Théâtre complet de J. RacineFirmin Didot et cie, 1853 - 667 páginas |
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... cour : mais le public , qui jugeait la pièce en elle - même , et dans l'opinion duquel ces applications , bonnes ou mauvaises , ne pouvaient ajouter à l'ouvrage ni une beauté ni un défaut , ne lui fut pas aussi favorable qu'on l'avait ...
... cour : mais le public , qui jugeait la pièce en elle - même , et dans l'opinion duquel ces applications , bonnes ou mauvaises , ne pouvaient ajouter à l'ouvrage ni une beauté ni un défaut , ne lui fut pas aussi favorable qu'on l'avait ...
Página 9
... cour jusqu'à nouvel ordre . Dès ce moment Ra- cine ne douta plus de sa disgrâce . Accablé de mélancolie , et portant partout le trait mortel dont il était atteint , il retourna quelque temps après à Versailles : mais tout était changé ...
... cour jusqu'à nouvel ordre . Dès ce moment Ra- cine ne douta plus de sa disgrâce . Accablé de mélancolie , et portant partout le trait mortel dont il était atteint , il retourna quelque temps après à Versailles : mais tout était changé ...
Página 41
... cours à mon ardente haine , Que sa fureur au moins autorise la mienne ; Et puisqu'enfin mon cœur ne saurait se trahir , Je veux qu'il me déteste , afin de le haïr . Tu verras que sa rage est encore la même , Et que toujours son cœur ...
... cours à mon ardente haine , Que sa fureur au moins autorise la mienne ; Et puisqu'enfin mon cœur ne saurait se trahir , Je veux qu'il me déteste , afin de le haïr . Tu verras que sa rage est encore la même , Et que toujours son cœur ...
Página 46
... cour en cour j'aille chercher un maître ; Qu'errant et vagabond je quitte mes États , Pour observer des lois qu'il ne respecte pas ? De ses propres forfaits serai - je la victime ? Le diadème est - il le partage du crime ? Quel droit ou ...
... cour en cour j'aille chercher un maître ; Qu'errant et vagabond je quitte mes États , Pour observer des lois qu'il ne respecte pas ? De ses propres forfaits serai - je la victime ? Le diadème est - il le partage du crime ? Quel droit ou ...
Página 53
... cours ; Et ces deux furieux se rapprochent toujours . Il tient ferme pourtant , et ne perd point courage ; De mille coups mortels il détourne l'orage , Jusqu'à ce que du roi le fer trop rigoureux , Soit qu'il cherchât son frère , ou ce ...
... cours ; Et ces deux furieux se rapprochent toujours . Il tient ferme pourtant , et ne perd point courage ; De mille coups mortels il détourne l'orage , Jusqu'à ce que du roi le fer trop rigoureux , Soit qu'il cherchât son frère , ou ce ...
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Términos y frases comunes
ABNER ACHILLE ACOMAT AGAMEMNON AGRIPPINE Allez AMAN amant âme amour ANDROMAQUE ANTIGONE ANTIOCHUS ARBATE ARCAS ARSACE ASAPH ASSUÉRUS ATALIDE ATHALIE AXIANE Bajazet BÉRÉNICE BRITANNICUS BURRHUS cacher Calchas cher chercher CHICANEAU CHOEUR CLÉOFILE CLYTEMNESTRE cœur courroux crainte CRÉON crime cruel DANDIN dessein Dieu dieux dis-je discours douleur ÉLISE enfin ennemi époux ÉRIPHILE ESTHER ÉTÉOCLE fille fils frère funeste fureur gloire Grecs haine Hélas HERMIONE heureux HIPPOLYTE HYDASPE hymen IPHIGÉNIE ISRAÉLITE j'ai JOAD Joas JOCASTE JOSABET jour Juifs JUNIE l'amour L'INTIMÉ laisse larmes LÉANDRE lieux m'en madame main malheureux Mardochée MATHAN MITHRIDATE moi-même MONIME mort mortels NARCISSE Néron Oh ciel ORESTE OSMIN parler père perfide PETIT JEAN peuple peut-être Pharnace PHÈDRE PHOEDIME pleurs Polynice Porus prince Pyrrhus reine rois Romains Rome ROXANE sais sang SCÈNE secret seigneur seul soins sort soupirs sultan TAXILE temple Titus trépas triste trône trouble venger veux vœux vois vous-même XIPHARÈS yeux ZAÏRE ZATIME
Pasajes populares
Página 583 - L'Éternel est son nom, le monde est son ouvrage; II entend les soupirs de l'humble qu'on outrage, ", Juge tous les mortels avec d'égales lois, Et du haut de son trône interroge les rois. Des plus fermes États la chute épouvantable, Quand il veut, n'est qu'un jeu de sa main redoutable.
Página 134 - Mais, s'il faut ne te rien déguiser, Mon innocence enfin commence à me peser. Je ne sais de tout temps quelle injuste puissance Laisse le crime en paix, et poursuit l'innocence. De quelque part sur moi que je tourne les yeux, Je ne vois que malheurs qui condamnent les dieux.
Página 563 - Oui, je viens dans son temple adorer l'Éternel : Je viens, selon l'usage antique et solennel, Célébrer avec vous la fameuse journée Où sur le mont Sina la loi nous fut donnée.
Página 610 - D'os et de chair meurtris et traînés dans la fange, Des lambeaux pleins de sang, et des membres affreux Que des chiens dévorants se disputaient entre eux.
Página 597 - Sait aussi des méchants arrêter les complots. Soumis avec respect à sa volonté sainte, Je crains Dieu, cher Abner, et n'ai point d'autre crainte Cependant je rends grâce au zèle officieux Qui sur tous mes périls vous fait ouvrir les yeux.
Página 285 - De cette nuit, Phénice, as-tu vu la splendeur? Tes yeux ne sont-ils pas tout pleins de sa grandeur ? Ces flambeaux, ce bûcher, cette nuit enflammée, Ces aigles, ces faisceaux, ce peuple, cette armée Cette foule de rois, ces consuls, ce sénat, Qui tous de mon amant empruntaient leur éclat...
Página 120 - Je les lui promettais tant qu'a vécu son père. Non , vous n'espérez plus de nous revoir encor, Sacrés murs , que n'a pu conserver mon Hector ! A de moindres faveurs des malheureux prétendent , Seigneur; c'est un exil que mes pleurs vous demandent : Souffrez que , loin des Grecs , et même loin de vous , J'aille cacher mon fils , et pleurer mon époux. Votre amour contre nous allume trop de haine : .. Retournez, retournez à la fille d'Hélène. PYRHHUS. Kl le puis-je , madame ? Ah ! que vous...
Página 563 - Mathan, de nos autels infâme déserteur, Et de toute vertu zélé persécuteur. C'est peu que, le front ceint d'une mitre étrangère, Ce lévite à Baal prête son ministère ; Ce temple l'importune, et son impiété Voudrait anéantir le Dieu qu'il a quitté. Pour vous perdre il n'est point de ressorts qu'il n'invente : Quelquefois il vous plaint, souvent même il vous vante ; II affecte pour vous une...
Página 375 - Ma rivale est ici : suis-moi sans différer ; dans les mains des muets viens la voir expirer, et libre d'un amour à ta gloire funeste, viens m'engager ta foi : le temps fera le reste.
Página 232 - Caché près de ces lieux , je vous verrai , madame . Renfermez votre amour dans le fond de votre âme : Vous n'aurez point pour moi de langages secrets ; J'entendrai des regards que vous croirez muets ; Et sa perte sera l'infaillible salaire D'un geste ou d'un soupir échappé pour lui plaire.