Andromaque, Britannicus and AthalieH. Holt, 1903 - 350 páginas |
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... regard moins sévère ? Haï de tous les Grecs , pressé de tous côtés , Me faudra - t - il combattre encor vos cruautés ? Je vous offre mon bras . Puis - je espérer encore Que vous accepterez un cœur qui vous adore ? En combattant pour ...
... regard moins sévère ? Haï de tous les Grecs , pressé de tous côtés , Me faudra - t - il combattre encor vos cruautés ? Je vous offre mon bras . Puis - je espérer encore Que vous accepterez un cœur qui vous adore ? En combattant pour ...
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... regard , je puis tout entreprendre : Votre Ilion encor peut sortir de sa cendre ; Je puis , en moins de temps que les Grecs ne l'ont pris , Dans ses murs relevés couronner votre fils . 330 ANDROMAQUE . 335 Seigneur , tant de grandeurs ...
... regard , je puis tout entreprendre : Votre Ilion encor peut sortir de sa cendre ; Je puis , en moins de temps que les Grecs ne l'ont pris , Dans ses murs relevés couronner votre fils . 330 ANDROMAQUE . 335 Seigneur , tant de grandeurs ...
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... regards vont rouvrir mes blessures , Que tous mes pas vers vous sont autant de parjures : Je le sais , j'en rougis . Mais j'atteste les Dieux , Témoins de la fureur de mes derniers adieux , Que j'ai couru partout où ma perte certaine ...
... regards vont rouvrir mes blessures , Que tous mes pas vers vous sont autant de parjures : Je le sais , j'en rougis . Mais j'atteste les Dieux , Témoins de la fureur de mes derniers adieux , Que j'ai couru partout où ma perte certaine ...
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... regard bien contraire ! Vous me voulez aimer , et je ne puis vous plaire ; Et l'amour seul alors se faisant obéir , Vous m'aimeriez , Madame , en me voulant haïr . 540 O Dieux ! tant de respects , une amitié si ACTE II , SCÈNE II 33.
... regard bien contraire ! Vous me voulez aimer , et je ne puis vous plaire ; Et l'amour seul alors se faisant obéir , Vous m'aimeriez , Madame , en me voulant haïr . 540 O Dieux ! tant de respects , une amitié si ACTE II , SCÈNE II 33.
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... regards , ses discours , vous l'ont - ils donc appris ? Jugez - vous que ma vue inspire des mépris , Qu'elle allume en un cœur des feux si peu durables ? Peut - être d'autres yeux me sont plus favorables . ORESTE . Poursuivez : il est ...
... regards , ses discours , vous l'ont - ils donc appris ? Jugez - vous que ma vue inspire des mépris , Qu'elle allume en un cœur des feux si peu durables ? Peut - être d'autres yeux me sont plus favorables . ORESTE . Poursuivez : il est ...
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Términos y frases comunes
ABNER AGRIPPINE ALBINE amour Andromache Annals Astyanax Athalie bonté Britannicus broken couplet BURRHUS Buthrot CÉPHISE César CHŒUR Chron ciel Claudius CLÉONE cœur Corneille's courroux crime cruel d'Hector David death dessein Dieu Dieux divided edition Éliacin enfant ennemis Épire Euripides Exodus fils First Preface French fureur gloire Grecs Greek haine Hector Hélas HERMIONE Iliad j'ai Jéhu Jézabel JOAD JOAS Joash Joram JOSABET jour JUNIE Kings l'Épire l'ingrat laisse larmes lévites line love m'en Madame mains malheur MATHAN mère NARCISSE Nero Nero's Néron note for Andromaque Notice the broken Notice the overflow ORESTE Pallas père Perhaps peuple PHOENIX play pleurs prêtre princesse Psalm PYLADE Pyrrhus Racine Racine's read refers rois saint SALOMITH sang says SCÈNE VII Second Preface Seigneur Seneca seul seventeenth century soins speech subject suggested Tacitus temple time to-day tragedy Troades Troie Troyen vengeance venger veux vois words xxiii years yeux ZACHARIE
Pasajes populares
Página 240 - Sagesse éternelle! Mais, si tu les soutiens, qui peut les ébranler? Du tombeau, quand tu veux, tu sais nous rappeler; Tu frappes et guéris, tu perds et ressuscites. Ils ne s'assurent point en leurs propres mérites, Mais en ton nom sur eux. invoqué tant de fois, En tes serments jurés au plus saint de leurs rois, En ce temple où tu fais ta demeure sacrée, Et qui doit du soleil égaler la durée.
Página 253 - De l'absolu pouvoir vous ignorez l'ivresse, Et des lâches flatteurs la voix enchanteresse. Bientôt ils vous diront que les plus saintes lois , Maîtresses du vil peuple , obéissent aux rois ; Qu'un roi n'a d'autre frein que sa volonté même...
Página 209 - C'était pendant l'horreur d'une profonde nuit; Ma mère Jézabel devant moi s'est montrée , Comme au jour de sa mort pompeusement parée : Ses malheurs n'avaient point abattu sa fierté ; Même elle avait encor cet éclat emprunté Dont elle eut soin de peindre et d'orner son visage Pour réparer des ans l'irréparable outrage. Tremble , m'at-elle dit , fille digne de moi: Le cruel Dieu des Juifs l'emporte aussi sur toi; Je te plains de tomber dans ses mains redoutables ., Ma fille.
Página xii - Ce n'est point une nécessité qu'il y ait du sang et des morts dans une tragédie : il suffit que l'action en soit grande, que les acteurs en soient héroïques, que les passions y soient excitées, et que tout s'y ressente de cette tristesse majestueuse qui fait tout le plaisir de la tragédie.
Página 241 - Le Seigneur a détruit la reine des cités, Ses prêtres sont captifs, ses rois sont rejetés ; Dieu ne veut plus qu'on vienne à ses solennités : Temple, renverse-toi ; cèdres, jetez des flammes. Jérusalem, objet de ma douleur, Quelle main en un jour t'a ravi tous tes charmes ? Qui changera mes yeux en deux sources de larmes, Pour pleurer ton malheur...
Página 209 - ATHALIE Prêtez-moi l'un et l'autre une oreille attentive. Je ne veux point ici rappeler le passé, Ni vous rendre raison du sang que j'ai versé : Ce que j'ai fait, Abner, j'ai cru le devoir faire. Je ne prends point pour juge un peuple téméraire Quoi que son insolence ait osé publier, Le ciel même a pris soin de me justifier.
Página 217 - Ne sait-on pas au moins quel pays est le vôtre? JOAS. Ce temple est mon pays : je n'en connais point d'autre. ATHALIE. Où dit-on que le sort vous a fait rencontrer? JOAS.
Página 240 - Mais d'où vient que mon cœur frémit d'un saint effroi? Est-ce l'Esprit divin qui s'empare de moi? C'est lui-même. Il m'échauffe. Il parle. Mes yeux s'ouvrent, Et les siècles obscurs devant moi se découvrent.
Página 45 - Mon innocence enfin commence à me peser. Je ne sais de tout temps quelle injuste puissance Laisse le crime en paix et poursuit l'innocence. De quelque part sur moi que je tourne les yeux, Je ne vois que malheurs qui condamnent les dieux.
Página 56 - Chère épouse , dit-il en essuyant mes larmes , • J'ignore quel succès le sort garde à mes armes ; « Je te laisse mon fils pour gage de ma foi : « S'il me perd , je prétends qu'il me retrouve en toi. « Si d'un heureux hymen la mémoire t'est chère , « Montre au fils à quel point tu chérissais le père.