Collection des chroniques nationales français: écrites en langue vulgaire du treizième au seizième siècle, Volumen37

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Jean Alexandre C. Buchon
Verdière [et] J. Carez, 1826

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Página cxxxvii - Mars (nouv. style) l'hclippc, par la grace de Dieu, duc de Bourgoingne, de Lothier, de Brabant et de Lembourg, conte de Flandres, d'Artois, de Bourgoingne, palatin de Haynnau, de Hollande, de Zellande et de Namur, marquis du saint Empire, seigneur de Frise, de Salins et de Malines...
Página c - ... tour lui , si ses gens d'armes se mectoient fort sus » en ses pays ; auquel on respondit que l'apparence » estoit petite , et que les nobles et gens de guerre » avoient , l'année passée , esté si mal payés , que « chacun reculoit et doubtoitles fraix, et que qui » voulloit avoir les compagnons de guerre, il fail...
Página cliv - Je n'ai point naturellement l'esprit désapprobateur. Platon remerciait le ciel de ce qu'il était né du temps de Socrate ; et moi, je lui rends grâces de ce qu'il m'a fait naître dans le gouvernement où je vis, et de ce qu'il a voulu que j'obéisse à ceux qu'il m'a fait aimer.
Página lxiv - Qu'il est fâcheux qu'un siècle qui sourit tant à l'imagination , ne puisse être approuvé par la philosophie ! Dans un grand nombre de miniatures , le duc...
Página lxxxix - Desquelles choses je ne cer» tiffie rien , trop bien que la renommée du peu» ple estoit telle, et m'en rapporte à ce qui en » est '. » Du Clercq, sous l'an ] 467 , dit encore : « En ce » temps couroient plusieurs mauvais garnements » en Artois , en Picardie et ailleurs , lesquels des...
Página 4 - ... la cognoissance de moy, Jacques Du Clercq, escuyer, sieur de Beauvoir en Ternois. fils de maistre Jacques Du Clerc, licentier es droits, conseiller dudit Philippe duc de Bourgongne, en la chastellenie de Douay, Lille et Orchies, demeurant à Lille; desquelles je, Jacques Du Clercq dessusdit, demeurant en la cité d'Arras, en ma maison nommée le Monnoye, ay enquis au mieux que j'ai sceu et peu, et les ay mis par escript au plus vray que j'ay sceu et peu Et.
Página cxxxii - XVIII san (v. n° IF^ figures sans quoi li livres ne poiroit estre legierement entendus, ki est divisez en III parties. Le dernier livre mérite une attention paticulière ; l'auteur, qui vivait dans le treizième siècle , traite du ciel et de la terre , de Dieu et de l'homme , de la géographie , de l'astronomie , de l'histoire naturelle , et autres sciences connues de son temps, qu'il divise en sept branches , comme Martianus Capella l'avait fait au septième siècle, Alcuin au huitième. « Un...
Página 58 - Ballesmes de touts costés ; et lors les Anglois qui dedans estoient promirent de rendre ladite ville au cas que les Franchois ne seroient combattus. Et fust jour assigné. Auquel jour le duc d'Allenchon se gouverna honorablement et vaillamment; et tint la journée, lui et Poton , sieur de Sainte-Treille , à peu de gens , jusques à ce que l'heure fust passée.
Página lxxvi - J'ai blanchet dont eus se font blanches » • Les dames, si jamais ce livre leur tombe sous la main, ce que nous n'osons espérer , seront peut-être bien aises d'avoir la recette dont se servaient leurs aïeules. Un certain Ogier ou Augier s'exprime ainsi dans un sirvente : « Je ne peux souffrir le teint » blanc et rouge que les vieilles se font avec l'on» guent d'un œuf battu qu'elles s'appliquent sur le 1.
Página cxxxiv - Saint-Paul, un hymne en l'honneur de Virgile ; on y supposait que l'apôtre des nations arrivant à Naples, tourna ses regards vers le mont Pausilippe , où reposent les cendres de Virgile, et qu'il regretta de n'avoir pu le connaître pendant sa vie, afin d'en faire un prosélyte; ce qu'exprime la strophe suivante : Ad Maronis mausolcum Ductus , fudit super eum i.

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