Histoire de la poésie scandinave: Prolégomènes

Portada
Brockhaus et Avenarius, 1839 - 511 páginas
 

Páginas seleccionadas

Otras ediciones - Ver todas

Términos y frases comunes

Pasajes populares

Página 228 - Pro Deo amur et pro Christian poblo et nostro commun salvament, d'ist di in avant, in quant Deus savir et podir me dunat, si salvarai eo cist meon fradre Karlo et in...
Página 455 - Avide de la gloire, il volait aux alarmes. Ce jour , sa jeune épouse , en accusant le ciel , En détestant la Ligue et ce combat mortel , Arma son tendre amant, et, d'une main tremblante , Attacha tristement sa cuirasse pesante , Et couvrit , en pleurant , d'un casque précieux Ce front si plein de grâce , et si cher à ses yeux.
Página 486 - Sun destre guant en ad vers Deu tendut. Angles del ciel i descendent a lui. AOI CLXXVI 2375 Li quens Rollant se jut desuz un pin; Envers Espaigne en ad turnet sun vis. De plusurs choses a remembrer li prist, De tantes teres cum li bers cunquist, De dulce France, des humes de sun lign, 2380 De Carlemagne, sun seignor, kil nurrit; Ne poet muer n'en plurt e ne suspirt.
Página 456 - D'Ailly voit son visage : ô désespoir ! ô cris ! Il le voit, il l'embrasse : hélas ! c'était son fils. Le père infortuné, les yeux baignés de larmes, Tournait contre son sein ses parricides armes ; On l'arrête : on s'oppose à sa juste fureur...
Página 147 - ... la lame des épées ; elles versaient du poison dans les blessures et moissonnaient les guerriers comme le marteau d'Odin « Nous avons combattu avec l'épée! Pourquoi la mort n'est-elle pas plus près du guerrier qui se précipite sur le tranchant des sabres ? Celui qu'ils ne frappent point regrette souvent d'avoir trop vécu , et cependant il est difficile d'exciter le lâche à la lutte du cimeterre ; le cœur lui bat en vain dans la poitrine. « Nous avons combattu avec l'épée! Je tiens...
Página 315 - Que tout li grant seignor, li conte et li marchis Avoient entour aus gent françoise tous dis Pour aprendre françois lor filles et lor fis.
Página 455 - S'élancent loin des rangs, d'une course assurée: Sanglans, couverts de fer, et la lance à la main, D'un choc épouvantable ils se frappent soudain. La terre en retentit, leurs lances sont rompues: Comme en un ciel brûlant, deux effroyables nues Qui, portant le tonnerre et la mort dans...
Página 141 - Nous avons combattu avec l'épée ! J'étais jeune encore quand, à l'orient, dans le détroit d'Eirar, nous avons creusé un fleuve de sang pour les loups, et convié l'oiseau aux pieds jaunes à un large banquet de cadavres ; la mer était rouge comme une blessure qui vient de s'ouvrir, et les corbeaux nageaient dans le sang. « Nous avons combattu avec l'épée...
Página 456 - D'un choc épouvantable ils se frappent soudain. La terre en retentit , leurs lances sont rompues : Comme en un ciel brûlant deux effroyables nues, Qui portant le tonnerre et la mort dans leurs flancs, Se heurtent dans les airs, et volent sur les vents; De leur mélange affreux les éclairs rejaillissent; La foudre en est formée , et les mortels frémissent. Mais loin de leurs coursiers, par un subit effort, Ces guerriers malheureux cherchent une autre mort. Déjà brille en leurs mains le fatal...
Página 484 - Carles tent, ki la barbe ad flurie, e li empereres en est ber e riches.» 174 2355 Ço sent Rollant que la mort le tresprent, devers la teste sur le quer li descent. Desuz un pin i est alet curant, sur l'erbe verte s'i est culchet adenz. Desuz lui met s'espee e l'olifan.

Información bibliográfica