Théâtre complet de J. RacineFirmin Didot et cie, 1853 - 667 páginas |
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... larmes , Et le sommeil les ferme en de telles alarmes ! Puisse plutôt la mort les fermer pour jamais , Et m'empêcher de voir le plus noir des forfaits : Mais en sont - ils aux mains ? OLYMPE . Du haut de la muraille Je les ai vus déjà ...
... larmes , Et le sommeil les ferme en de telles alarmes ! Puisse plutôt la mort les fermer pour jamais , Et m'empêcher de voir le plus noir des forfaits : Mais en sont - ils aux mains ? OLYMPE . Du haut de la muraille Je les ai vus déjà ...
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... larmes d'une mère . Et cependant , mon fils , j'irai voir votre frère : La pitié dans son âme aura peut - être lieu ; Ou du moins pour jamais j'irai lui dire adieu . Dès ce même moment permettez que je sorte : J'irai jusqu'à sa tente ...
... larmes d'une mère . Et cependant , mon fils , j'irai voir votre frère : La pitié dans son âme aura peut - être lieu ; Ou du moins pour jamais j'irai lui dire adieu . Dès ce même moment permettez que je sorte : J'irai jusqu'à sa tente ...
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... larmes d'une mère ? Ma fille , s'il se peut , retenez votre frère : Le cruel pour vous seule avait de l'amitié . ANTIGONE . Ah ! si pour vous son âme est sourde à la pitié , Que pourrais - je espérer d'une amitié passée , Qu'un long ...
... larmes d'une mère ? Ma fille , s'il se peut , retenez votre frère : Le cruel pour vous seule avait de l'amitié . ANTIGONE . Ah ! si pour vous son âme est sourde à la pitié , Que pourrais - je espérer d'une amitié passée , Qu'un long ...
Página 28
... larmes d'une sœur , aux soupirs d'une mère ? JOCASTE . Mais quelle crainte encor vous peut inquiéter ? Pourquoi si promptement voulez - vous nous quitter ? Quoi ! ce jour tout entier n'est - il pas de la trêve ? Dès qu'elle a commencé ...
... larmes d'une sœur , aux soupirs d'une mère ? JOCASTE . Mais quelle crainte encor vous peut inquiéter ? Pourquoi si promptement voulez - vous nous quitter ? Quoi ! ce jour tout entier n'est - il pas de la trêve ? Dès qu'elle a commencé ...
Página 29
Jean Racine. Aux larmes de sa mère il a paru sensible ; Nos pleurs ont désarmé sa colère aujourd'hui : Vous l'appelez cruel , vous l'êtes plus que lui . HÉMON . Seigneur , rien ne vous presse ; et vous pouvez sans peine Laisser agir ...
Jean Racine. Aux larmes de sa mère il a paru sensible ; Nos pleurs ont désarmé sa colère aujourd'hui : Vous l'appelez cruel , vous l'êtes plus que lui . HÉMON . Seigneur , rien ne vous presse ; et vous pouvez sans peine Laisser agir ...
