Théatre complet de J. Racine: précédé d'une noticeFirmin Didot frères, 1849 - 663 páginas |
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... veux , en n'y laissant aucun de mes soldats , Qu'elle soit seulement juge de nos combats . J'ai des forces assez pour tenir la campagne ; Et si quelque bonheur nos armes accompagne , L'insolent Polynice et ses fiers alliés Laisseront ...
... veux , en n'y laissant aucun de mes soldats , Qu'elle soit seulement juge de nos combats . J'ai des forces assez pour tenir la campagne ; Et si quelque bonheur nos armes accompagne , L'insolent Polynice et ses fiers alliés Laisseront ...
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... veux par avance Vous épargner encor jusques à ma présence . Aussi bien mes respects redoublent vos mépris ; Et je vais faire place à ce bienheureux fils . Le roi m'appelle ailleurs , il faut que j'obéisse . Adieu . Faites venir Hémon et ...
... veux par avance Vous épargner encor jusques à ma présence . Aussi bien mes respects redoublent vos mépris ; Et je vais faire place à ce bienheureux fils . Le roi m'appelle ailleurs , il faut que j'obéisse . Adieu . Faites venir Hémon et ...
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... veux me serait un supplice , S'il en devait coûter le sceptre à Polynice ; Et l'unique faveur , mon frère , où je prétends , C'est qu'il me soit permis de vous voir plus longtemps . Seulement quelques jours souffrez que l'on vous voie ...
... veux me serait un supplice , S'il en devait coûter le sceptre à Polynice ; Et l'unique faveur , mon frère , où je prétends , C'est qu'il me soit permis de vous voir plus longtemps . Seulement quelques jours souffrez que l'on vous voie ...
Página 39
... veux qu'ils se voient : Je veux qu'en se voyant leurs fureurs se déploient ; Que rappelant leur haine , au lieu de la chasser , Ils s'étouffent , Attale , en voulant s'embrasser . ATTALE . Vous n'avez plus , seigneur , à craindre que ...
... veux qu'ils se voient : Je veux qu'en se voyant leurs fureurs se déploient ; Que rappelant leur haine , au lieu de la chasser , Ils s'étouffent , Attale , en voulant s'embrasser . ATTALE . Vous n'avez plus , seigneur , à craindre que ...
Página 41
... veux point , Créon , le haïr à moitié , Et je crains son courroux moins que son amitié . Je veux , pour donner cours à mon ardente haine , Que sa fureur au moins autorise la mienne ; Et puisqu'enfin mon cœur ne saurait se trahir , Je veux ...
... veux point , Créon , le haïr à moitié , Et je crains son courroux moins que son amitié . Je veux , pour donner cours à mon ardente haine , Que sa fureur au moins autorise la mienne ; Et puisqu'enfin mon cœur ne saurait se trahir , Je veux ...
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Términos y frases comunes
ABNER ACHILLE ACOMAT AGAMEMNON AGRIPPINE Allez amant âme amour ANDROMAQUE ANTIGONE ANTIOCHUS ARBATE ARCAS ARICIE ARSACE ASSUÉRUS ATALIDE ATHALIE AXIANE Bajazet BÉRÉNICE bras BRITANNICUS BURRHUS Calchas charmes cher chercher CHICANEAU CHOEUR CLÉOFILE CLYTEMNESTRE cœur COMTESSE courroux crainte CRÉON crime cruel DANDIN dessein Dieu dieux dis-je discours douleur enfin ennemis époux ÉRIPHILE ESTHER ÉTÉOCLE fille fils frère funeste fureur gloire Grecs haine Hélas Hémon HERMIONE heureux HIPPOLYTE HYDASPE hymen IPHIGÉNIE j'ai JOAD JOAS JOCASTE JOSABET jour JUNIE l'amour L'INTIMÉ laisse larmes LÉANDRE lieux m'en madame main malheur MATHAN MITHRIDATE moi-même MONIME monsieur mort NARCISSE Néron OENONE Oh ciel ORESTE OSMIN parler père perfide PETIT JEAN peuple Pharnace PHÈDRE pleurs Polynice Porus prince princesse Pyrrhus reine rois Rome ROXANE sais sang SCÈNE secret seigneur seul soins sort soupirs TAXILE temple THÉRAMÈNE THÉSÉE Titus tragédie trépas triste trône trouble vais venger veut veux vœux vois vous-même XIPHARÈS yeux
Pasajes populares
Página 630 - Pleure, Jérusalem, pleure, cité perfide, Des prophètes divins malheureuse homicide : De son amour pour toi ton Dieu s'est dépouillé; Ton encens à ses yeux est un encens souillé. Où menez-vous ces enfants et ces femmes * ? Le Seigneur a détruit la reine des cités, Ses prêtres sont captifs, ses rois sont rejetés ; Dieu ne veut plus qu'on vienne à ses solennités : Temple, renverse-toi ; cèdres, jetez des flammes. Jérusalem, objet de ma douleur, Quelle main en un jour t'a ravi tous tes...
