Répertoire du Théâtre français ...J. Didot ainé, 1821 |
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... lui - même l'admiration de tout le monde ? Aussi , Monseigneur , si la Thébaïde reçu quelques applaudissements , c'est sans doute qu'on n'a pas osé démentir le jugement que vous avez donné en sa faveur ; et il semble que vous lui ayez ...
... lui - même l'admiration de tout le monde ? Aussi , Monseigneur , si la Thébaïde reçu quelques applaudissements , c'est sans doute qu'on n'a pas osé démentir le jugement que vous avez donné en sa faveur ; et il semble que vous lui ayez ...
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... lui - même l'admiration de tout le monde ? Aussi , Monsei- gneur , si la Thébaïde a reçu quelques applau- dissements , c'est sans doute qu'on n'a pas osé démentir le jugement que vous avez donné en sa faveur ; et il semble que vous lui ...
... lui - même l'admiration de tout le monde ? Aussi , Monsei- gneur , si la Thébaïde a reçu quelques applau- dissements , c'est sans doute qu'on n'a pas osé démentir le jugement que vous avez donné en sa faveur ; et il semble que vous lui ...
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... lui - même . Il est aimé de tous . JOCASTE . POLYNICE . C'est un tyran qu'on aime , Qui par cent lâchetés tâche à se maintenir Au rang où par la force il a su parvenir ; Et son orgueil le rend , par un effet contraire , Esclave de son ...
... lui - même . Il est aimé de tous . JOCASTE . POLYNICE . C'est un tyran qu'on aime , Qui par cent lâchetés tâche à se maintenir Au rang où par la force il a su parvenir ; Et son orgueil le rend , par un effet contraire , Esclave de son ...
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... lui - même à la mort il s'est précipité , De l'amour du pays noblement transporté . JOCASTE . Ah ! si le seul amour qu'il eut pour sa patrie Le rendit insensible aux douceurs de la vie , Mon fils , ce même amour ne peut - il seulement ...
... lui - même à la mort il s'est précipité , De l'amour du pays noblement transporté . JOCASTE . Ah ! si le seul amour qu'il eut pour sa patrie Le rendit insensible aux douceurs de la vie , Mon fils , ce même amour ne peut - il seulement ...
Página 62
... soi - même on y seroit pressé . Jugez donc , par l'horreur que ce méchant me donne , Si je puis avec lui partager ma couronne . POLYNICE . Et moi je ne veux plus , tant tu m'es odieux ! Partager avec toi la lumière des cieux . JOCASTE ...
... soi - même on y seroit pressé . Jugez donc , par l'horreur que ce méchant me donne , Si je puis avec lui partager ma couronne . POLYNICE . Et moi je ne veux plus , tant tu m'es odieux ! Partager avec toi la lumière des cieux . JOCASTE ...
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Términos y frases comunes
ACHILLE ACOMAT AGAMEMNON AGRIPPINE ALEXANDRE Allez amant amour ANDROMAQUE ANTIGONE ANTIOCHUS ARBATE ARCAS ARICIE ARSACE ASSUÉRUS ATALIDE avoit AXIANE Bajazet BÉRÉNICE bras BRITANNICUS BURRHUS Calchas charmes cher chercher CHICANEAU CHOEUR CLÉOFILE CLYTEMNESTRE cœur COMTESSE courroux crainte CRÉON crime cruel DANDIN déja dessein Dieu dieux dis-je discours douleur enfin ennemis époux ÉRIPHILE ESTHER ÉTÉOCLE étoit fille fils foible frère funeste fureur gloire grace Grecs haine Hélas Hémon HERMIONE heureux HIPPOLYTE HYDASPE hymen IPHIGÉNIE j'ai JOCASTE jour JUNIE l'amour L'INTIMÉ laisse larmes LÉANDRE lieux long-temps m'en madame main malheur MITHRIDATE moi-même MONIME monsieur mort NARCISSE Néron Oh ciel ORESTE OSMIN par-tout parler père perfide PETIT-JEAN peuple peut-être Pharnace PHÈDRE PHÉNICE pleurs Polynice Porus prince Pyrrhus reine rois Rome ROXANE sais sang SCÈNE secret seigneur seul soins sort soupirs sultan TAXILE THÉSÉE Titus tragédie trépas triste trône trouble vainqueur vais venger veut veux vœux vois vous-même XIPHARÈS yeux
Pasajes populares
Página 308 - Promettez sur ce livre, et devant ces témoins, Que Dieu sera toujours le premier de vos soins ; Que, sévère aux méchants, et des bons le refuge, Entre le pauvre et vous vous prendrez Dieu pour juge ; Vous souvenant, mon fils, que, caché sous ce lin, Comme eux vous fûtes pauvre, et comme eux orphelin.
Página 265 - Pour réparer des ans l'irréparable outrage : « Tremble, m'at-elle dit, fille digne de moi, Le cruel Dieu des Juifs l'emporte aussi sur toi. Je te plains de tomber dans ses mains redoutables. Ma fille. » En achevant ces mots épouvantables , Son ombre vers mon lit a paru se baisser, Et moi je lui tendais les mains pour l'embrasser; Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de...
Página 308 - Loin du trône nourri, de ce fatal honneur, Hélas ! vous ignorez le charme empoisonneur ; De l'absolu pouvoir vous ignorez l'ivresse, Et des lâches flatteurs la voix enchanteresse. Bientôt ils vous diront que les plus saintes lois , Maîtresses du vil peuple , obéissent aux rois ; Qu'un roi n'a d'autre frein que sa volonté même...
Página 107 - Je les conjure d'avoir assez bonne opinion d'eux-mêmes pour ne pas croire qu'une pièce qui les touche, et qui leur donne du plaisir, puisse être absolument contre les règles. La principale règle est de plaire et de toucher. Toutes les autres ne sont faites que pour parvenir à cette première.
Página 225 - Et, tout ingrat qu'il est, il me sera plus doux De mourir avec lui que de vivre avec vous.
Página 142 - Ah ! combien frémira son Ombre épouvantée, Lorsqu'il verra sa fille à ses yeux présentée, Contrainte d'avouer tant de forfaits divers, Et des crimes peut-être inconnus aux Enfers ! Que diras-tu, mon Père, à ce spectacle horrible ? Je crois voir de ta main tomber l'Urne terrible, Je crois te voir, cherchant un supplice nouveau, Toi-même, de ton Sang devenir le Bourreau. Pardonne. Un Dieu cruel a perdu ta Famille. Reconnais sa vengeance aux fureurs de ta Fille.
Página 265 - J'ai senti tout à coup un homicide acier Que le traître en mon sein a plongé tout entier. De tant d'objets...
Página 381 - Où pourrai-je trouver la paix ? Je veux, et n'accomplis jamais; Je veux : mais (ô misère extrême ! ) Je ne fais pas le bien que j'aime , Et je fais le mal que je hais.
Página 275 - J'aime à voir comme vous l'instruisez. Enfin, Éliacin, vflus avez su me plaire ; Vous n'êtes point sans doute un enfant ordinaire. Vous voyez, je suis reine et n'ai point d'héritier : Laissez là cet habit, quittez ce vil métier; Je veux vous faire part de toutes mes richesses ; Essayez dès ce jour l'effet de mes promesses.
Página 255 - Jamais, au grand jamais, elle ne me quitta, Et Dieu sait bien souvent ce Qu'elle en rapporta; Elle eût du buvetier emporté les serviettes, Plutôt que de rentrer au logis les mains nettes'.