Histoire de Don Pèdre Ier, roi de CastilleCharpentier, 1848 - 586 páginas |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 73
Página 4
... ment par quelques passages de ses propres écrits . Son père , don Fernand Perez de Ayala , adelantade ( 1 ) du royaume de Murcie , était ami ou client de don Juan d'Alburquerque , mi- nistre tout puissant en Castille pendant les ...
... ment par quelques passages de ses propres écrits . Son père , don Fernand Perez de Ayala , adelantade ( 1 ) du royaume de Murcie , était ami ou client de don Juan d'Alburquerque , mi- nistre tout puissant en Castille pendant les ...
Página 13
... ment pour mon travail . J'espérais trouver des documents pré- cieux dans la bibliothèque de l'Académie de l'Histoire à Ma- drid , notamment l'appendice annoncé par M. Llaguno , éditeur d'Ayala , et qui n'a jamais été imprimé . Il m'a ...
... ment pour mon travail . J'espérais trouver des documents pré- cieux dans la bibliothèque de l'Académie de l'Histoire à Ma- drid , notamment l'appendice annoncé par M. Llaguno , éditeur d'Ayala , et qui n'a jamais été imprimé . Il m'a ...
Página 21
... ment même ils n'y prenaient place que sur l'ordre exprès du souverain , cependant ils conservaient le droit d'y porter leurs réclamations particulières et d'en suivre la discussion . Il n'en était pas de même pour les députés des ...
... ment même ils n'y prenaient place que sur l'ordre exprès du souverain , cependant ils conservaient le droit d'y porter leurs réclamations particulières et d'en suivre la discussion . Il n'en était pas de même pour les députés des ...
Página 52
... ment son influence politique , n'était pas en mesure de lui dis- puter le pouvoir en Andalousie . D'ailleurs , don Juan Nuñez était las de la guerre civile , et , certain que son indépendance serait respectée par un gouvernement faible ...
... ment son influence politique , n'était pas en mesure de lui dis- puter le pouvoir en Andalousie . D'ailleurs , don Juan Nuñez était las de la guerre civile , et , certain que son indépendance serait respectée par un gouvernement faible ...
Página 56
... ment général . La plupart des grands offices furent donc con- servés à leurs titulaires , et l'on ne remplaça que ceux qui , par leur absence de Séville au moment des funérailles du roi , rendaient leur loyauté justement suspecte . Les ...
... ment général . La plupart des grands offices furent donc con- servés à leurs titulaires , et l'on ne remplaça que ceux qui , par leur absence de Séville au moment des funérailles du roi , rendaient leur loyauté justement suspecte . Les ...
Otras ediciones - Ver todas
Términos y frases comunes
Alburquerque Alonso Anglais Aragon aragonaise arbalétriers Arch armée armes avaient aventuriers Ayala bannière bataille bataille de Najera bâtards Biscaïe Burgos c'était capitaines Carbonell Carrillo castillans Castille Cerda château chefs chevaliers comte de Trastamare Coronel cortès couronne d'Ayala devant Diego de Padilla dito don Alphonse don Fadrique don Henri don Juan Nuñez don Pèdre don Tello doña Léonor doña Maria ennemi Espagne Fernand de Castro fidèles frère Froissart frontière Garci Laso génétaires grace Grenade guerre Guesclin Gutier Fernandez hommes d'armes Ibid l'Alcazar l'armée l'Espagne l'infant don Fernand Lara long-temps maître de Calatrava maître de Saint-Jacques Marie de Padilla Martin Lopez Maures ment moyen-âge Murcie Murviedro n'avait Najera Navarre noblesse ordres Pierre Pierre IV portes Portugal prince de Galles prisonnier provinces rebelles reine riches-hommes rois royale royaume de Murcie royaume de Valence s'était seigneur serment seul Séville soldats suiv tion Tolède Toro trahison traité troupes Valladolid vassaux villes Zurita
Pasajes populares
Página 567 - Quelques minutes se passèrent dans un mortel silence. Tout à coup, au milieu du cercle formé autour du roi, paraît un homme armé de toutes pièces, la visière haute : c'était don Henri. On lui fait place avec respect. Il se trouve face à face devant son frère. Il y avait quinze ans qu'ils ne s'étaient vus. Don Henri, promenant ses regards sur les chevaliers sortis de Montiel : « Où donc est ce bâtard, dit-il, ce Juif qui se prétend roi de Castille (2)?
