux ÉRIPHILE ESTHER ÉTÉOCLE fille fils frère funeste fureur gloire Grecs haine Hélas Hémon HERMIONE heureux HIPPOLYTE HYDASPE hymen IPHIGÉNIE j'ai JOAD JOAS JOCASTE JOSABET jour JUNIE l'amour L'INTIMÉ laisse larmes LÉANDRE lieux m'en madame main malheur MATHAN MITHRIDATE moi-même MONIME monsieur mort NARCISSE Néron OENONE Oh ciel ORESTE OSMIN parler père perfide PETIT JEAN peuple Pharnace PHÈDRE pleurs Polynice Porus prince princesse Pyrrhus reine rois Rome ROXANE sais sang SCÈNE secret seigneur seul soins sort soupirs TAXILE temple THÉRAMÈNE THÉSÉE Titus tragédie trépas triste trône trouble vais venger veut veux vœux vois vous-même XIPHARÈS yeux
Pasajes populares
Página 630 - Pleure, Jérusalem, pleure, cité perfide, Des prophètes divins malheureuse homicide : De son amour pour toi ton Dieu s'est dépouillé; Ton encens à ses yeux est un encens souillé. Où menez-vous ces enfants et ces femmes * ? Le Seigneur a détruit la reine des cités, Ses prêtres sont captifs, ses rois sont rejetés ; Dieu ne veut plus qu'on vienne à ses solennités : Temple, renverse-toi ; cèdres, jetez des flammes. Jérusalem, objet de ma douleur, Quelle main en un jour t'a ravi tous tes...
Página 608 - C'était pendant l'horreur d'une profonde nuit ; Ma mère Jézabel devant moi s'est montrée, Comme au jour de sa mort pompeusement parée ; Ses malheurs n'avaient point abattu sa fierté ; Même elle avait encor cet éclat emprunté Dont elle eut soin de peindre et d'orner son visage, Pour réparer des ans l'irréparable outrage* : " Tremble," m'at-elle dit, " fille digne de moi ; Le cruel Dieu des Juifs l'emporte aussi sur toi. Je te plains de tomber dans ses mains redoutables, Ma fille.
Página 321 - L'éloignement des pays répare en quelque sorte la trop grande proximité des temps ; car le peuple ne met guère de différence entre ce qui est, si j'ose ainsi parler, à mille ans de lui , et ce qui en est à mille lieues.
Página 245 - J'eus soin de vous nommer, par un contraire choix, Des gouverneurs que Rome honorait de sa voix : Je fus sourde à la brigue, et crus la renommée. J'appelai de l'exil, je tirai de l'armée, Et ce même Sénèque, et ce même Burrhus, Qui depuis...
Página 631 - D'où lui viennent de tous côtés Ces enfants qu'en son sein elle n'a point portés '? Lève, Jérusalem, lève ta tête altière ; Regarde tous ces rois de ta gloire étonnés; Les rois des nations, devant toi prosternés, De tes pieds baisent la poussière; Les peuples à l'envi marchent à ta lumière.
Página 492 - Ce serait peut-être un moyen de réconcilier la tragédie avec quantité de personnes célèbres par leur piété et par leur doctrine, qui l'ont condamnée dans ces derniers temps , et qui en jugeraient sans doute plus favorablement, si les auteurs songeaient autant à instruire leurs spectateurs qu'à les divertir, et s'ils suivaient en cela la véritable intention de la tragédie.
Página 538 - Cependant sur le dos de la plaine liquide, S'élève à gros bouillons une montagne humide ; L'onde approche, se brise, et vomit à nos yeux, Parmi des flots d'écume, un monstre furieux.
Página 609 - J'entre : le peuple fuit, le sacrifice cesse, Le grand prêtre vers moi s'avance avec fureur : Pendant qu'il me parlait, ô surprise, ô terreur! J'ai vu ce même enfant dont je suis menacée, Tel qu'un songe effrayant l'a peint à ma pensée. Je l'ai vu : son même air, son même habit de lin, Sa démarche, ses yeux, et tous ses traits enfin ; C'est lui-même.
Página 518 - Œnone, et ne suis point de ces femmes hardies Qui, goûtant dans le crime une tranquille paix, Ont su se faire un front qui ne rougit jamais.
Página 593 - Je viens, selon l'usage antique et solennel, . » Célébrer avec vous la fameuse journée Où sur le mont Sina la loi nous fut donnée. Que les temps sont changés ! Sitôt que de ce jour La trompette sacrée annonçait le retour, Du temple, orné partout de festons magnifiques, Le peuple saint en foule inondait les portiques...