Andromaque, Britannicus and AthalieH. Holt, 1903 - 350 páginas |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 66
Página 31
... temple ; et ces peuples barbares De mon sang prodigué sont devenus avares . Enfin je viens à vous , et je me vois réduit A chercher dans vos yeux une mort qui me fuit . Mon désespoir n'attend que leur indifférence : Ils n'ont qu'à m ...
... temple ; et ces peuples barbares De mon sang prodigué sont devenus avares . Enfin je viens à vous , et je me vois réduit A chercher dans vos yeux une mort qui me fuit . Mon désespoir n'attend que leur indifférence : Ils n'ont qu'à m ...
Página 54
... temple où son hymen s'apprête ; Je vous ceins du bandeau préparé pour sa tête . Mais ce n'est plus , Madame , une offre à dédaigner : Je vous le dis , il faut ou périr ou régner . Mon cœur , désespéré d'un an d'ingratitud Ne peut plus ...
... temple où son hymen s'apprête ; Je vous ceins du bandeau préparé pour sa tête . Mais ce n'est plus , Madame , une offre à dédaigner : Je vous le dis , il faut ou périr ou régner . Mon cœur , désespéré d'un an d'ingratitud Ne peut plus ...
Página 58
... temple , et vous avez promis . ANDROMAQUE . Oui , je m'y trouverai . Mais allons voir mon fils . CÉPHISE . Madame , qui vous presse ? Il suffit que sa vue 58 1060 1065 Désormais à vos yeux ne soit plus défendue . Vous.
... temple , et vous avez promis . ANDROMAQUE . Oui , je m'y trouverai . Mais allons voir mon fils . CÉPHISE . Madame , qui vous presse ? Il suffit que sa vue 58 1060 1065 Désormais à vos yeux ne soit plus défendue . Vous.
Página 63
... temple . Il faut immoler ... ORESTE . HERMIONE . ORESTE . Pyrrhus , Madame ? Qui ? Pyrrhus . HERMIONE . Hé quoi ? votre haine chancelle ? Ah ! courez , et craignez que je ne vous rappelle . N'alléguez point des droits que je veux ...
... temple . Il faut immoler ... ORESTE . HERMIONE . ORESTE . Pyrrhus , Madame ? Qui ? Pyrrhus . HERMIONE . Hé quoi ? votre haine chancelle ? Ah ! courez , et craignez que je ne vous rappelle . N'alléguez point des droits que je veux ...
Página 65
... temple déjà le trône est élevé ; Ma honte est confirmée , et son crime achevé . Enfin qu'attendez - vous ? Il vous offre sa tête : Sans gardes , sans défense , il marche à cette fête ; Autour du fils d'Hector il les fait tous ranger ...
... temple déjà le trône est élevé ; Ma honte est confirmée , et son crime achevé . Enfin qu'attendez - vous ? Il vous offre sa tête : Sans gardes , sans défense , il marche à cette fête ; Autour du fils d'Hector il les fait tous ranger ...
Otras ediciones - Ver todas
Términos y frases comunes
ABNER AGRIPPINE ALBINE amour Andromache Annals Astyanax Athalie bonté Britannicus broken couplet BURRHUS Buthrot CÉPHISE César CHŒUR Chron ciel Claudius CLÉONE cœur Corneille's courroux crime cruel d'Hector David death dessein Dieu Dieux divided edition Éliacin enfant ennemis Épire Euripides Exodus fils First Preface French fureur gloire Grecs Greek haine Hector Hélas HERMIONE Iliad j'ai Jéhu Jézabel JOAD JOAS Joash Joram JOSABET jour JUNIE Kings l'Épire l'ingrat laisse larmes lévites line love m'en Madame mains malheur MATHAN mère NARCISSE Nero Nero's Néron note for Andromaque Notice the broken Notice the overflow ORESTE Pallas père Perhaps peuple PHOENIX play pleurs prêtre princesse Psalm PYLADE Pyrrhus Racine Racine's read refers rois saint SALOMITH sang says SCÈNE VII Second Preface Seigneur Seneca seul seventeenth century soins speech subject suggested Tacitus temple time to-day tragedy Troades Troie Troyen vengeance venger veux vois words xxiii years yeux ZACHARIE
Pasajes populares
Página 240 - Sagesse éternelle! Mais, si tu les soutiens, qui peut les ébranler? Du tombeau, quand tu veux, tu sais nous rappeler; Tu frappes et guéris, tu perds et ressuscites. Ils ne s'assurent point en leurs propres mérites, Mais en ton nom sur eux. invoqué tant de fois, En tes serments jurés au plus saint de leurs rois, En ce temple où tu fais ta demeure sacrée, Et qui doit du soleil égaler la durée.