Página 568 - Il ramasse son poignard , soulève la cotte de mailles du roi , et le lui plonge dans le côté en remontant le coup. Les bras de don Pèdre cessent de presser son ennemi, et don Henri se dégage, pendant que plusieurs de ses gens achèvent le moribond. Parmi les chevaliers qui accompagnaient don Pèdre, deux seulement, un Castillan et un Anglais, essayèrent de le défendre. Ils furent mis en pièces. Les autres se rendirent sans résistance et furent humainement traités par les capitaines français...
Página 580 - France, mon noble pays ! ô mon sang de Bourbon ! aujourd'hui j'accomplis mes dix-sept ans, je vais sur dix-huit. Le roi ne m'a point connue. Je m'en vais avec les vierges. Castille, dis-moi, que t'ai-je fait? Je ne t'ai point trahie. Les couronnes que tu me donnas sont couronnes de sang et de soupirs; mais une autre m'attend au ciel qui sera de plus grand prix.
Página 352 - Les réclamations même du souverain pontife avaient cessé long-temps avant cette époque. Lorsque le monde entier oubliait Blanche, pourquoi trancher violemment une vie obscure qui s'éteignait dans un donjon? Une hypothèse se présente, spécieuse au premier abord, qui expliquerait l'intérêt de don Pèdre à faire périr l'innocente victime. 11 est certain qu'après la paix avec l' Aragon, il fut question de compléter par un mariage le rapprochement des deux couronnes.
Página 12 - ... d'Ayala, écrit en style cavalier et accompagné de réflexions assez niaises. A l'occasion de la mort de don Fadrique et de celle de la reine Blanche, il dit de son héros : « II ya des honneurs tellement susceptibles, qu'en cas de procès, ils ne lâchent pas leur partie, même innocente (2). » Et voilà le roi justifié : « Eh quoi! manger moutons, canaille, sotte espèce... — Vous leur fîtes, seigneur, en les croquant, beaucoup d'honneur. » Tels sont les arguments favoris du comte...
Página 570 - Mais les grands et les prélats ne se soumirent pas sans résistance au joug qu'il prétendait leur imposer. Toute contradiction le rendait plus absolu dans ses volontés ; il fit une rude guerre au clergé et à la noblesse, c'était s'attaquer tout à la fois aux ennemis les plus redoutables de la royauté. Le peuple, opprimé par les riches-hommes, vit avec plaisir le pouvoir royal s'élever et s'accroître sur les ruines de la vieille anarchie féodale. D'ailleurs, les rigueurs de don Pèdre...
Página 567 - Henri, joyeux de l'insulte qu'il avait provoquée, tire sa dague et le frappe légèrement au visage. Les deux frères étaient trop près l'un de l'autre, dans le cercle étroit que formaient les aventuriers, pour tirer leurs longues épées. Ils se saisissent à bras-le-corps et luttent quelque temps avec fureur sans que personne essayât de les séparer.
Página 225 - ... marchandises génoises et comme telles de bonne prise, le roi d'Aragon étant en guerre avec la république de Gênes. Aussitôt don Pèdre envoya faire des représentations à l'amiral aragonais, l'avertissant qu'il violait les lois de la mer et qu'il manquait au respect dû à sa personne. Perellôs répondit insolemment qu'il ne devait compte de sa conduite qu'à son maître le roi d'Aragon. En ce moment don Pèdre, n'ayant pas un seul vaisseau de guerre sur la rade, se trouvait hors d'état...
Página 580 - Madame, le roi m'envoie ici pour que mettiez ordre à votre âme avec celui qui l'a créée. Votre heure est venue et je ne saurais l'allonger. — Ami, dit la reine, je vous pardonne ma mort. Si le roi mon seigneur l'ordonne, faites comme il a commandé. Mais qu'on ne me refuse pas la confession pour que je puisse demander pardon à Dieu.
Página 15 - DE LOS REYES DE ESPAÑA POR EL DESPENSERO MAYOR DE LA REYNA DOÑA LEONOR, MUGER DEL REY DON JUAN EL PRIMERO DE CASTILLA, CON LAS ALTERACIONES Y ADICIONES QUE POSTERIORMENTE LE HIZO UN ANÓNIMO: PUBLICADO POR DON EUGENIO DE LLAGUNO AMIROLA, Caballero de la Orden de Santiago , de la Real Academia de la Historia.