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Términos y frases comunes
ABNER ACHILLE ACOMAT AGAMEMNON AGRIPPINE Allez AMAN amant âme amour ANDROMAQUE ANTIGONE ANTIOCHUS ARBATE ARCAS ARSACE ASAPH ASSUÉRUS ATALIDE ATHALIE AXIANE Bajazet BÉRÉNICE BRITANNICUS BURRHUS cacher Calchas cher chercher CHICANEAU CHOEUR CLÉOFILE CLYTEMNESTRE cœur courroux crainte CRÉON crime cruel DANDIN dessein Dieu dieux dis-je discours douleur ÉLISE enfin ennemi époux ÉRIPHILE ESTHER ÉTÉOCLE fille fils frère funeste fureur gloire Grecs haine Hélas HERMIONE heureux HIPPOLYTE HYDASPE hymen IPHIGÉNIE ISRAÉLITE j'ai JOAD Joas JOCASTE JOSABET jour Juifs JUNIE l'amour L'INTIMÉ laisse larmes LÉANDRE lieux m'en madame main malheureux Mardochée MATHAN MITHRIDATE moi-même MONIME mort mortels NARCISSE Néron Oh ciel ORESTE OSMIN parler père perfide PETIT JEAN peuple Pharnace PHÈDRE PHOEDIME pleurs Polynice Porus prince Pyrrhus reine rois Romains Rome ROXANE sais sang SCÈNE secret seigneur seul soins sort soupirs sultan TAXILE temple Titus trépas triste trône trouble venger veux vœux vois voix vous-même XIPHARÈS yeux ZAÏRE ZATIME
Pasajes populares
Página 583 - L'Éternel est son nom, le monde est son ouvrage; II entend les soupirs de l'humble qu'on outrage, ", Juge tous les mortels avec d'égales lois, Et du haut de son trône interroge les rois. Des plus fermes États la chute épouvantable, Quand il veut, n'est qu'un jeu de sa main redoutable.
Página 134 - Mais, s'il faut ne te rien déguiser, Mon innocence enfin commence à me peser. Je ne sais de tout temps quelle injuste puissance Laisse le crime en paix, et poursuit l'innocence. De quelque part sur moi que je tourne les yeux, Je ne vois que malheurs qui condamnent les dieux.
Página 563 - Oui, je viens dans son temple adorer l'Éternel : Je viens, selon l'usage antique et solennel, Célébrer avec vous la fameuse journée Où sur le mont Sina la loi nous fut donnée.
Página 610 - D'os et de chair meurtris et traînés dans la fange, Des lambeaux pleins de sang, et des membres affreux Que des chiens dévorants se disputaient entre eux.
Página 597 - Sait aussi des méchants arrêter les complots. Soumis avec respect à sa volonté sainte, Je crains Dieu, cher Abner, et n'ai point d'autre crainte Cependant je rends grâce au zèle officieux Qui sur tous mes périls vous fait ouvrir les yeux.
Página 285 - De cette nuit, Phénice, as-tu vu la splendeur? Tes yeux ne sont-ils pas tout pleins de sa grandeur ? Ces flambeaux, ce bûcher, cette nuit enflammée, Ces aigles, ces faisceaux, ce peuple, cette armée Cette foule de rois, ces consuls, ce sénat, Qui tous de mon amant empruntaient leur éclat...
Página 120 - Je les lui promettais tant qu'a vécu son père. Non , vous n'espérez plus de nous revoir encor, Sacrés murs , que n'a pu conserver mon Hector ! A de moindres faveurs des malheureux prétendent , Seigneur; c'est un exil que mes pleurs vous demandent : Souffrez que , loin des Grecs , et même loin de vous , J'aille cacher mon fils , et pleurer mon époux. Votre amour contre nous allume trop de haine : .. Retournez, retournez à la fille d'Hélène. PYRHHUS. Kl le puis-je , madame ? Ah ! que vous...
Página 563 - Mathan, de nos autels infâme déserteur, Et de toute vertu zélé persécuteur. C'est peu que, le front ceint d'une mitre étrangère, Ce lévite à Baal prête son ministère ; Ce temple l'importune, et son impiété Voudrait anéantir le Dieu qu'il a quitté. Pour vous perdre il n'est point de ressorts qu'il n'invente : Quelquefois il vous plaint, souvent même il vous vante ; II affecte pour vous une...
Página 375 - Ma rivale est ici : suis-moi sans différer ; dans les mains des muets viens la voir expirer, et libre d'un amour à ta gloire funeste, viens m'engager ta foi : le temps fera le reste.
Página 232 - Caché près de ces lieux , je vous verrai , madame . Renfermez votre amour dans le fond de votre âme : Vous n'aurez point pour moi de langages secrets ; J'entendrai des regards que vous croirez muets ; Et sa perte sera l'infaillible salaire D'un geste ou d'un soupir échappé pour lui plaire.