Compte rendu des séances; ou Recueil de ses bulletinsCommission royale d'histoire, 1851 |
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... Courtrai qui était resté aux mains des Français . Les lettres qui en furent faites sont loin de montrer cette rage furieuse qui , dit - on , n'était pas assouvie par le mas- sacre de Courtrai . On doute , en les lisant ( 15 )
... Courtrai qui était resté aux mains des Français . Les lettres qui en furent faites sont loin de montrer cette rage furieuse qui , dit - on , n'était pas assouvie par le mas- sacre de Courtrai . On doute , en les lisant ( 15 )
Página 36
... mains de iii ans iii fils , et pour chou que ele douta k'elle n'eust trop d'enfans , ele but un buverage , par quoi elle devint bre- haingne . » Tels sont les fragments de l'histoire de Flandre , que j'ai recueillis dans le beau ...
... mains de iii ans iii fils , et pour chou que ele douta k'elle n'eust trop d'enfans , ele but un buverage , par quoi elle devint bre- haingne . » Tels sont les fragments de l'histoire de Flandre , que j'ai recueillis dans le beau ...
Página 79
... mains de M. le chanoine de Smet , depuis le mois de janvier 1848 , et j'en ai donné une courte analyse dans les Bulletins de la Commission , t . XIV , p . 136-140 . C'est moi - même qui ai fait la copie de ce manuscrit . >> Quant au no ...
... mains de M. le chanoine de Smet , depuis le mois de janvier 1848 , et j'en ai donné une courte analyse dans les Bulletins de la Commission , t . XIV , p . 136-140 . C'est moi - même qui ai fait la copie de ce manuscrit . >> Quant au no ...
Página 89
... Mains li dus disoit toudis son sermon de tous jours . Ons li fist apportei des sainctes reliques , mains enssi toist qu'ilh veit les preistres qui portoient les reliques , ilh com- menchat à crieir : Vuidiés ! vuidiés ! et les preistres ...
... Mains li dus disoit toudis son sermon de tous jours . Ons li fist apportei des sainctes reliques , mains enssi toist qu'ilh veit les preistres qui portoient les reliques , ilh com- menchat à crieir : Vuidiés ! vuidiés ! et les preistres ...
Página 90
... Mains ung garchon qui eskuroit ung pot de métal et estoit muchiés de paour desous ung escamp , tantoist ilh salhet avant et prist son pot de métal à deux mains et s'en vint al duc , qui soy voloit releveir . Et li gar- chon ne savoit ...
... Mains ung garchon qui eskuroit ung pot de métal et estoit muchiés de paour desous ung escamp , tantoist ilh salhet avant et prist son pot de métal à deux mains et s'en vint al duc , qui soy voloit releveir . Et li gar- chon ne savoit ...
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Términos y frases comunes
aidier amé amez andere archives de l'État aultres Avioth avoit BAILLI DE HAINAUT Bauduin Bourgoingne Brabant Bruges Bruxelles Bulletins ceste ceulx chascun chiers choses chronique Commission comte Coninc conté de Flandres copie d'Esquerdes députez devers doen duc Phelippe dudit échevins échevins d'Ypres ende envoyé Escript estans esté estoit estre états de Hainaut eulx faictes filz fist Gand grant Gui de Dampierre Haynnau hebben heeft hopen Incipit Item Jehan jour Kervyn l'an L'ARCHIDUC l'Empereur ladite paix landen ledit lesdits lettres Liége Lille Louvain maisniers Malines manuscrit manuscrits Maximilien MAXIUS mesires mihi monseigneur munten Namur niet nosdits Nostre-Seigneur soit garde nostredit nostredite noz pays onse onsen Orchies Papendrecht pays de Haynnau Pays-Bas Philippe de Clèves Philippe le Beau pluiseurs prince provinces de Namur qu'ilz quae quam quens quod quoy subgetz Suscription traictié Très-chiers très-redoubté seigneur tuae Viglius voirseide Ypre
Pasajes populares
Página 125 - Monuments pour servir à l'histoire des provinces de Namur, de Hainaut et de Luxembourg, recueillis et publiés pour la première fois par le baron de Reiffenberg, tome IV, 1846, in-4°, pp.
Página 349 - Très-chiers et bien amez, Nostre- Seigneur soit garde de vous. Escript en nostre ville de Malines, lexmejourde may mi
Página 253 - Quoiqu'il soit extrêmement maltraité de la petite vérole, et que son visage soit plein de coutures, sa physionomie ne laisse pas d'être revenante et d'avoir quelque chose d'agréable. On peut dire qu'il est bel homme de guerre. • Son ton de voix est rauque et fort; son abord, quoique assez civil, peu prévenant; ses manières communes et même rustiques. Son peu d'attention et de politesse est moins l'effet d'une fierté, dont on ne saurait l'accuser, que la suite d'une éducation négligée.
Página 101 - Tournai; membre de l'Académie impériale et royale des sciences et belles-lettres de Bruxelles, à...
Página 253 - Il a le visage long et carré et fort rouge, le front dégagé, les yeux bleus, bien fendus et vifs, le nez ni grand ni petit, la bouche de même, les sourcils bruns. Il porte ses propres cheveux, qui sont de la même couleur ; mais il commence à devenir chauve. Quoiqu'il soit extrêmement maltraité...
Página 2 - Borgnet, membre de la classe des lettres de l'Académie et professeur d'histoire à l'université de Liège, est appelé à faire partie de la Commission, en remplacement de M. le baron de Reiffenberg, décédé. Cet arrêté est ainsi conçu : LËOPOLD, Roi DES BELGES, A tous présents et à venir, salut. Sur le rapport de notre Ministre de l'intérieur, NOUS AVONS ARRÊTÉ ET ARRÊTONS : ART. 1er.
Página 238 - Elle s'occupe beaucoup de ses affaires, et tâche d'en prendre une connoissance exacte. Elle lit ou se fait lire la plupart des relations de ses ministres dans les cours étrangères; revoit les minutes des pièces de quelque importance, avant qu'on les mette au net; s'entretient souvent avec ses ministres, et assiste fort régulièrement aux conférences qui se tiennent sur des affaires de quelque importance. Elle veut surtout être instruite à fond de ce qui regarde le militaire. Elle tâche d'approfondir...
Página 337 - Charles, par la grâce de Dieu, Duc de Bourgoingne, de Lothier, de Brabant, de Lembourg, de Luxembourg et de...
Página 236 - Un si grand changement n'en produisit pas un moins considérable dans les dispositions de ses sujets, qui commencèrent à murmurer des impôts qu'on leur faisoit payer, et à témoigner à tous égards un grand mécontentement. On ne s'empressa plus de la voir passer dans les rues , ni d'avoir son portrait; presque tout le monde crut avoir des sujets de plainte.
Página 241 - Croyez-moi que c'est par cet endroit qu'elle vous » aime, et que vous pourrez tout obtenir d'elle. » Ce discours fut rapporté à l'Impératrice, qui persécuta cet officier au point qu'il vient de prendre le parti de quitter le service, quoi que l'Empereur ait pu faire pour le retenir.