Oeuvres poétiques, Volumen1 |
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aime ALEXANDRE Allez Allons amant amour ANDROMAQUE ANTIGONE armes arrêter assez aujourd'hui avoit AXIANE beau bientôt bras cæur CÉPHISE charmes cher chercher ciel CLÉOFILE colère combat coups cour courage couronne courroux craint CRÉON crime cruel déja demander dernier dieux dire donner douleur doute éclater enfin ennemis ÉTÉOCLE étoit fers fils force frère funeste fureur garde gloire Grecs guerre haine Hélas Hémon HERMIONE héros heureux j'ai JOCASTE jour l'amour l'autre l'un laisse larmes lieux loin lui-même m'en madame main maître malheureux mère mort mourir n'en OLYMPE ORESTE paix parler père peuple peut-être PHOENIX pleurs Polynice porte Porus PREMIER prêt prince princesse puisse PYLADE Pyrrhus qu'à qu'un Racine rang regards régner rend rendre reste rien rois s'il sais sang SCÈNE seigneur semble sera seul soins songe sort souffrir soupirs sujet TAXILE tomber trépas trône trouver vainqueur venger venir veut veux victoire vient voyant yeux
Pasajes populares
Página 236 - Chère épouse , dit-il en essuyant mes larmes , • J'ignore quel succès le sort garde à mes armes ; « Je te laisse mon fils pour gage de ma foi : « S'il me perd , je prétends qu'il me retrouve en toi. « Si d'un heureux hymen la mémoire t'est chère , « Montre au fils à quel point tu chérissais le père.
Página 199 - Je passais jusqu'aux lieux où l'on garde mon fils. Puisqu'une fois le jour vous souffrez que je voie Le seul bien qui me reste et d'Hector et de Troie , J'allais , seigneur , pleurer un moment avec lui : Je ne l'ai point encore embrassé d'aujourd'hui ! PYRRHUS.
Página 241 - Mais qu'il ne songe plus, Céphise, à nous venger : Nous lui laissons un maître, il le doit ménager.
Página 240 - Assurer à Pyrrhus le reste de ma vie; Je vais, en recevant sa foi sur les autels, L'engager à mon fils par des nœuds immortels. Mais aussitôt ma main, à moi seule funeste, D'une infidèle vie abrégera le reste, Et sauvant ma vertu, rendra ce que je doi A Pyrrhus, à mon fils, à mon époux, à moi.
Página 235 - Entrant à la lueur de nos palais brûlants, Sur tous mes frères morts se faisant un passage, Et, de sang tout couvert, échauffant le carnage ; Songe aux cris des vainqueurs, songe aux cris des mourants, Dans la flamme étouffés, sous le fer expirants...
Página 191 - J'aime : je viens chercher Hermione en ces lieux , La fléchir, l'enlever, ou mourir à ses yeux.
Página 266 - Grâce aux dieux ! Mon malheur passe mon espérance. Oui, je te loue, ô ciel, de ta persévérance. Appliqué sans relâche au soin de me punir, au comble des douleurs tu m'as fait parvenir.
Página 9 - O toi, soleil, ô toi qui rends le jour au monde, Que ne l'as-tu laissé dans une nuit profonde ! A de si noirs forfaits prêtes-tu tes rayons? Et peux-tu sans horreur voir ce que nous voyons...
Página 262 - Tais-toi, perfide, Et n'impute qu'à toi ton lâche parricide. Va faire chez tes Grecs admirer ta fureur : Va, je la désavoue, et tu me fais horreur. Barbare, qu'as-tu fait? Avec quelle furie As-tu tranché le cours d'une si belle vie? Avez-vous pu, cruels, l'immoler aujourd'hui, Sans que tout votre sang se soulevât pour lui? Mais parle : de son sort qui t'a rendu l'arbitre? Pourquoi l'assassiner? Qu'at-il fait? A quel titre? Qui te l'a dit?
Página 252 - Je ne t'ai point aimé, cruel! Qu'ai-je donc fait? J'ai dédaigné pour toi les vœux de tous nos princes ; Je t'ai cherché moi-même au fond de tes provinces; J'y suis encor, malgré tes infidélités, Et malgré tous mes Grecs, honteux de mes bontés...