Répertoire du Théâtre français ...: Oeuvres complètes de J. Racine. t.I-V. 1821-22J. Didot ainé, 1821 |
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... lieux communs plus ou moins éloquents sur des matières qu'il n'avoit pas étu- diées , et sur lesquelles , avec beaucoup de con- noissances et une longue expérience , il est si fa- cile et si ordinaire de se tromper . Mais la vanité lui ...
... lieux communs plus ou moins éloquents sur des matières qu'il n'avoit pas étu- diées , et sur lesquelles , avec beaucoup de con- noissances et une longue expérience , il est si fa- cile et si ordinaire de se tromper . Mais la vanité lui ...
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... lieux . ÉTÉOCLE . Hé bien , madame , hé bien , qu'il vienne , et qu'on lui donne Toutes les sûretés qu'il faut pour sa personne . Allons . ANTIGONE . Ah ! si ce jour rend la paix aux Thébains , Elle sera , Créon , l'ouvrage de vos mains ...
... lieux . ÉTÉOCLE . Hé bien , madame , hé bien , qu'il vienne , et qu'on lui donne Toutes les sûretés qu'il faut pour sa personne . Allons . ANTIGONE . Ah ! si ce jour rend la paix aux Thébains , Elle sera , Créon , l'ouvrage de vos mains ...
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... lieux où vous prîtes naissance . Leur aspect sur vos cœurs n'a - t - il point de puissance ? C'est ici que tous deux vous reçûtes le jour ; Tout ne vous parle ici que de paix et d'amour : Ces princes , votre sœur , tout condamne vos ...
... lieux où vous prîtes naissance . Leur aspect sur vos cœurs n'a - t - il point de puissance ? C'est ici que tous deux vous reçûtes le jour ; Tout ne vous parle ici que de paix et d'amour : Ces princes , votre sœur , tout condamne vos ...
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... lieux ne te l'eût annoncée . Je te l'annonce donc . C'est à toi de prouver Si ce que tu ravis tu le sais conserver . Montre - toi digne enfin d'une si belle proie . ÉTÉOCLE . J'accepte ton dessein , et l'accepte avec joie . Créon sait ...
... lieux ne te l'eût annoncée . Je te l'annonce donc . C'est à toi de prouver Si ce que tu ravis tu le sais conserver . Montre - toi digne enfin d'une si belle proie . ÉTÉOCLE . J'accepte ton dessein , et l'accepte avec joie . Créon sait ...
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... lieux ? Est - il vrai que la reine ... ANTIGONE . Oui , Créon , elle est morte . CRÉON . O dieux ! puis - je savoir de quelle étrange sorte Ses jours infortunés ont éteint leur flambeau ? OLYMPE . Elle - même , seigneur , s'est ouvert ...
... lieux ? Est - il vrai que la reine ... ANTIGONE . Oui , Créon , elle est morte . CRÉON . O dieux ! puis - je savoir de quelle étrange sorte Ses jours infortunés ont éteint leur flambeau ? OLYMPE . Elle - même , seigneur , s'est ouvert ...
Términos y frases comunes
aime Alexandre Allez Allons amant amitié amour ANDROMAQUE ANTIGONE ATTALE Aussi-bien avoit AXIANE bras CÉPHISE charmes cher chercher CHICANEAU ciel CLÉOFILE CLÉONE cœur colère combat COMTESSE connois courage courroux craint CRÉON crime cruel d'Alexandre DANDIN déja dessein diadème douleur enfin ennemis ÉPHESTION Épire ÉTÉOCLE étoit exploits fils d'Hector flatte frère funeste fureur gloire grace Grecs haine Hector Hélas Hémon HERMIONE héros hymen ISABELLE j'ai JOCASTE jour juge l'amour l'Épire l'ingrat L'INTIMÉ laisse larmes LÉANDRE m'en madame madame de Maintenon main maître malheureux moi-même monsieur mort mourir Oh dieux OLYMPE ORESTE paix par-tout parle père PETIT JEAN PETIT-JEAN peuple peut-être PHOENIX pleurs Polynice Porus prince princesse PYLADE Pyrrhus qu'à qu'un Racine régner rien rois s'il sais sang SCÈNE seigneur seroit seul sœur soins sort SOUFFLEUR souffrir soupirs TAXILE Thébains Thèbes tragédie trépas Troie trône Troyens vainqueur vais venger veut veux victoire vœux Voilà vois vous-même yeux
Pasajes populares
Página 212 - Où suis-je? qu'ai-je fait? que dois-je faire encore? Quel transport me saisit? quel chagrin me dévore? Errante et sans dessein , je cours dans ce palais. Ah! ne puis-je savoir si j'aime ou si je hais? Le cruel ! de quel œil il m'a congédiée ! Sans pitié, sans douleur au moins étudiée! L'ai-je vu se troubler, et me plaindre un moment ? En ai-je pu tirer un seul gémissement?
Página 159 - Je passais jusqu'aux lieux où l'on garde mon fils. Puisqu'une fois le jour vous souffrez que je voie Le seul bien qui me reste et d'Hector et de Troie , J'allais , seigneur , pleurer un moment avec lui : Je ne l'ai point encore embrassé d'aujourd'hui ! PYRRHUS.
Página 33 - Nous avons l'un et l'autre une haine obstinée : Elle n'est pas, Créon, l'ouvrage d'une année ; Elle est née avec nous ; et sa noire fureur Aussitôt que la vie entra dans notre cœur. Nous étions ennemis dès la plus tendre enfance ; Que dis-je?
Página 162 - Seigneur, tant de grandeurs ne nous touchent plus guère. Je les lui promettais tant qu'a vécu son père. Non, vous n'espérez plus de nous revoir encor, Sacrés murs que n'a pu conserver mon Hector ! A de moindres faveurs des malheureux prétendent, Seigneur : c'est un exil que mes pleurs vous demandent.
Página 160 - Le fils d'Agamemnon vient hâter son supplice. ANDROMAQUE. Et vous prononcerez un arrêt si cruel? Est-ce mon intérêt qui le rend criminel? Hélas ! on ne craint point qu'il venge un jour son père; On craint qu'il n'essuyât les larmes de sa mère.
Página 143 - Aristote, bien éloigné de nous demander des héros parfaits, veut au contraire que les personnages tragiques, c'est-à-dire ceux dont le malheur fait la catastrophe de la tragédie, ne soient ni tout à fait bons, ni tout à fait méchants.
Página 161 - Peut-on haïr sans cesse, et punit-on toujours ? J'ai fait des malheureux, sans doute, et la Phrygie Cent fois de votre sang a vu ma main rougie ; Mais que vos yeux sur moi se sont bien exercés ! Qu'ils m'ont vendu bien cher les pleurs qu'ils ont versés ! De combien de remords m'ont-ils rendu la proie ? 0 »Je souffre tous les maux que j'ai faits devant Troie.
Página 161 - Non, non : d'un ennemi respecter la misère, Sauver des malheureux, rendre un fils à sa mère...
Página 68 - ... autres, si tous mes acteurs ne viennent point sur le théâtre que l'on ne sache la raison qui les y fait venir; et si, avec peu d'incidents et peu de matière, j'ai été assez heureux pour faire une pièce qui les a peut-être attachés malgré eux depuis le commencement jusqu'à la fin?
Página 191 - Seigneur, voyez l'état où vous me réduisez: J'ai vu mon père mort et nos murs embrasés ; J'ai vu trancher les jours de ma famille entière, Et mon époux sanglant traîné sur la poussière, Son fils, seul avec moi, réservé pour les fers ; Mais que ne peut un fils !«je respire, je sers.