Página 253 - De l'absolu pouvoir vous ignorez l'ivresse, Et des lâches flatteurs la voix enchanteresse. Bientôt ils vous diront que les plus saintes lois , Maîtresses du vil peuple , obéissent aux rois ; Qu'un roi n'a d'autre frein que sa volonté même...
Página 209 - C'était pendant l'horreur d'une profonde nuit; Ma mère Jézabel devant moi s'est montrée , Comme au jour de sa mort pompeusement parée : Ses malheurs n'avaient point abattu sa fierté ; Même elle avait encor cet éclat emprunté Dont elle eut soin de peindre et d'orner son visage Pour réparer des ans l'irréparable outrage. Tremble , m'at-elle dit , fille digne de moi: Le cruel Dieu des Juifs l'emporte aussi sur toi; Je te plains de tomber dans ses mains redoutables ., Ma fille.
Página xii - Ce n'est point une nécessité qu'il y ait du sang et des morts dans une tragédie : il suffit que l'action en soit grande, que les acteurs en soient héroïques, que les passions y soient excitées, et que tout s'y ressente de cette tristesse majestueuse qui fait tout le plaisir de la tragédie.
Página 241 - Le Seigneur a détruit la reine des cités, Ses prêtres sont captifs, ses rois sont rejetés ; Dieu ne veut plus qu'on vienne à ses solennités : Temple, renverse-toi ; cèdres, jetez des flammes. Jérusalem, objet de ma douleur, Quelle main en un jour t'a ravi tous tes charmes ? Qui changera mes yeux en deux sources de larmes, Pour pleurer ton malheur...
Página 209 - ATHALIE Prêtez-moi l'un et l'autre une oreille attentive. Je ne veux point ici rappeler le passé, Ni vous rendre raison du sang que j'ai versé : Ce que j'ai fait, Abner, j'ai cru le devoir faire. Je ne prends point pour juge un peuple téméraire Quoi que son insolence ait osé publier, Le ciel même a pris soin de me justifier.
Página 217 - Ne sait-on pas au moins quel pays est le vôtre? JOAS. Ce temple est mon pays : je n'en connais point d'autre. ATHALIE. Où dit-on que le sort vous a fait rencontrer? JOAS.
Página 240 - Mais d'où vient que mon cœur frémit d'un saint effroi? Est-ce l'Esprit divin qui s'empare de moi? C'est lui-même. Il m'échauffe. Il parle. Mes yeux s'ouvrent, Et les siècles obscurs devant moi se découvrent.
Página 45 - Mon innocence enfin commence à me peser. Je ne sais de tout temps quelle injuste puissance Laisse le crime en paix et poursuit l'innocence. De quelque part sur moi que je tourne les yeux, Je ne vois que malheurs qui condamnent les dieux.
Página 56 - Chère épouse , dit-il en essuyant mes larmes , • J'ignore quel succès le sort garde à mes armes ; « Je te laisse mon fils pour gage de ma foi : « S'il me perd , je prétends qu'il me retrouve en toi. « Si d'un heureux hymen la mémoire t'est chère , « Montre au fils à quel point tu chérissais le père.