Página 608 - C'était pendant l'horreur d'une profonde nuit ; Ma mère Jézabel devant moi s'est montrée, Comme au jour de sa mort pompeusement parée ; Ses malheurs n'avaient point abattu sa fierté ; Même elle avait encor cet éclat emprunté Dont elle eut soin de peindre et d'orner son visage, Pour réparer des ans l'irréparable outrage* : " Tremble," m'at-elle dit, " fille digne de moi ; Le cruel Dieu des Juifs l'emporte aussi sur toi. Je te plains de tomber dans ses mains redoutables, Ma fille.
Página 321 - L'éloignement des pays répare en quelque sorte la trop grande proximité des temps ; car le peuple ne met guère de différence entre ce qui est, si j'ose ainsi parler, à mille ans de lui , et ce qui en est à mille lieues.
Página 245 - J'eus soin de vous nommer, par un contraire choix, Des gouverneurs que Rome honorait de sa voix : Je fus sourde à la brigue, et crus la renommée. J'appelai de l'exil, je tirai de l'armée, Et ce même Sénèque, et ce même Burrhus, Qui depuis...
Página 631 - D'où lui viennent de tous côtés Ces enfants qu'en son sein elle n'a point portés '? Lève, Jérusalem, lève ta tête altière ; Regarde tous ces rois de ta gloire étonnés; Les rois des nations, devant toi prosternés, De tes pieds baisent la poussière; Les peuples à l'envi marchent à ta lumière.
Página 492 - Ce serait peut-être un moyen de réconcilier la tragédie avec quantité de personnes célèbres par leur piété et par leur doctrine, qui l'ont condamnée dans ces derniers temps , et qui en jugeraient sans doute plus favorablement, si les auteurs songeaient autant à instruire leurs spectateurs qu'à les divertir, et s'ils suivaient en cela la véritable intention de la tragédie.
Página 538 - Cependant sur le dos de la plaine liquide, S'élève à gros bouillons une montagne humide ; L'onde approche, se brise, et vomit à nos yeux, Parmi des flots d'écume, un monstre furieux.
Página 609 - J'entre : le peuple fuit, le sacrifice cesse, Le grand prêtre vers moi s'avance avec fureur : Pendant qu'il me parlait, ô surprise, ô terreur! J'ai vu ce même enfant dont je suis menacée, Tel qu'un songe effrayant l'a peint à ma pensée. Je l'ai vu : son même air, son même habit de lin, Sa démarche, ses yeux, et tous ses traits enfin ; C'est lui-même.
Página 518 - Œnone, et ne suis point de ces femmes hardies Qui, goûtant dans le crime une tranquille paix, Ont su se faire un front qui ne rougit jamais.
Página 593 - Je viens, selon l'usage antique et solennel, . » Célébrer avec vous la fameuse journée Où sur le mont Sina la loi nous fut donnée. Que les temps sont changés ! Sitôt que de ce jour La trompette sacrée annonçait le retour, Du temple, orné partout de festons magnifiques, Le peuple saint en foule inondait les portiques...