Répertoire du Théâtre français ... |
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Términos y frases comunes
ACHILLE aime amant amour arrêter assez ATALIDE avoit Bajazet BÉRÉNICE bras BRITANNICUS cacher cæur charmes cher chercher CHICANEAU ciel coup cour courroux crainte CRÉON crime cruel DANDIN déja demander dessein destin devant Dieu dieux dire discours doit donne douleur doute enfin ennemis étoit fers fille fils frère funeste fureur garde gloire Grecs haine Hélas HERMIONE heureux j'ai jour juge JUNIE juste l'amour l'autre L'INTIMÉ l'un laisse larmes LÉANDRE lieux loin long-temps lui-même m'en madame main maître malheur mère MITHRIDATE MONIME monsieur mort mourir n'ai n'en NARCISSE Néron parler passé pensée père peuple peut-être PHÈDRE pleurs porte Porus premier prêt prince puisse Pyrrhus qu'à qu'un raison regards régner reine rend rendre reste rien rois Rome ROXANE s'est s'il sais sang SCÈNE secret seigneur sera seul soins sort Titus triste trouble trouvé vais venir veut veux viens vient vois voix vous-même voyant yeux
Pasajes populares
Página 312 - Promettez sur ce livre, et devant ces témoins, Que Dieu sera toujours le premier de vos soins ; Que, sévère aux méchants, et des bons le refuge, Entre le pauvre et vous vous prendrez Dieu pour juge ; Vous souvenant, mon fils, que, caché sous ce lin, Comme eux vous fûtes pauvre, et comme eux orphelin.
Página 269 - Pour réparer des ans l'irréparable outrage : « Tremble, m'at-elle dit, fille digne de moi, Le cruel Dieu des Juifs l'emporte aussi sur toi. Je te plains de tomber dans ses mains redoutables. Ma fille. » En achevant ces mots épouvantables , Son ombre vers mon lit a paru se baisser, Et moi je lui tendais les mains pour l'embrasser; Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de...
Página 312 - Loin du trône nourri, de ce fatal honneur, Hélas ! vous ignorez le charme empoisonneur ; De l'absolu pouvoir vous ignorez l'ivresse, Et des lâches flatteurs la voix enchanteresse. Bientôt ils vous diront que les plus saintes lois , Maîtresses du vil peuple , obéissent aux rois ; Qu'un roi n'a d'autre frein que sa volonté même...
Página 111 - Je les conjure d'avoir assez bonne opinion d'eux-mêmes pour ne pas croire qu'une pièce qui les touche, et qui leur donne du plaisir, puisse être absolument contre les règles. La principale règle est de plaire et de toucher. Toutes les autres ne sont faites que pour parvenir à cette première.
Página 229 - Et, tout ingrat qu'il est, il me sera plus doux De mourir avec lui que de vivre avec vous.
Página 146 - Ah ! combien frémira son Ombre épouvantée, Lorsqu'il verra sa fille à ses yeux présentée, Contrainte d'avouer tant de forfaits divers, Et des crimes peut-être inconnus aux Enfers ! Que diras-tu, mon Père, à ce spectacle horrible ? Je crois voir de ta main tomber l'Urne terrible, Je crois te voir, cherchant un supplice nouveau, Toi-même, de ton Sang devenir le Bourreau. Pardonne. Un Dieu cruel a perdu ta Famille. Reconnais sa vengeance aux fureurs de ta Fille.
Página 269 - J'ai senti tout à coup un homicide acier Que le traître en mon sein a plongé tout entier. De tant d'objets...
Página 385 - Où pourrai-je trouver la paix ? Je veux, et n'accomplis jamais; Je veux : mais (ô misère extrême ! ) Je ne fais pas le bien que j'aime , Et je fais le mal que je hais.
Página 279 - J'aime à voir comme vous l'instruisez. Enfin, Éliacin, vflus avez su me plaire ; Vous n'êtes point sans doute un enfant ordinaire. Vous voyez, je suis reine et n'ai point d'héritier : Laissez là cet habit, quittez ce vil métier; Je veux vous faire part de toutes mes richesses ; Essayez dès ce jour l'effet de mes promesses.
Página 259 - Jamais, au grand jamais, elle ne me quitta, Et Dieu sait bien souvent ce Qu'elle en rapporta; Elle eût du buvetier emporté les serviettes, Plutôt que de rentrer au logis les mains nettes'.